[Personnage]
• Nom & Prénom = Morrigan Aper (Hyde)
• Âge = 16 ans
• Année = 6ème années
• Caractère [Détaillez un maximum afin de faciliter la répartition] (4 lignes complètes minimum) =
Aper est une jeune fille qui repousse tout et tout le monde, les seuls personnes dont elle s’entoure sont des gens haïssables des personnes qui comme elle se montre cruelle avec les autres. Elle fait tout pour que les gens trop gentils la déteste au plus haut point et à vrais dire elle se débrouille très bien de se côté-là. Elle est pourtant loin d’être arrogante au contraire elle se hait plus qu’elle ne hait n’importe qui d’autres. Elle passe son temps à provoquer les gens, elle adore tester les gens voir jusqu où ils iront si on les pousse à bout, elle n’a pas peur de se prendre un sort dans les miches et de se retrouver à l’infirmerie voir pire, c’est sans doute même ce dont elle a envie, elle n’est pas suicidaire non juste le matin au réveil XD
• Physique [Décrivez tous les aspects physiques un maximum] (4 lignes complètes minimum) =
Aper est une jeune fille de taille moyenne, elle est assez satisfaite de sa taille, même si on ne peut pas dire que ce soit l'un de ses sujets de réflexions les plus récurrents. Elle a de long cheveux noir et le teint pale, que dire de plus sur son physique elle est belle même si elle ne semble pas y faire attention, elle se maquille oui mais ne se trouve pas particulièrement jolie, en tout cas elle ne reçoit jamais de compliments de ce côté alors elle se dit qu’elle ne doit pas être terrible, enfaîte c’est surtout que les gens évitent de lui parler de risque d’aller se faire envoyer paître. Enfin bref la plupart du temps quand elle ne porte pas son uniformes elle porte de vieux jeans usé et des tops, enfin rien de bien extraordinaire. Elle aime bien les petits accessoires de fillettes du genre les gros colliers de perles, les barrettes etc… elle en porte souvent d’ailleurs
• Biographie [Parlez ici de la vie de votre personnage, son enfance, un peu de ces années passées à Poudlard -sans donner le nom d'une des quatres maisons-] (10 lignes complètes minimum) =
Les parents de Aper c’était rencontré lors d’un bal auquel toute la société mondaine des sorciers de sang pur avait été conviée. La mère de Aper, Marie, était une sorcière d’origine française, elle avait fait ses études à beauxbatons et était venu vivre en Angleterre pour y débutée une carrière au seins du ministère au ministère des affaires étrangères magiques. Elle avait eu vent de la réputation de cet homme qui plus tard serait son époux, on le disait arrogant, parfois raffiné, cela dépendait des interlocuteurs mais tous revenaient à la même conclusion il avait un charme fou, un charisme stupéfiant et une manière de vous regarder qui était tout bonnement incroyable si il vous appréciait ses yeux ne pouvaient que vous envouter et vous capturer d’un seul regard mais si il ne vous appréciait pas, un seul regard de lui et vous aviez comme le sentiment de mourir de l’intérieur. Marie voulait se faire sa propre opinion de cet homme, constater d’elle-même s’il était vraiment comme on le décrivait. Je vous resitue la scène : Marie entre dans une somptueuse robe blanche simple et pourtant tellement élégante sur elle, ses cheveux sont bouclés, retenus en arrière par des perles blanches nacrées. Des regards furtifs se posent sur elle à son entrée dans la grande salle de bal, principalement masculin, principalement attirés par cette silhouette fine qui s’avance à présent dans la salle, les regards des jeunes femmes sont suivit pour la plupart de messe basse, les femmes entre elles ne manquent pas de critiquer la nouvelle venue, par jalousie évidement mais Marie ne les entend pas, elle ne veut pas les entendre mais bientôt elle ne peut plus en faire fi, deux jeunes femmes s’approchèrent d’elle, un regard dédaigneux posé sur la jeune française. Elles lui disent qu’elle n’a rien à faire ici que c’est un bal pour les gens de haut rang, bien sur elles se doutent que Marie est de haut rang, mais elles disent cela pour l’insulter. Elles se mirent ensuite à lui tourner autour tel deux rapaces près à fondre sur un cadavre, mais Marie ne relève pas, elle se moque bien de ses petites idiotes jalouses, elle n’imaginait pas que l’une d’elle lèverait la main sur elle et pourtant c’est ce que l’une de ses femmes fit. Marie était sur le point de lui lancer un sort quand un groupe de jeunes hommes arriva ils se placèrent entre Marie et les deux pestes. L’un d’eu parla Marie savait que c’était lui cet homme dont on lui avait parlé…Orion Hyde. Il s’approcha de la jeune femme qui venait de frapper Marie, lui plaçant sa baguette sous le menton il parlait ensuite à la foule en leurs demandant si cela leurs plairait en spectacle ce soir de voir une ignorante se faire tuer. Marie se fraya un chemin entre les hommes qui accompagnait Orion, elle se plaça entre ce dernier et la jeune femme apeurée et lui lança un regard noir, elle pointa sa baguette vers Orion et lui dit que sans doute les invités préfèreraient voir un jeune homme qui se mêle des affaires des autres se faire tuer par une petite française. Orion il faut l’avouer était très surpris par le comportement de la jeune française, il avait fait cela pour l’aider et voila qu’elle s’interposait entre son agresseuse et lui, c’était à en perdre son latin mais il ne put s’empêcher de trouver la réaction, de la française, très courageuse. Il baissa sa baguette se saisit de la main libre de Marie et il lui fit un baise main, en lui disant qu’il était enchanté de faire la connaissance de Marie du Fleuve, elle était surprise qu’il sache qui elle était mais elle était aussi extrêmement flatté dans son orgueil, après tout qu’un jeune sorcier de son envergure sache qui elle est, qu’il se soit donné la peine de se renseigné sur elle c’était très flatteur, alors il fit assez normal qu’elle se soit mit à rougir.
