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| Sujet: Le tourbillon de la vie [ Pv qui veut !] Sam 29 Déc - 22:19 | |
| La journée était déjà bien, avancée, on voyait les couleurs chaudes que le soleil laissait à son coucher. Le parc et le chateau dégagaient une atmosphère féerique, rien d'étonnant après tout Poudlard n'est-elle pas une école de magie. En voyant ce spectacle, on se sentait un peu gauche dans notre carcasse humaine. Asuna était assise sur un des bancs du parc, les derniers rayons du soleil caressaient doucement sa peau fonçée, faisant briller ses long cheveux violet, comme à son habitude qu'elle avait attéachée en queu haute. Elle savourait la chaleur déclinantes du soleil, cela faisait tellement longtemps que la vert et argent n'était pas sortit dehors. Un parchemin et une plume à la main, Asuna écrivait comme à son habitude, elle adorait écrire des poèmes. Un mouvement bref du côté du lac la fit sortir de ses rêveries. La jeune fille tourna la tête vers la source du bruit et de loin repera un élève qui s'aprochait d'elle. Ne se souciant pas pas de cet élève asuna reprit son activité. Quelques minutes passèrent pendant lequels la jeune filles écrivit frénétiquement. La verte t argent rangea ensuite son parchemin et sa plume dans son sac en bandoulière avant de repliser ses jambes contre elle et de les entourer de ses bras. La tête sur ses genoux, elle s'envola dans les méandres de ses souvenir, songeant à son père et à son petit frère, celui-ci qui ne tarderait pas a venir à Poudlard aussi. Souriant, la jeune Serpentard ne remarqua pas qu'avec son changement dh'umeru, ses cheveux s'éclaircirent vivement. Dépliant a nouveau ses longues te fines jambes, elle se mit à regarder le ciel...
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| Sujet: Re: Le tourbillon de la vie [ Pv qui veut !] Lun 31 Déc - 19:53 | |
| C'était une fin d'après midi d'hiver, on était à la moitié du mois de Février, et on se rapprochait maintenant à grands pas des vacances de Février d'ailleurs. Le soleil se couchait lentement, laissant de longues trainées pourpres et orangées sur l'horizon. Le vent s'était mis à souffler de plus en plus fort au fur et à mesure que la nuit tombait, et ce souffle là était plus glacial et plus prenant que celui qui avait balayé le parc de Poudlard durant toute la journée, sans interruption aucune. Le soleil déclinait lentement, teintait la neige éclatante de blancheur de zébrures dorées, et faisant scintiller la surface du lac noir et profond, comme si de milliers de petits diamants minuscules recouvraient la vaste étendue d'eau glacée.
A cette heure, le parc était presque vide, remarqua une jeune femme qui, du haut de la tour où se trouvait la salle commune des élèves de Serpentard, était restée postée devant la fenêtre un long moment, contemplant la tombée de la nuit comme si c'était un spectacle des plus merveilleux qu'il soit. La jeune femme, aux longs cheveux couleur aile de corbeau et aux yeux froids et perçants couleur de glace, se détourna vivement de la fenêtre, et son regard, changeant de direction, alla se planter dans les flammes du feu vert qui crépitait dans l'âtre de la cheminée, tintant celle ci de lueurs verdatres et peut engageantes.
Saralyn poussa un long soupir et, comme elle s'ennuyait à mourrir dans cette salle commune déserte, elle décida d'aller se promener dans le parc pour passer le temps. Sans tenir compte du fait qu'elle n'était vêtue que d'un tee shirt à manches trois quarts, la magnifique jeune femme aux regard de glace attrapa son rat grisé nommé Perle, le posa sur son épaule et sortit de la salle commune. Elle sortit du chateau et se promena un peut dans le parc, le bruit de ses pas crissants sous la neige qui recouvrait le sol du parc, tel un immense tapis blanc et scintillant. Elle chercha ensuite un banc libre pour s'asseoir et contempler tranquillement le paysage, mais le seul qu'elle trouva face au lac avait déja été réquisitionné par une jeune fille qu'elle avait déja entraperçu quelques fois dans la salle commune des Serpentard. Saralyn s'approcha et demanda d'une voix qui se voulait aimable, mais qui était, comme à son habitude, froide et distante ( car telle était la jeune femme, et elle serait toujours comme cela ) :
Excuses moi ... je peux m'asseoir ? |
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