Maïwenn Colonna

Prénom et Nom : Maïwenn Colonna
Surnom(s) : Maï.
Lieu et Date de Naissance : Maïwenn est née à Londres, un 22 Mai. Elle a 15 ans.
Sexe : Féminin

Physique:
Maïwenn a les cheveux long et raide, d’une couleur Blonde comme le blé. Bien que ses cheveux soient fins, leur nombre et leur nature font qu’ils gardent un certain volume. Elle les a gardé durant toute son enfance coupés court. Ce n’est qu’un an avant sa rentrée à Poudlard qu’elle s’est décidée à les laisser pousser. Au grand désespoir de sa mère dont elle a justement hérité la chevelure et qui ne supporte pas de la voir aussi mal soignée, virevoltant au grès des brises passagères, malmenée par le temps. Car Maïwenn ne supporte pas cette manie qu’a sa mère et bien d’autres personnes de se mettre des crèmes démêlantes, de se parfumer. C’est pourquoi la plupart du temps elle ne les coiffe pas et préfère les laisser à l’air libre, même s’ils viennent sans arrêt se balader sur son visage. Les seules fois où elle les coiffe en tresse, c’est pour jouer au quidditch ou pour des cours particuliers. Ce n’est qu’à l’occasion qu’elle décide d’y faire attention, c’est à dire qu’une simple barrette viendra les rattacher. Maïwenn a les yeux d’un vert profond, clair, qui sont la porte de ses pensées. Car bien que Maïwenn soit une fille très expressive, il y a des sentiments qui ne s’expriment qu’à travers son regard, comme la tristesse, alors que la colère n’en est que plus amplifiée. Si l’on y regarde de plus près, la jeune fille à des reflets vert-gris, qui lui viennent de son grand-père paternel.
Maïwenn à une peau claire, qui cependant ne bronze sans aucune difficulté et n’a jamais pris un seul coup de soleil. Elle a un visage très fin, bien qu’il ai connu à une époque de sa vie quelques rondeurs, minceur qui est mise en valeur par des traits marqués. Elle a un nez peu long et droit, et une bouche ni trop charnue ni trop fine, qui peux passer de la mine boudeuse au grand sourire sans difficulté, révélant deux dents à peine plus grandes que les autres. Lorsqu’elle est endormie, la figure de Maïwenn est plutôt douce et inexpressive. Mais généralement son visage est très vivant, le plus souvent animé d’un sourire ou d’un éclat de rire, ou de mimiques telles que le froncement des sourcils. Maïwenn est dans la moyenne de son âge mais seulement de quelques centimètres. Et elle ne pense pas grandir encore beaucoup, peut-être atteindre 1,67m. Maïwenn se situe dans la moyenne, elle a eu une passade de sa vie où elle était plutôt ronde mais s’est désormais stabilisée à une corpulence plus fine. Elle n’a que peu de formes cependant, mais n’en a jamais été gênée.

Caractére:
Maïwenn est une jeune fille très impulsive, c’est sûrement son trait de caractère principal. Toujours dynamique et pleine d’énergie, prête à partir n’importe où, n’importe quand, Maïwenn aime l’aventure, et surtout la liberté. Ayant vécu sur les rives de l’Angleterre, loin des grandes villes, Maïwenn est une jeune personne libre et qui déteste les contraintes. Ainsi avec elle on ne s’ennui généralement pas, et étant plutôt sociable, elle n’est pas souvent seule. C’est également une personne franche et naturelle, tout le contraire de l’hypocrisie et ne supportant d’ailleurs pas les personnes qui en usent. Mais à côté de ce franc-parler bien malgré elle, Maïwenn est une jeune fille qui peut être douce, et attentive à ses proches, tentant de les consoler parfois maladroitement si le besoin en est. Elle aime rire, et son visage est souvent éclairé par un sourire amusé et des yeux bruns pétillants. Elle a également beaucoup d’imagination, ce qui fait que lorsqu’elle ne communique pas elle est perdue dans ses pensées et ses rêves, d’où un besoin naturel de solitude à certains moments. Enfin plus que dessus tout Maïwenn déteste la méchanceté gratuite. Elle ne manque pas de courageuse lorsqu’elle se retrouve devant une situation injuste, qualité qui lui vient sûrement de son éducation, et c’est là que son impulsivité peut se transformer en agressivité. Car à ce moment là elle n’hésitera pas à faire beaucoup pour défendre une personne dans un tel cas, particulièrement si c’est une personne appréciée.
Être impulsive n’est pas toujours une qualité. Car il lui arrive de se fourrer dans des situations loin d’être agréable, comme se retrouver seule face à deux grands de Serpentard, ou même perdu dans un lieu inconnu pour avoir voulu suivre une personne suspecte. Elle peut alors devenir agressive, voire même méchante. Son besoin de liberté ajouté à cela l’a parfois poussé à transgresser quelques règles de l’école, comme se promener la nuit dans les couloirs. Maïwenn a, il faut l’avouer, un sale caractère à certain moment. Très têtu, si jamais il lui arrive d’avoir tord elle se renferme et va voir ailleurs, non sans avoir lancé un regard noir vers la personne raisonnable. Elle est également très rancunière, et ce même pour des choses qui peuvent paraître moindre pour d’autre, de ce fait elle ne pardonne pas facilement.

