Même heure, même endroit. (Pv:Nodoka)

Léo courait dans une allée noire, il avait l’impression de courir depuis des heures, il se sentait fatigué. Il courait pour échapper à quelques choses mais il ne savait pas à quoi. Chaque fois qu’il avançait la porte qui se trouvait au fond du couloir reculait. Il n’en pouvait plus, il allait bientôt manqué de souffle. Enfin ! Il venait de poser sa main sur la poignée. Il ouvrit alors la porte. Il entra dans sa chambre d’enfant, des murs avec des petits canards. Ceux-ci qui se transformait en monstre. Il fonça alors sur la porte pour s’échapper mais elle ne s’ouvrait plus. Le monstre jaune le dévora et il se trouva près du lac de Poudlard où une fille s’y noyait. Léo plongea dans l’eau glacée, il n’arrivait pas à atteindre cette fille. Des créatures marines l’emmenaient au fond de l’eau à chaque fois qu’il arrivait près d’elle.

Le jeune Serpentard se réveilla en sursaut. Il avait chaud. Trop chaud. Il se leva de son lit avec aucune envie d’y retourner. Il faisait le même cauchemar depuis trois jours. Sans aucune raison particulière. Il avait beaucoup réfléchis à ce problème. Oui, c’était un problème. Il ne dormait plus depuis trois jours, il avait d’immenses cernes. Le garçon descendit dans la salle commune, il y faisait tout aussi chaud. Il leva les yeux au ciel, au dessus de lui se trouvait le lac. Il ferma les yeux et entendis à nouveau les cris de cette fille. Il avait l’impression qu’elle était bien là. Pourtant, c’était quasiment impossible, tout le monde entendrait des cris. Par précaution, il remonta au dortoir, s’habilla chaudement et quitta sa salle commune.

Dans les cachots, il longeait les murs froids et humides. Il n’avait pas vraiment peur de se faire coincé. Miss Teigne ne le croisait que rarement, il avait d’ailleurs remarqué que cette chatte tournait plus auprès des Gryffondors. Tant mieux pour lui. Il était seul, il aimait être seul. Ne penser qu’à lui-même. Hé oui. Léo pensait rarement à lui. Il avait toute sorte de chose en tête. Il n’était pas vraiment le Serpentard model. Il ne le serait jamais, il n’avait pas envie de l’être. Même s’il ne s’attachait pas à beaucoup de personne, mais quand il s’y attachait…Il ne les lâchait plus. C’était un très bon ami, il pensait plus souvent au bonheur de ses amis qu’au sien. Il était heureux, il n’avait besoin de rien. Il s’arrêta net et poussa doucement la porte qui menait à la cour.

Le jeune homme suivit le chemin vers le lac. Il respirait fort. Il avait un peu peur que son rêve ne soit pas un rêve. Même si tout cela était invraisemblable. Il marcha sur le ponton, le lac était devant lui. Dedans personne. Il eu un soupire de soulagement, et se retourna pour voir le château. Il eu un petit souvenir, lui se disputant avec Nodoka Shelder (qui avait d’ailleurs attirés la plupart de ses pensées pour découvrir ce qu’elle cachait). A nouveau, il ferma les yeux. Il fut propulser directement dans son rêve, cette fois-ci il voyait clairement le visage de la jeune fille…Nodoka…Nodoka ?

-Nodoka ?

Léo rouvrir les yeux, il ne s’était même pas rendu compte qu’il avait appeler la jeune fille. Les yeux fixer sur le lac, peut-être attendait-il un signe ? Peut-être espérait-il avoir une réponse à la question « Pourquoi je fais ce rêve ». Peut-être voulait-il simplement vider son esprit…

Tard, dans la nuit, une heure ou tous les élèves dormaient, enfin presque tous. Deux ombres dans la nuit, deux adolescents, qui n'ont aucun droit d'être ici en plein milieu de la nuit. Un duo très singulier, un Serpentard, et un ou plutôt une Serdaigle, deux élèves de maison différentes et qui pourtant sont là ce soir, ensemble tous les deux assis sur le bord d'une fenêtre de la volière. Des chuchotements, des murmures presque imperceptible, parfois des éclats de voix, une converstation plutôt houleuse.

