Dur réveil [pv Ineiveol]

Invité

Quand sept heures sonna, Lana rammena sa couverture sur elle. S'il y avait bien une chose qu'elle détestait le lundi, c'était le réveil. Ou plus exactement le radio-réveil. Cette saleté d'objet qui prenait presque plaisir à vous réveiller en sonnant ses deux cloches à l'aide de son petit marteau. Lana le laissait sonner, trop paresseuse pour l'éteindre, en gardant toujours le bête espoir qu'il s'arrêterait de lui-même. Mais non. Cette chose s'obstinait. Au bout d'un quart d'heure, résignée, elle tapa violemment dessus sans se soucier des petits mécanismes qui, comme à chaque fois, roulèrent sur le sol. Elle se dirigea vers la salle de bain et fet sa toilette avant de revenir s'habiller en uniforme de l'école. Elle prépara machinalement son sac de cours et alors qu'elle s'appretait à quitter le dortoir, elle manqua de trébucher sur une pièce de l'horrible mécanisme matinal. Elle soupira et reconstitua l'appareil à l'aide d'un "Reparo".
Elle traversa la salle commune des Jaunes, qui se trouvait être assez déserte à cette heure-ci. Il faut préciser que Lana était quasiment toujours l'une des dernières à descendre le lundi matin, en raison justement de son dur réveil. La jeune fille marcha d'un pas rapide dans les couloirs et arrivée au niveau du palier de l'escalier, son sac s'accrocha à une statue et se déchira, laissant échapper tous ses bouquins de cours dans un vacarme on ne peut plus discret.

- oh, mais c'est pas vrai ! laissa échapper la Poufsouffle d'un ton exaspéré.

Elle répara son sac d'un coup de baguette et récupéra ses livres à l'aide d'un Accio.

Mais où est-ce qu'il est ?

C'est ce que se demandait la préfète des Serpentards. Elle était actuellement à quatre pattes (pas très élégant pour une préfète), en train de chercher un collier qui était très cher à ses yeux. Elle cherchait sous tout les lits sans résultats. Elle finit par soupirer et par hausser les épaules. Elle continua de chercher pendant au moins une bonne demie-heure mais toujours sans succès. Par la suite elle fouilla dans la poche de son uniforme et commenca à fouillé dans les poches quand elle sentit quelque chose

Enfin je te retrouve toi

Elle sorti le collier de sa poche d'uniforme, elle le regarda pendant un petit moment avant de l'attaché à son cou et à le mettre sous son maillot vert foncé. Elle mit par la suite sa main sur sa côté, elle avait encore un peu mal depuis la dernière fois où une jeune Serdaigle l'avait bien heurté à la bibliothèque... Elle n'avait même pas été voir Mme Pomfresh pour voir si cela n'était pas trop grave. Elle finit par mettre sa veste argenté sur elle et de prendre sa baguette pour la mettre dans sa poche de veste.

Elle descendit les escaliers des dortoirs pour arrivé dans la salle commune, bien entendu tout les regards se tournaient vers la préfète. Décidement, pourquoi elle attirait tout les regards ? A cause de son céliba ? Certe mais son coeur et son âme n'était pas à vendre. Elle haussa les épaules et sortit de la salle commune. Cependant alors qu'elle se dirigeait vers les couloirs du château, lorsqu'elle vit une jeune fille courir à vive allure devant elle, elle eu tout juste le temps de s'équarter, elle secoua la tête et roula des yeux... Puis, un peu plus loin, elle vit cette même jeune fille qui avait déchirée son sac après une statue... Elle soupira et ce dit qu'elle devait être assez préssée, Inei l'avait très bien remarqué et elle se dirigea vers elle.

Hé toi ! On ne ta jamais dit de ne pas courir comme cela dans les couloirs ? Tu aurais pu te faire mal en plus, heureusement que c'est seulement ton sac qui a été déchiré !

Elle avait parlé avec une voix mi-froide, mi-tristounette. Elle planta son regard grisâtre dans le regard de la jeune fille de Poufsouffle, vu le blason jaune et noir qui était brodé sur l'uniforme de la jeune demoiselle. Elle attendit par la suite que celle-ci lui réponde, elle passa légèrement sa main dans ses cheveux lissés. Son regard de baladait de temps en temps sur les murs, enfin elle regardait surtout les tableaux et les fantômes qui se baladaient de tableaux en tableaux.