Ce qu'elle aime et ses passions :
Maïwenn tient de ses parents une passion pour le quidditch. Elle rêve depuis toute petite de monter sur un balai pour faire les pirouettes les plus acrobatiques et filer aussi vite que le vif d’or à travers l’immense terrain. La jeune fille adore se faire peur et se poser des défis, ce besoin de se montrer qu’elle est bien vivante est toujours un plaisir pour elle. Ayant vécu près de la nature et des côtes anglaise, elle respecte la nature et les animaux, même si elle ne s’est jamais émerveillé devant un oisillon. Par contre elle voue une véritable admiration à la mer et l’océan, aimant se perdre dans les vagues dansant à la surface puis s’écrasant sur les rochers côtiers et l’horizon si lointain, qui l’entraîne toujours vers des pensées profondes.
Autrement, elle adore la bierre-au-beurre et pourrait passer des heures à discuter et rire avec ses amis autour d’une table, sa choppe bien chaude à la main.

Ce qu'elle déteste et ses phobies :
Maïwenn déteste l’hypocrisie et l’injustice, cette dernière la faisant généralement entrer dans une colère noire, comme expliqué plus haut. Elle a également une sainte horreur des rongeurs, particulièrement des gros rats, ayant un jour été attaqué par une bande de souris ensorcelée par un élève sorcier de sa classe. Ce dernier s’est d’ailleurs retrouvé avec une dentition très ressemblante de ses attaquants, après que la jeune fille ai emprunté la baguette de son père.