"Fait attention à tes actes, ici nous sommes en Angleterre, notre famille ne sera pas toujours là pour nous! Ne provoque pas autant les autres, tu sais si notre famille plonge on plongera avec eux aussi, nous ne sommes pas blanc comme neige.

Cette phrase résonne dans l'air comme une déflagration, la jeune fille se répète plusieur foice ces mots dans sa tête, " blanc comme neige", comme si elle ne le savait pas, cette nuit restera gravée dans sa mémoire, comment peut-on oublier un souvenir pareil. Encore, absourdis, elle rétorque au jeune homme d'un ton froid:

"Ne me dit pas ce que je dois faire Kotarô, ne me donne pas de leçon quand tu à la mort de ma tante sur la conscience.Je sais très bien quel est mon rôle ici, ne te mèle pas de mes affaires, tu beau être mon cousin, je ne te pardonerrais pas si facilement"

On comprend mieu maintenant, la précense de se duo, dans ses mûr, lien de parenté. Kotarô Etsuki, élève de Serpentard en 7ème année, plutôt hautain, froid, distant et malsain sur certain côté et Nodoka Shelder élève de Serdaigle en 5ème année, calme, froide, distante, isolée qui n'a confiance en personne. Des point communs, des différences, mais liés par le sang quand même. Converstation, plutôt étrange pour des adolescents de cet àge là et pourtant ces deux là ont perdu leur inoncence et pureté depuis bien longtemps déjà. Quand on est élevé dans une famille comme la leur, ou tous les moyens sont bon, surtout les pires pour éliminer leurs adversaires et rester la famille la plus influente de Corée du Sud. On comprend peut-être le fait que ces deux là se soient déjà salit les mains.

Kotarô toise sa cousine, d'un regard hautain et froid. Pour qui elle se prend cette petite peste de 15 ans, c'est peut-être l'héritière de la famille, pour lui si leur liens n'existait pas sa ferait longtemps qu'il l'aurait étranglé sur place. Il se leva et lui lança quelques mots qui restèrent dans l'air avant de tourner les talons et de partir comme un prince.

"Ta tante comme tu le dit, est un immonde personnage qui à causée la mort de ma soeur jumelle. Et puis ne dit pas que tu est innoncente, je suis au courant pour l'histoire de Dreama, ça circule un peu dans tout le chateau. Nodoka je t'interdit de fréquenter Léopold et Dreama, leur parents travaillant tous deux au ministère, il pourrait nous causer du tord. Si ce n'est pour toi fait le au moin pour ta famille, j'ai reçut l'ordre de te surveiller que tu soit d'accord ou non"

La jeune Serdaigle regarda, le jeune homme partir sans rien dire, malgré tout il avait raison et elle avait le devoir de l'écouter. Elle resta un instant à regarder les étoiles depuis la volière sans un bruit, puis elle se mit à descendre les marches tranquillement une bonne heure après le départ de son cousin. Des phrases de leur discussion lui trotant dans la tête elle marche comme un sumnambule, sans savoir ou elle se dirige. Quand elle reprend conscience, ellle se rend compte que ses pas l'ont conduit à son endroit préféré près du lac. La jeune fille est encore à quelques bon mètre de cet endroit, quand elle prend tout à coup conscience de la précense d'un jeune homme, de ce jeune homme qu'on l'on vient juste de lui interdire de fréquenter, Léopold Dante.

Elle hésite, elle aimerait bien passer le reste de sa nuit dans cet endroit, mais le fait qu'il soit là n'est pas frocément une bonne chose. Elle s'aproche néamoin du jeune homme, quand sur un coup de tête elle commence à faire demi-tour. Elle entend alors son prénom, croyant que le Serpentard, l'a vut et qu'il l'appelle elle se retourne et lui répond d'un ton calme:

Bonsoir Léo, que me veux-tu ?