Ils passèrent la soirée ensemble, à discuter, à danser, à tomber amoureux l’un de l’autre, c’est simple plus la soirée avançait en heure, plus ils souhaitaient qu’elle ne se termine jamais. Ils ne sentaient plus les regards autours d’eux, ils n’entendaient plus les messes basses qui parlaient d’eux, ils n’entendaient plus que le song de leurs voix, de la musique sur laquelle ils dansaient. Mais la soirée pris fin ils se quittèrent aux premiers rayons du soleil mai se revirent dès l’après-midi et tout les jours suivants.
Orion demanda Marie en mariage le 16 Mai de la deuxième année de leurs rencontres il ne pouvait plus attendre, il la voulait pour lui et rien que pour lui, qu’elle lui appartienne à tout jamais et qu’elle soit la mère de ses enfants. Il savait que sa famille ne verrait pas d’un mauvais œil le fait qu’il épouse Marie, après tout son sang était pur et sa famille aussi déraisonnablement riche que la sienne. C’était donc un mariage des plus parfait qui s’annonçait, aucune ombre sur le tableau. Il ne pouvait attendre le soir, comme tout ses gens romantiques qui demandent en mariage autour d’un dîner au chandelle, non il ne pouvais attendre à peine avait-il acheter la bague qu’il fonça chez Marie et la demanda en mariage, la pauvre jeune femme était encore dans son lit, endormit, il pénétra dans sa chambre et se dirige vers elle, il s’agenouilla à côté du lit de la jeune femme et prononça plusieurs fois son prénom pour la tirer de son sommeil, elle à peine d’ouvrir les yeux qu’il lui demanda sa main. Elle accepta comme vous vous en doutez, après avoir compris ce qui lui arrivait, ce qui soit dit en passant se fit assez rapidement à l’entente du moi « épouser ».
Un beau matin de Juillet ce fut autour de Marie de faire une belle surprise à son mari, en effet la jeune femme venait d’apprendre qu’elle était enceinte de jumeaux, et il faut dire qu’elle était ravie, quoi qu’un peu effrayé, car c’était la première fois qu’elle attendait un bébé et là elle en attendait même deux, comment savoir si elle allait réussir à être une bonne mère. Comme son époux était absent pour la journée la jeune femme devait attendre le soir pour lui annoncer la bonne nouvelle, quand Marie entendit la porte sonnée elle se dit que se devait être Orion alors elle s’empressa de descendre les marches de la demeure pour se précipiter dans le hall, l’un des elfe de maison l’avait devancer et ouvrit la porte mais sa ne retint pas la jeune femme qui sauta dans les bras de son époux, (chassant l’elfe de maison en lui donnant un grand coup de pied dans le derrière). Elle lui annonça alors la bonne nouvelle et on peut dire qu’Orion prit cette nouvelle avec un très grand enthousiasme.
C’est fou comme le bonheur peut s’accumuler rapidement, dans un hélant de faits touts plus agréables les uns que les autres, c’est fou également comme son confrère le malheur peut en faire tout autant…
Le jour de la naissance de leurs enfants aurait du faire parti de ses jours qu’ils auraient considérés comme les plus merveilleux qui soit. Mais tout ne peu pas toujours bien se passer et ça la famille Morrigan allait s’en rendre compte. Il y eu des complications lors de l’accouchement… le première enfant sortit un beau bébé, c’était une fille : Aper mais le second ne venait pas, alors on du le faire sortir de force mais il n’était plus en vie les médicomages remarquèrent à sa sortit que le cordon ombilical de Aper était entouré autour du cou de sa sœur jumelle, cela pouvait arrivée, et cela avait pu avoir lieu il y a quelques jours comme quelques heures, rien n’auraient pu permettre aux médicomages de faire cette morbide découverte avant l’accouchement…
Les années passèrent… la mère d’Aper ne se remit jamais de la mort de son autre enfant, elle s’en voulait, elle en voulait à Aper, elle en voulait à son mari, alors elle fit ce que toute femme de sang pur riche à souhait pouvait faire dans ce genre de cas, elle ce mit à boire, toujours plus, toujours plus souvent. Le père d’Aper quand à lui était absent, il trompait sa femme avec maintes et maintes maîtresses, il passait également en toute logique moins de temps avec sa famille… sa famille, il ne la considérait plus vraiment comme la sienne.
Aper grandit… elle est en âge à présent de raisonner, lors de sa neuvièmes années de vie elle demanda à sa mère, pas tout à fait sobre comme à son habitude, comment était morte sa sœur, vous savez ce qu’elle lui a répondu ? « C’est vrais que tu ne peu pas t’en souvenir… tu la tué, égoïste comme tu es cela ne m’étonne pas que tu ne m’ai pas demandé avant… » Et elle la laissa là, elle sortit de la pièce, sans doute pour aller boire encore. Aper qui était resté figé dans la pièce regarda sa mère partir et dans un hoquet elle se mit à vomir.
Aper, qui jusqu’à présent avait été une jeune enfant pleine de vie souriante et très aimable avec les gens, changea du tout au tout, comme ça du jour au lendemain, comme si les mots de sa mère l’avaient ensorcelé… et elle devint alors la jeune fille que l’on connaît…
L’année de ses onze ans elle reçut sa lettre, l’informant qu’elle était invitée à suivre sa scolarité à Poudlard.
[Hors Jeu]
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