Histoire:
Maïwenn a passé une enfance heureuse, dans un petit village à quelques dizaines de kilomètres de Londres prés des rivages de la mer du Nord. Ce n’était pas un village sorcier, cependant on pouvait y recenser quelques familles de même bord, situées aux alentours de la Maison Colonna. Maïwenn était plutôt entourée, tantôt par ses parents mais le plus souvent par son grand frère et ses grands-parents maternels, ses parents travaillant tous les deux beaucoup. Cependant ils faisaient tout pour être proche de leur famille et rendre leurs enfants les plus heureux possible, ne manquant jamais de les emmener dans les pays les plus beaux, ou aux plus grands matchs de quidditch. Maïwenn passait beaucoup de temps à parcourir les alentours de village avec une petite bande de copains plus ou moins du même âge qu’elle et son frère, et également beaucoup de temps à contempler la mer qui s’animait devant elle, posée seule sur les falaises qui la surplombait.
S’il y avait une ombre au tableau ce serait, sinon l’absence de ses parents qui malgré leurs efforts était réelle, la présence des ses grands-parents paternels. Ses parents ne le lui ont jamais dit, et d’ailleurs Maïwenn ne sait même pas s’ils ils en sont certains, mais elle a toujours soupçonné ses grands-parents d’être plus ou moins proche de la magie noire, et donc du seigneur des ténèbres. Quoi qu’il en soit, les rares fois où elle avait eu l’occasion de les voir n’étaient pas des plus joyeuses. Il était étonnant de voir à quel point son père était différent de ses grands-parents, secs, froids et l’œil perçant, toujours prêt à vous reprendre d’un ton tranchant.
Maïwenn et son frère ont reçu une éducation de deux bords. Leurs grands-parents maternels leur ont appris le respect des autres et des valeurs, tandis que leurs parents leur ont enseigné la ténacité, le courage et toutes les qualités d’une personne droite et juste. Maïwenn est entrée à 4 ans à l’école moldu du village voisin. L’adaptation n’a pas été facile, car expliquer à une enfant de cet âge que l’on ne doit pas parler de sorcier, chocogrenouilles et autres n’est guère simple. Heureusement les instituteurs ont pris cela comme un débordement d’imagination, et tout le reste de sa scolarité s’est bien passé, si ce n’est quelques accrocs avec un autre camarade sorcier qui est rapidement devenu son pire ennemi.
Etant fille de sorcier, Maïwenn savait qu’elle possédait des pouvoirs, ou du moins l’espérait, devenir cracmol aurait été trop dur à accepter. Mais la première apparition de son pouvoir se déroula lorsqu’elle avait 2 ans environ. Ses parents l’avaient emmené au parc du village, histoire de passer pour des moldus parfaitement ordinaires et intégrés, et avait laissé la bambine entourée d’autres enfants du même âge. Lorsque soudain des cris de joies et des exclamations parvinrent aux oreilles des Colonna, assis à discuter cuisine avec des voisins. Maïwenn était en train de baver, mais au lieux de baver comme seul un bébé sait le faire, des bulles de toutes les couleurs sortaient de sa bouche, certaines prenant même des formes incongrues. A partir de ce jour-là, malgré l’explication des parents comme quoi elle avait dû avaler un produit moussant sans dangers, les Colonna furent regardés soupçonneusement par toutes les mères du village.
Maïwenn est entrée à Poudlard en même temps que tout les sorciers de 11 ans d’Angleterre. Elle n’était alors pas préparée à rencontrer autant de monde différent, et à vivre dans un château aussi immense après avoir vécu dans un village tel que le sien. Cependant son intégration fut plutôt rapide, rencontrant dès les premiers jours des élèves de sa maison venant eux aussi de se faire répartir, avec qui elle s’entendit plus ou moins bien. Les premiers cours se passèrent plutôt bien, mais au fur et à mesure ses préférences allèrent vers la défense contre les forces du mal, une des seules matières qui lui permettait de bouger et de combattre plus ou moins réellement. Cependant l’histoire de la magie devint vite détestable à ses yeux, comme pour la plupart des élèves, et elle passa beaucoup de temps à errer dans le parc en riant avec ses quelques amis. Elle réussit à intégrer l’équipe de quidditch de sa maison en 2° année, en tant que poursuiveuse remplaçante puis poursuiveuse titulaire. Maïwenn n’a encore jamais eu d’amoureux, même si lors de sa 3° année elle a rencontré un Griffondor désormais parti de Poudlard pour qui elle avait une véritable dévotion, cependant rien ne s’est jamais passé entre eux a sa 4° année Maïwenn laissa tomber le quidditch pour se concentrer sur ses etude. Ses parents étant tous deux Aurors, Maïwenn est très intéressée par cette filière, aimant le risque et l’aventure. Cependant elle n’a pas exploré toutes les possibilités qu’offre le monde magique.

Baguette:

Description : Baguette sculptée dans un bois de Frêne et contenant une plume rouge de phénix femelle, plutôt grande et fine. Une inscription est gravée au bas, toujours parfaitement lisible malgré l’état avancé de l’objet.

Son acquisition : C’est peu avant sa rentrée à Poudlard que Maïwenn acquiert sa baguette magique. Il faisait alors un temps brumeux sur le Chemin de Traverse, elle venait faire les courses de la rentrée avec sa grand-mère maternelle. Une fois chez Mr Ollivander, ce dernier lui fît essayer diverses baguettes, toutes plus différentes les unes que les autres. Contrairement à ce qu’attendait sa chère parente, il n’y eut aucune explosion lorsque la bonne baguette atterrit entre ses mains, seulement une multitude de bulles colorés, au grand soulagement du vendeur. Avant que celui-ci n’emballe l’objet, sa grand-mère grava sur la base de la baguette une formule, sans prononcer la moindre parole.