Léo se retourna brusquement vers Nodoka, l’air surpris. Il sourit faiblement regardant alternativement la jeune fille et le lac. Non, elle n’était pas dans l’eau. Il soupira, soulagé. Pourquoi était-il soulagé ? De voir la fille qui avait ridiculiser sa meilleure amie était seine et sauf. Il était plutôt soulagé de voir que son cauchemar n’était qu’un simple cauchemar. Aucun phénomène étrange ne tournait autour. Même si il se demandait pourquoi Nodoka était apparue si soudainement, peut-être avait-elle besoin d’aide. Ce fût donc la première chose qu’il demanda à la jeune Serdaigle.

- Tu as besoin d’aide ?

Après réflexion. La question était un peu soudaine. Il devait rajouter quelque chose. Il s’approcha de la bleue, la regarda de haut en bas. Il ne la toisait pas, il cherchait seulement un détail qui pourrait lui donner une raison pour laquelle elle aurait eu besoin d’aide. Mais il ne trouva pas. Il devait sûrement avoir des minuscules signes dans le regard de la jeune fille, mais Léo ne pouvait y trouver un indice. Il ne la connaissait pas assez. Il n’avait été que trois fois face à face avec elle. Il décida d’user de ses talents de comédien, assez bons d’ailleurs.

- Enfin…J’ai l’impression que il y a quelque chose qui te trace, tu sembles énervée.

Son jeu n’était pas parfait, même il pouvait marcher. Il faisait noir, on voyait à peine son visage qui disait le contraire des ses mots. Et puis, il était tard. La demoiselle ne fera sûrement pas attention. Même si, Léo se conduisait comme s’il était ami avec elle. Il n’était pas d’humeur à chercher des noises à quelqu’un. Il était venu au lac pour se changer les idées. Pour ça, elle avait changée. Il s’était à nouveau concentré sur Nodoka et sa vie. Il avait d’ailleurs appris, par l’intermédiaire d’un collègue, très très proche du ministre, de son père (Léo ne prenait plus le risque d’impliquer sa famille, il avait été prévenu.) que Shinobu, la mère de Nodoka, avait été marié à un moldu qui n’était pas ce Shelder. Il n’y avait plus vraiment pensée. Mais maintenant, tout lui revenait en tête. En plus, Lila lui avait dit qu’elle avait grandie dans une famille où il était difficile d’avoir confiance les uns en les autres. Il hésita d’en parler, mais il fallait bien que Nodoka sache ce qu’il savait. Il allait d’abor abordé la situation autrement. Mais plus en inventant cette fois, il allait lui raconter un bout de sa vie. Il était près à beaucoup pour connaître le mystère qui tournait autour de cette jeune fille. Il allait lui parler de sa propre mère.

- Moi, je ne suis pas en forme non plus. Ma mère s’est remariée il y deux semaines. Avec un moldu. Je suis définitivement rayée de sa famille. Mon père m’a dit que c’était des choses qui arrivait…C’est vrai, non ? Ta mère aussi s’est remariée, non ?

Pas très futé quand même. Il ne s’attendait pas du tout à ce que Nodoka lui réponde franchement. Il s’apprêtait à recevoir en pleine figure des répliques piquantes, lui disant de s’occuper de ses affaires. Même si, le jeune homme lui, était prêt à changer la relation qu’il y avait entre eux. Sa fatigue le rendait plus agréable, il réfléchissait moins aux choses qu’on lui disait et ne prenait plus la peine de s’attarder à répliquer des méchancetés. Le manque de sommeil pouvait changer quelqu’un ? Pour Léo, oui. Enfin, pas vraiment. On pouvait simplement le qualifier d’un garçon plus aimable, plus fréquentable.

Nodoka, s'était retournée et regardait maintenant le jeune homme, sa réaction la surprit c'était pourtant bien lui qui venait de l'appeller et il semblait surprit de la voir. la jeune Serdaigle n'ajouta rien de plus attendant une réponse de Léo qui restait l en face d'elle regarda alternativemment la jeune fille et le lac. La bleu et noir était intrigué par son comportement mais ne lui posa aucune question, elle même ne supportant pas qu'on se mèle de sa vie. La question que lui posa le Serpentard la laissa ababsourdi, elle s'attendait à tout sauf à ce qu'il venait de lui demander là. La jeune femme le regardait d'un air intérogateur, elle s'apreta à lui répondr quand le vert et argent reformula sa question précedente. Nodoka se demandait pourquoi le Serpentard était si agréable avec elle, alors qu'elle avait tout fait pour qu'il la déteste. Reprenant ses esprit la jeune femma s'apreta à répondre.

