Visage d'ange diabolique [Eva]

Eva et Maël sortirent de la grande salle et il sembla au jeune serdaigle que c'était une sage idée car faisant cela, ils s'éloignaient ausis de tout objet potentiellement dangereux. Elle lui posa une question qui eut le don de faire éclater de rire, le jeune homme.

"Visage d'ange ô combien diabolique"...deja je sais pas ou tu vois le visage d'ange, ensuite, scinique, sarcastique, ironique, narquois, si tu veux...mais pas diabolique...

Il lui fit un grand sourire amusé...

Mais derrière ce visage, scientifiquement il a la tête. Encore qu'il faut voir ou s'arrêtte la définition scientifique du visage.

Maël prit un air de profonde reflexion avce un sourire en coin.

Et le tien de visage angélique...a part une maladresse, il cache quoi ? Quoi que ta maladresse soit pas franchement cachée...

Il lui fit un sourire legerement taquin sur les bords.

"Et le tien de visage angélique...a part une maladresse, il cache quoi ? Quoi que ta maladresse soit pas franchement cachée..."fit le Serdaigle.

"Et oui, je suis maladroite mais c'est comme ça qu'on m'aime. Difficile de ne pas s'attacher à moi, hein ?"

Ils montèrent les escaliers doucement car ceux-ci bougeaient un peu trop.
Eva attrappa la rampe et tenta de garder l'équilibre : elle n'avait jamais vraiment eu le vertige mais ça l'inquiétait un peu, d'autant plus que les escaliers changeaient de direction.
Les deux jeunes Serdaigles se mirent à regarder autour d'eux, lorsqu'ils réalisèrent qu'ils étaient suspendus dans le vide : l'escalier s'était arreté de tourner, mais n'avait visiblement pas arreté sa rotation au bon endroit...

"C'est moi ou l'escalier nous en veut à mort ?"

T'es peut-être pas juste maladroute mais ausis trés malchanceuse.

Maël eut un sourire amusé. Il sortit sa baguette et jetta un sortilège informulé à l'escalier qui ne nougea pas d'un cil.

Trés malchanceuse...

Il haussa un sourcil et essaya un nouveau sortilege informulé.
Maël fronça les sourcils et haussa les épaules.

Suis moi, on va passer ailleurs.

Ils redescedirent l'escalier et suivirent un autre qui ne leur causa pas de probleme. maël se glissa soudain derrière une tapisserie qui rejoignait un autre couloir ou les esvaliers ne bougeaient plus au moins.

Tout semblait s'être calmé depuis quelque temps.
Eva et Maël sortirent des escaliers pour se retrouver derrière une tapisserie, la Serdaigle blonde ayant encore le haut-le-coeur après
l'épisode avec l'escalier.

"Et là? On fait quoi ?"

Ils devaient certainement être bloqués.
Avec déséspoir, la bleu et noir contempla le plafond, puis le sol à une cinquantaine de mètres d'eux, et détourna le visage.

*Je commence à avoir la nausée*

Ils tentèrent de bouger de là.

"Maël, c'est moi ou on est fichus ?"

Maël eut un sourire amusé.

Trés chere, peut-être que si vous ne touchez plus le sol, on sera moins poursuivis par la malchance.

Il lui fit un clin d'oeuil et sans prevenir l'attrapa dans ses bras. Le jeune serdaigle la trouva particulièrement legere et ça tombait bien. Il emprunta un nouveau passage secret dissimulé aprés avour donner un vieux mots de passe que Rusard était certainement le seul ou presque à connaître aussi. Ils traverserent le passage qui faisait simplement le lien entre deux couloirs et porta ainsi la jeune fille qui n'eut le loisir de protester jusque deux paliers plus haut dans une jolie tour éclairée par les grandes fenêtre ou il n'y avait plus d'escalier ni passage secret ou du moins, Maël ne les connaissait pas. Le jeune serdy posa la pauvre jeune fille et souffla un peu. Il se demanda si elle ne risquait pas de ne pas avoir aprécier la balade.

Si même ici, on peut attirer la malchance je démissione.

Il n'y avait rien de dangereux sur simple palier en milieu de tour entre deux escaliers. Un montait à la tour des serdaigles l'autre redescendait vers les escaliers qui n'en faisaient qu'à leurs têtes.

"Trés chere, peut-être que si vous ne touchez plus le sol, on sera moins poursuivis par la malchance." fit-il.

"C'est techniquement vrai. Mais je refuse de..."

Elle ne put finir sa phrase que le Serdaigle la porta jusqu'à un palier
où il la posa avec délicatesse. Elle ne s'agrippa même pas à lui,
elle pensait qu'il ne faisait que plaisanter...

"Si même ici, on peut attirer la malchance je démissione."

"Wow, tu exagère. Je te parie qu'il ne va rien arriver au vilain petit
canard blond de Serdaigle."

Elle fit semblant de se tenir sur un pied, puis cria un "Tada !"
Heureusement pour elle, elle ne perdit pas l'équilibre.
Puis elle fixa les escaliers en riant.