Invité

Des pas résonnèrent dans le couloir désert. Des pas plutot lents et surs d'eux. Tout en prenant d'abord soin de réparer parfaitement son sac, Lana redressa la tête et apercut une jeune fille se tenir devant elle. Celle-ci avait de longs cheveux blonds et affichait une mine légèrement exaspérée. Lana se demanda bien ce que lui valait la "visite" de cette fille et surtout l'air qu'elle affichait. Peut-etre était-ce à cause du comportement assez préssé de Lana et que celle-ci l'avait involontairement et sans s'en rendre compte bousculé. Elle eut la réponse à sa quetion lorsque la fille prit la parole et lui dit " Hé toi ! On ne ta jamais dit de ne pas courir comme cela dans les couloirs ? Tu aurais pu te faire mal en plus, heureusement que c'est seulement ton sac qui a été déchiré ".

Lana replaca quelques mèches de cheveux derrière ses oreilles et observa son interlocutrice en haussant les sourcils. Il lui semblait l'avoir déjà entr'apercue. Probablement dans les couloirs ou la Grande Salle. Ou peut-être en cours. Elle examina son blason. Serpentard. Mmmh. Il lui avait bien semblé déceler un ton plutôt froid dans ses paroles. Elle remarqua par la suite son blason de préfete. Cependant, même s'il lui paraissait l'avoir déjà croisé deux ou trois fois, elle ne connaissait pas son prénom mais se garda bien de le savoir. Même si certains élèves verts et argent se montraient relativement sociaux avec les élèves des autres maisons, elle réservait toujours une certaine méfiance à leur égard. Mais il faut dire que cette méfiance est méritée, lorsqu'on voit comment certains agissent.

Aussi, lorsque la préfète lui fit la remarque, Lana lui répondit simplement avec un air légèrement agacé:

- merci du conseil ! mais, désolée de te contredire, je ne courrais pas.

La Poufsouffle remarqua deux livres qui avaient dégringolé l'escalier et qui se trouvaient sur le palier du bas, quelques 20 marches en dessous.
A l'aide d'un second accio elle les fit venir à elle et ils vinrent s'empiler sur les autres. Elle commenca à les ranger dans son sac dont la couture était à présent complètement réparée, sans tenir compte de la présence de la Serpentard qui se trouvait encore là.

[HJ : Désolé du retard, de plus j'ai pas d'imagination ><]

Inei attendait toujours la réponse de son interlocutrice. Elle regardait toujours les fantômes qui se balandaient de temps à autres entre les tableaux. Un fin sourire se dessina sur la visage angélique de la préfète des vers et argents. Elle passa une main dans ses cheveux blond, avait de replacer une mèche derrière son oeille. Elle regarda par la suite sur Poufsouffle face à elle. D'ailleurs, elle n'avait toujours pas répondu à ce que lui avait dit Inei, et celle-ci commençait fortement à s'impatienter. Inei était certe patiente, mais sa patience avait quand même des limites.

Elle finit par soupirer et à croiser ses bras sur sa poitrine, fixant de nouveau la jeune Poufsouffle. Elle n'aimait pas attendre trop longtemps les réponses, alors qu'elle allait répliqué quelque chose à la jeune demoiselle, celle-ci finit par prendre la parole. En lui disant qu'elle la remerciait pour le conseil mais que celle-ci ne courrait pas, mais qu'elle marchait ! Elle marchait ? Un peu trop rapidement au goût de la préfète des Serpentards. Elle avait très bien vu que la jeune fille aétait aggacée, ce qui fit sourire légèrement Inei. Elle aimait bien quand les autres s'aggaçait pour pas grande chose.

Mademoiselle est énervée ? Mais voyons pourquoi être énervée ? A ce que je sache, je n'ai pas encore enlevé de point à ta maison ? Alors parle moi sur un ton bien meilleur que sur lequel tu m'a parlé, sinon cela risquerait de mal finir pour toi et cela ferait très mal à ta maison de perdre des points par TA faute !

Elle lui lança un regard noir. Mais pour qui elle se prenait cette jeune fille ? En tout cas elle était vachement culottée de parlé ainsi à la préfète des Serpentards. Bien qu'Inei n'allait pas très bien, elle savait très bien contrôlé ses sentiments et là, elle était très énervée par la jeune fille qui lui avait mal parlé. Il ne fallait pas que la jeune demoiselle lui parle comme celà encore une fois, car Inei risquerait de se mettre très en colère.

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