Je ne vois pas pourquoi tu dit ça, Mister Dante et puis même si j'avais besoin d'aide je ne pensse pas que tu puisse faire quoi que ce soit pour m'aider. Mes problèmes dépasse en loin ce que tu peux imaginer.

La nuit avait beau être installée depuis bien longtemps déjà, la jeune femme discernait plutôt bien son interlocuteur. Sans savoir, pourquoi quelques chose sonnait faux chez lui, mais pas vraiment pour une mauvaise intention. La bleu et noir croisa les bras tout en continuant de fixer le beau jeune homme en face d'elle(J'avais envie de te flatter XD) Les quelques paroles que prononçat ensuite Léopold, la suprit encore plus, que le jeune homme lui raconte certain élément de sa vie la laissait stupéfaite. Néamoin la bleu et noir cerna son jeu, celui-ci ne cherchait qu'a tirer des renseignements sur son passé. Nodoka trésaillit à l'énonciation de son père et de son beau-père. reprenat bien vite ses esprits, avant de lui répondre

Pourquoi mon passé t'intéresse tan que ça Léo ? Pourquoi ne me laisserais-tu pas en paix avec ça. Tu veux la savoir ok, je te le dit, tu a raison ma mère s'est
remariée, effectivement je suis Nodoka Shinobu et alors, mon père et mon beau-père sont mort. Voilà tu sait ma situation familliale et si tu arrètais de fouiner maintenant. Avant qu'il ne soit trop tard pour toi, rajouta la jeune demoiselle faiblement, presque dans un murmure

- Désoler de m’intéresser à toi. Je retire ce que j’ai di.

De toute manière Léo n’avait pas eu la moindre envie d’aider Nodoka. Sauf si en l’aidant il pouvait en tirer profit. Cette jeune fille ne pouvait rien lui apporter et lui, ne pouvait pas lui apporter grand-chose. Il savait bien que sa famille avait eu quelques problèmes, il savait qu’il ne pourrait jamais rien faire pour elle. Ce qui ne le dérangeait pas vraiment. La seule personne pour qui il donnerait son aide à Poudlard, c’était Dreama, sa meilleure amie. Que d’ailleurs, Nodoka avait royalement ridiculisé. Il sourit, amusé par la dernière réplique de la Serdaigle. Ce qu’il pouvait imaginé sur elle était terrible. Enfin, il imaginait le pire, toujours. Une méthode qui marchait assez souvent. Impossible d’être déçu.

- Et, Je suis très imaginatif comme gars.

Léo sourit, satisfait. Oh, il savait enfin. En gros, les détails ne les intéressaient pas. S’il s’était tant obstiner à savoir la vie de Nodoka, s’était qui voulait toujours connaître la vie des personnes qui l’entourait. Qu’il les aimes ou pas. Il aimait en savoir plus que les autres. Son but n’était pas d’entrer dans la vie des gens, mais simplement de les connaître. Ca ne lui apportait un certain réconfort. Il voulait savoir que sa vie n’était pas mal. Qu’il était plus heureux que certains. Au fond, le jeune homme n’avait pas la moindre assurance. Quand on s’attardait à lui parler, on pouvait remarquer une certaine déstabilisation. Nodoka l’avait sûrement vu. Mais lui ne voulait pas l’accepter. Il était conscient de ça, il avait du mal à le reconnaître.

- Ton passé m’intéresse, comme la vie de tout les gens de Poudlard. Ca m’apporte une certaine chose. Même si, j’avoue ton passé m’a intriguer plus qu’autre chose. Je te laisserais tranquille quand j’aurais envie.

Ainsi, le père biologique de Nodoka était aussi mort. Il savait déjà que son père, celui dont elle portait le nom, avait été tué par elle. Il regarda la jeune fille droit dans les yeux. Avec une question qui lui brûlait les lèvres. Une question qui risquait sans doute de lui attirer des ennuis.