"Des élèves m'ont voulu, des professeur m'on voulu, mais des escaliers..."

Elle fronça les sourcils.

Maël éclata de rire.

J'exagere souvent...

Il eut un moment de reflexion sur la dernière remarque d'Eva et ne pu s'empecher de répliquer avec un éternel sourire legerement moqueur.

Si les éèves et les profs t'en veulent, il n'y a pas vraiment de rapport avec le malchance alors que les escaliers si, finallement c'est plus logique...

Il eut le grand sourire du petit garçon trés fier de sa grande déduction completement bidon avant de perdre so, sourire et faire une fausse grimace desesepéré et pitoyable.

C'est nul ce que je viens de dire heiin ? Ouai je suis nul...

Il alla voir par la fenêtre avec la fausse expression de celui qui voudrait bien passer au travers.

"C'est nul ce que je viens de dire heiin ? Ouai je suis nul..."
fit-il.

"Mais non, bien sûr, pourquoi tu dis ça ?"

Elle réfléchit une seconde puis sortit un cahier de son sac et le mit
sous le nez du Serdaigle.

"Car si vous étiez nul, mon cher, je vous aurai déjà claqué la tête
avec ceci"

Elle rit, et ils se remirent en chemin, évitant les escaliers autant que possible. Puis elle dit d'un ton serein :

"Et donc, tu te trouves nul, c'est ça ?"

Maël éclata de rire en voyant le carnet qu'il avait apparement faillit prendre dans la figure. Ils continuèrent leurs balades au traers des cuoloirs en évitant particulièrement soigneusement tout escalier notoire qui pourrait se trouver là par hasard ou pas.
Eva lui demanda s'il se trouvait nul. Maël haussa les épaules.

Mes vannes sont nulles en tout cas. Je sais que je suis pas drole mais ça m'empeche pas de sortir un trop grand nombre de coneries à la minute !

Il fit un grand sourire avec un petit air coupable qui a pas franchement de remord à Eva.
maël fit pourtant une grimace quand la sonerie retentit. Il prit un air mi-desespéré et soupira.

J'ai cours...quelle horreur...

"J'ai cours...quelle horreur..."
dit le jeune homme.

"Tu parles d'une horreur. Moi c'est pire, je n'ai pas cours.
Je me retrouve dans la salle d'étude avec comme surveillant...
Notre bien-aimé Severus Rogue."

Elle fit semblant de sangloter, une mine d'enterrement sur son petit
visage lumineux. Ils rirent tandis qu'ils se dirigaient vers les salles de
cours. Puis elle se retourna vers lui et dit :

"Bien, See you later. Amuse-toi bien"

Elle fit de nouveau une grimace devant l'air non enthousiaste de Maël.

Effectivement quand Eva lui conseilla de bien s'amuser, Maël ne pu s'empecher de grimacer.

Bien sur, j'y avais penser moi aussi...comment on fait deja ?

Il eut un sourire ironique.

A plus...

Il gratifia Eva d'un sourire avant de courir chercher son sac là ou il l'avait laissé plus tot. Il allait être en retard en cours. Tant pis, de toute façon ce n'était qu'enchantements. D'ailleurs, ce cours était pas malis pour le principe, Maël ralait. Alors même qu'on le voyait sourire en faisant ses devoirs.
En réalité, ce qui l'avait le plus ennuyé quand la cloche avait sonné était qu'il avait du écourter sa etite promenade improvisée.

Après avoir accompagné le jeune homme de Serdaigle à ses cours,
Eva retourna vers la grande salle, pour passer son heure d'étude
sous l'oeil "bienveillant" de M. Rogue. Elle rentra d'un pas lent vers la
salle. Elle aurait aimé rester près du lac ou dans le parc, à lire un
bon roman à l'eau de rose comme elle les aimait : écrit en tout petit,
avec des pages jaunies qui tombaient en lambeaux, l'odeur du moisi
qui lui rappellait son grenier à Tottenham Court Road...

Elle était du genre romantique, elle pouvait s'asseoir durant des heures
sous le clair de lune, rêvassant, ou ne pensant à rien, mais elle aimait
aussi se promener avec quelqu'un, le silence embarrassant ne la gênait
pas. Elle s'installa dans la table des Serdaigles, regardant à travers la
fenêtre, jusqu'à ce que la voix froide et lente du professeur Rogue la
fit revenir sur terre. Peut-être pourrait-elle retrouver Maël à la sonnerie.
Elle aurait aimé rester un peu plus longtemps avec lui : il était drôle
et amusant. Quelques minutes plus tard, qui parurent être des heures,
la sonnerie retentit : elle prit son sac et sortit de la grande salle.
Qu'avait-elle maintenant ? Oh, mais on était Jeudi...elle n'avait que deux heures de cours le matin. Elle ne se fera pas avoir encore une fois :
elle ira dans le lac, ou la forêt peut-être...