- Lui aussi…Tu l’as tué ? Tu laisserais ta famille me tuer ? Enfin, je pense quand tout ça tu n’as pas grand-chose à dire…Tu obéis ou tu meurt. Je brise peut-être des cœurs, mais ce n’est rien…Rien comparer à ce que tu as fais…Tu as prit une vie. Tu…es étrange

Etrange. Il n’avait trouvé que ce mot là pour décrire. Mais, il trouvait vraiment Nodoka étrange, mais étrangement attirante.

Tu es vraiment lunatique comme mec!

Nodoka regardait le jeune homme sans rien dire, elle se disait qu'elle aurait dû écouter les ordres de son cousin et ne pas venir parler aux jeune homme. Il n'apporterait que malheur pour elle. Au début ele avait été étonnée de l'atitude du jeune homme, mais ces vieilles habitudes recommençait déjà a reprendre le dessus, effectivemment il est vraiment lunatique comme mec, tout le temps à changer d'hatitude avec elle. Qu'elle se dispute ou qu'elle parle calmement avec Léo, ne changeait pas vraiment la bleu et noir, il n'était pas fait pour s'entendre. Elle le trouvait telement énervant. Quand le vert et argent reprit la parole elle ne comprit pas ce qu'il voulait dire par être très imaginatif, et puis qu'est-ce qu'elle en avait à faire.

De toute façon je ne te comprend pas et je ne cherche pas à te comprendre.

La jeune Serdaigle, les yeux dans le vague, semblait totalement déconecté du temps, parler de sa famille la ramenait toujours des années en arrières. Les dernières paroles du jeune homme confirmèrent, les idées de Nodo, il ne savait en aucun point commun fonctionnait sa famille. Comme si la bleu et noir, tuait pour le compte de sa famille, cette histoire n'avait été qu'une péripétie. Néamoin l'accusation portée par Léo, l'a toucha plus qu'elle ne voulut l'admettre, malgré tout ce qui s'était passé la jeune Serdaigle aimait toujours profondément son père, que Léo l'accuse de l'avoir tué la rendit furieuse. Elle se tourna vers le Serpentard, les yeux brillants de rage.

Je n'ai pas tué mon père!
Je n'aurais jamais fais une chose pareille. Désolée de te contredire, mais ma famille n'utilise pas ses propres membres pour éliminer les autres, on va dire qu'on possède nos propres tueurs à gage, dit la jeune fille d'un ton calme et sarcastique. Et puis, même si je le voulait, je ne pourrait rien faire pour toi, c'est mon grand-père qui décide. Je ne devrait même pas te parler en ce moment même c'est toi qui décide du propre sort de ta famille Léo. Même si tu à pris le soin d'utiliser un ami à ton père pour soutirer des informations sur ma famille, c'est ta famille qui en patira pas la sienne. C'est dangereux de se frotter, a notre famille, tu ferais mieu de t'arrêter maintenant, ce n'est pas une menace, juste un conseil pour éviter ta mort.

Léo hocha simplement la tête. Il était lunatique, ce n’était vraiment un défaut. De toute façon, il pouvait être le garçon le plus aimable de la terre, Nodoka ne le supporterais pas. Il était persuadé qu’il lui trouverait des millions de défaut. C’était clair, il ne pouvait pas s’entendre. Cela ne dérangeait pas vraiment le jeune homme, il n’avait pas besoin de personne en plus dans son entourage, il avait toute les personnes dont il avait besoin. En plus, il ne demandait pas grand-chose : Une petite copine, une meilleure amie, un groupe de personnes pour se défoulé de temps en temps, un père. Voilà, il n’avait besoin que de ses personnes-là. Il ne cherchait pas à changer d’entourage, il se plaisait bien comme ça.

Il fit un petit sourire sadique. Même si Nodoka cherchait à le comprendre elle n’y arriverait, il valait donc mieux qu’elle ne commence pas quelque chose qui était perdu d’avance.
C’est ce que faisait le jeune homme assez souvent. Il analysait tout avant de commencer. Quand il savait qu’il n’arriverait pas au bout de quelques choses, il ne s’y aventurait pas. Il n’aimait pas être déçu. Il l’avait déjà trop souvent été. Enfin.

- Tu n’y arriverais pas de toute manière.

Dit-il d’une voix doucereuse.
Dès que Nodoka eu finis son petit discours, Léo fit un énorme sourire. Elle se faisait avoir à chaque fois. Il n’avait qu’à dire du mal de sa famille pour en connaître plus. Il voulait bien connaître le point faible de personne. Pour la jeune Serdaigle, c’était sa famille. Même s’il le devrait, Léo ne prenait vraiment pas les conseils de la jeune fille au sérieux. Pour lui son père était un très bon sorcier et il ne pouvait pas mourir. Il ne pouvait pas lui arriver malheur et il ne lui arriverait jamais malheur.

- Tiens ça c’est étonnant. J’avais oublié que les grandes familles du monde sorcier, celle respectée de tous, ne réglait pas leur problème seul. C’est fou comme les plus grand son souvent les plus lâche.

Pour ce qui était de sa vie à lui, il ne s’en soucia pas vraiment plus que ça, il ne pensait pas qu’on pouvait s’attaquer à un enfant. Même si Léo avait bientôt 18 ans, il était encore un enfant.

- Je me demande, si cela devrait arriver, qui s’occuperait du sort de mon père. Un pauvre petit sorcier soumis, où aura t’il l’honneur d’avoir un membre de ta famille ?

Léo se sentait parfaitement en sécurité à Poudlard, il ne sentait en sécurité. Et pour sa mère, sa mort ne le toucherait pas vraiment, ni celle de son père.

Nodoka regarda le jeune homme en silence, elle savait bien que le Serpentard ne cherchait qu'a savoir son passé, cela ce serait passé quelques années plus tôt elle n'aurait pas eu de mal à le lui dire, mais maintenant, elle avait tellement étais rejettée a cause de ça qu'elle s'était renfermée sur elle même. Le regard de certaines personnes lui en disait long sur ce qu'ils penssait d'elle, mais maintenant le regard et l'avie des gens ne la touchait plus. La bleu et noir s'aprocha du lac, déposant ses mains
doucement dans l'eau glacée du lac, faisant des vagues sur sa surface lisse.
La jeune Serdaigle retira ses main bleuient a cause du froid. Elle s'assit dans l'herbe,
laissant le silence faire place entre les deux jeunes gens.En y réfléchissant, elle s'en
fichait de son passé, elle ne craignait pas que le ministère de la magie l'apprenne,
et la perspective de finir à Azkaban ne l'ébranlait pas. la seule chose qu'elle pourrait regrettée c'est de laissée derrière elle sa mère et... Lila, oui cette petite fille de Gryffondor, qui lui avait aportée tant de soleil dans sa petite vie. Elle regretterais les sourires, les bêtises et les secrets partager entre les deux jeunes filles. Au fond Nodoka et Lila se ressemblait beaucoup, même si l'une s'était construit une carapace pour ne pas souffrir à nouveau.

Tu sais, Léo je pourrais sûrement te le dire maintenant, mais quelque chose m'en empèche, non pas la peur que tu aye en informer ton père et la condamnation qui pourrait m'arriver par la suite. Non juste la manière dont tu me regarderais après te l'avoir dit, me blesserait plus qu'autre chose, je ne sais même pas pourquoi je me soucis de toi.

La bleu et noir, le savait avait toujours été une fille comme ça, le fait que les autres la considèrent comme un monstre, l'avai toujours bléssée. Alors après ça ses seules réponses ont été le silence, un mur de silence que seule Lila avait réussit à détruire, enfin pas dans sa totalitée, elle ignorait bien des choses encore. Les yeux brillant la jeune fille tourna la tête, vers Léo et se mit à observer celui-ci, pouvait-elle lui faire confiance. Comment pourrait-elle faire confiance à une personne aussi fause que lui .

Léo je voudrais te demander un service! je pense que ce ne seras pas bien difficile pour toi, mais s'il te plait prends soin de Lila. je ne sais pas pouruqoi je te demande ça, peut-être parce que je sais que mon départ de cette école est proche.

Le sourire satisfait de Léo s’évanouis peu à peu, au fur et à mesure que Nodoka parlait. Il ne s’était jamais vraiment soucié de cette fille, il avait eu juste envie de connaître sa vie, son passé. Il ne s’était jamais attardé à la connaître elle, il ne savait pas vraiment pourquoi. Il la regarda silencieusement mettre ses mains dans le lac et aller s’asseoir dans l’herbe humide.
Le jeune homme détacha son regard de la Serdaigle, il ferma les yeux et pris une grande inspiration. Les dernières images de sa mère lui revint en mémoire,…C’était toujours la même chose, dès qu’il était mal à l’aise il entendait sans cesse les échos de la voix de sa mère résonner dans sa tête…

Spoiler:

« Ton fils est un monstre ». C’était ses mots là qui lui revenaient en tête. Plus il grandissait, moins ses souvenirs revenait. Aujourd’hui, ça lui était moins dur de vivre sans sa mère, il avait compris qu’il n’y était pour rien. Pourtant, quand il était dans ce genre de situation, tout revenait en lui comme s’il était encore dans ce hall. Lentement, il revenait dans le présent, il ouvrit doucement les yeux et soupira. Il s’adressa à Nodoka sans la regarder, il n’en avait pas envie, ou pas le courage.

- Je n’ai aucune envie de te condamner. Je n’ai jamais eu cette idée d’ailleurs. Je voulais simplement connaître ton histoire. J’ai besoin de savoir qu’il y pire que de se faire abandonner par sa mère. Tu en es la preuve, je n’ai pas fais ça pour avoir le plaisir de te voir partir, de te regarder comme un monstre (Léo articula avec difficulté ce mot)…Je fais pour mes besoins. Tu n’as pas à te soucier de moi…Tu as d’autres soucis plus important, je pense.

Le jeune homme fit un petit sourire. Il aimait entendre parler de Lila. Il aimait beaucoup cette petite. Il savait qu’elle était beaucoup plus jeune que lui, mais ça ne lui dérangeait pas vraiment. Il n’avait pas besoin d’une personne qu’il avait côtoyé en temps qu’amis. Bien sûr il avait eu des filles qui lui plaisaient avant Lila mais avec la Gryffondor il trouvait ça plus simple, c’était plus facile pour lui. Même s’il n’était pas près à lui dire ‘Je t’aine’ tout de suite (Il a toujours eu du mal à être claire dans ses sentiments), il espérait finir son année au côtés de Lila, et même la revoir après Poudlard. Bien qu’il avait ses choix, et que pour lui ça serait un peu difficile.

- Je prends déjà sois de Lila, mais dans 5 mois je quitte Poudlard. Elle aura sans doute besoin de toi. Enfin, fait ce que tu veux. Je m’en fou de toi, je dis ça pour Lila.

Léo ne s’en foutait pas vraiment de Nodoka mais il devait garder un peu de la personne qu’il jouait avec elle…

Nodoka écoutait le jeune homme parler en silence, les paroles du jeune homme confirmèrent les soupçons de la jeune fille. Elle n’était pas vraiment resté inactive de son côté pendant que Léo fouillait dans son passé, maintenant elle savait les causes réel du départ de la mère du jeune homme. Non pas qu'elle voulait fouiller dans le passé du jeune homme, mais juste savoir à quoi était du son attitude de maintenant, essayer un peu de le comprendre, même si les deux jeune gens ne pouvaient pas se supporter, la jeune Serdaigle avait vraiment envie de le connaitre sans savoir pourquoi. Elle songeait que tous les deux n’avaient pas eu la vie dont il rêvait, la seule chose qui les différenciait vraiment, c’est que Léo lui avait prise sur son avenir, elle non. Tout était déjà décidé pour elle.

[Tiens le voila ton flash back Xd]

Alors, que c’étais l’hiver, l’hiver de mes 4 ans. L’âge ou ma vie se transformerais en une fuite interminable. Je me promenais insouciante avec mon Grand-père, le chef incontestable de notre famille. De mes yeux d’enfant il était un être merveilleux, que j’aimais par-dessus tout. Ce matin là de décembre, tenant la main à mon Grand-père on marchait tous les deux, dans la neige blanche qui venait juste de tomber. Emerveiller je regardais partout autour de moi, il était rare qu’il neige en Corée, c’étais la 1er fois que j’en voyais. Il me montrait tous les endroits qui nous appartenait, jusqu'à ou notre demeure allait, écoutant d’une oreille distraite, je m’amusais dans la neige. Mon Grand-père, ne disait rien observant sa plus jeune petite-fille, découvrir les merveilles de la nature. D’un geste affectueux il me prit sur ces genoux et du haut de la colline nous observions, la ville en dessous de nous. Souriant je lui demandais de me raconter l’histoire de notre famille, comment une famille issu de pauvres paysans à put devenir, une famille puissante, respecté et crainte de la Corée du Sud. Frigorifiée, je demandais à mon grand-père de rentrer à la maison.

Passant la semaine, dans notre demeure principale, je m’amusais, avec mes cousins et cousines tous plus âgés que moi. Ayant toujours eut un caractère fort, je finis par m’embrouiller avec les plus grands qui eurent vite fait de me mettre en pleure. Ignorant le fait que tous, les parents, portant l’humble nom des Shinobu étaient en réunion, je couru en pleure dans la grande salle, voulant chercher réconfort auprès de mon Grand-père. Ignorant toutes les personnes présente dans la salle, dont ma mère je couru vers mon Grand-père, m’effondrant dans ses bras. Un silence se fit dans la salle pendant que je racontais, ma mésaventure avec mes cousins et cousines, qui regardaient discrètement dans l’entrebâillement de la porte. Ma mère retenait son souffle, pensant que j’allais recevoir une sévère correction, pour déranger la réunion. Mon grand-père au contraire me prit sur ses genoux, un grand sourire aux lèvres. De sa voix rauque il demanda à mes cousins et cousines d’entrer dans la salle avant de prendre son souffle et d’annoncer devant toute la famille réunit :

-Je vous prierais, jeune gens de ne plus embêter, celle qui sera dans quelques années votre chef de famille.

Me montrant du doigt, la ville que l’on pouvait apercevoir de la fenêtre il me dit dans un sourire :

-Bientôt, Nodoka Shinobu, tout cela t’appartiendra, et tournant le regard vers ma famille il rajouta, et ces personnes ici présentes t’obéiront, sans discuter.

[Fin flash back, cour je sais^^]

Nodoka se retourna vers le jeune homme, fixant ses yeux noir dans ceux de Léo.

Tu sais Léo, tu n’es pas le seule à souffrir dans cette école et oui on trouve toujours pire que soit. Juste une chose, une mère aime toujours son enfant au plus profond d’elle-même. Je ne dis pas ça pour te réconforter ou autre chose, mais juste parce que je le pense. Mon histoire n’est pas aussi terrible que tu le pense. Et puis c’est mon droit si je me soucis de toi, non ! Et mes soucis, ne sont pas vraiment très importants après tous.

Nodoka, vit le sourire que Léo fit quand elle parla de Lila, elle songea que le Serpentard était vraiment était vraiment attaché à la jolie Japonaise et cela lui laissa un gout amer dans la bouche. Sortant de ses pensés, elle observait le vert et argent, en réalité il n’était pas la personne qu’il montrait et cela fit sourire la jeune fille. La bleu et noir passa outre, la dernière phrase du jeune Serpentard, avant de lui répondre :

C’est là ou tu te trompes Léo, je ne fais pas ce que je veux, si je suis ici c’est parce que ma famille l’a décidé un point c’est tout. Moi je pense que je ne peux plus faire grand-chose pour Lila, toit tu peux. Dans 5 mois tu quitte Poudlard, mais moi ce n’est pas Poudlard que je vais quitter Léo, c’est l’Angleterre.

Nodoka se leva tranquillement et s’approcha du vert et argent, le fixant toujours de ses yeux noirs. Elle prit la main du Serpentard et le remercia, pour ces quelques heures. Tournant le dos, elle se mit à marcher en direction de la foret interdite, ce n’est que rendu à la lisière de celle-ci, qu’elle se rendit compte de son geste, elle qui détestait tout contact physique, surtout avec les garçon. Passant une main dans ses cheveux, elle courut sur les derniers mètre qui la séparait de la foret avant de disparaitre.

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