histoire de...(pour personnes motivée à un RP long en temps)

[G]ryffondor Nombre de messages : 28 Date d'inscription : 04/11/2007

Lee connaissait l'existance de la salle sur demande tout comme il connaissait l'existance de la carte des maraudeurs et des nombreux passages secrets.
La charmante lindsay était la seule fille qui appréciait, et encore le mot est faible, vraiment les écrits du jeune gryffondor. Il lui avait donc donné rendez-vous devant la grande salle juste après le dernier cours du derniers jour avant les vacances de février. Il avait tout prévus. Dans la salle il y aurais.... Mais chutte voyons !!! pas tout de suite !
La jeune fille arriva à l'heure au rendez-vous. il l'entrenna à toute vitesse dans les couloirs et par les escaliers jusqu'à atteindre un couloirs isolé. Il tourna en rond devant un instant pensant à ce qu'il voulait exactement. Une porte apparut alors et il l'ouvrit.
Il invita la Serdaigle à rentrer. Dans un coins de la pièce on pouvait voir deux lit s'éparé par une cloison solide. Des sanitaires également séparés pour une question de confort.
Dans un autre coin, on pouvait y voir une table avec des chaises où la nourriture arriverait à volonté, on n'aurait qu'à la penser.
Mais ce qui était le plus impressionnat, c'était que la plus grande partie de la pièce était occupé par des coussins de toutes les couleurs et des fauteuils très confortable près d'une grande cheminée dont le foyer était allumé.

Instale toi à ton aise. on commencera après.

Invité

Lindsay connaissait depuis peu le jeune gryffondor qui assurait normalement la commentation des matchs de Quidditch. Celui-ci semblait totalement charmant, et, contrairement à ce qu'elle aurait pu penser puisqu'il traînait souvent avec les jumeaux Weasley, il écrivait. Au début, la jolie serdaigle en avait été fortement étonné, mais bon, à chaqu'un ses passe-temps.Comme elle, Lin passait bien la majeur partie de son temps à gêté inutilement son chat blanc Miki.Enfin, Lee lui avait donnée rendez-vous devant la Grande Salle. Avant de quitter son dortoir pour se rendre la-bas, elle attrappa sa baguette et la fourra dans ses poches, simple question d'habitude, après tout, on ne sais jamait quand est-ce qu'une baguette pourrait nous être utile.

La bleu et noir descendit les escaliers pour se rendre devant les larges portes de la Grande Salle. La tendre sorcière remarqua que le rouge et or était arriver avant elle, une chance, Lindsay détestait attendre, elle disait qu'elle avait l'air rejeter. Celui-ci lui dit de le suivre. Lin haussa un surcil en le suivant. Où allait-il l'emmener? On verras bien. Évidament, l'aigle ne connaissait pas la Salle sur Demande, et c'est pourquoi elle trouvait étrange de voir Jordan tourner devant un mur lisse. La belle anglaise sursauta légèrement lorsqu'une porte se dessina sur le mur nu et froid. Alors que le lion entrait, elle, elle demeura un instant stupéfaite. Après tout, il était pas très commun de voir un tel phénomène!

Lin se bougea enfin et entra à son tour dans la salle sur demande, regardant les lieux d'un regard brillant. Elle ne pu faire autrement que d'être attirant vers les canapés et les petits cousins. Superficiel et une vrai fille!Qu'elle fille au monde n'aime pas les cousins de toutes les couleurs!?Pas beaucoup [XD]. La bleu et noir souria à Lee après qu'il lui ai dit de prendre ses aises, et alla prendre place sur un des canapés bleu poudre qu'elle trouva, serdaigle jusqu'à la mort on dirait![mdr] La sixième année attrappa un petit cousin noir et le plaça sur ses genous, accotant un coude dessus, et son menton dans sa main, fixant le gryffi de son regard si sympathique,attend tout simplement qu'il dègne parler.

[G]ryffondor Nombre de messages : 28 Date d'inscription : 04/11/2007

Lee avait laisser à quelques élèves supplémentaire le lieu de rendez-vous qu'était la sale. il avait aussi prévu qu'au fur et à mesure ques les élèves entrerait des lit supplémentaire s'ajouterait dans l'une ou l'autre des partie respéctant le sexe de la personne.

Lee prit place sur le fauteuil de conteur et s'éclaircit la gorge.

«… Dans ses rues, les enfants jouent, chantent et courent. La population est la plus heureuse, pourtant on l’appelle aussi la cité des âmes perdues. »
Assit sur une grosse malle vieille de 50 ans, un jeune garçon écoutait avec grande attention l’histoire de son grand-père. Ils se trouvaient tous deux dans le grenier d’une vieille bâtisse perdue dans la campagne en bordure d’Océan. C’était un coin reculer et tranquille de Bretagne. Il n’y avait pas âme qui vive à plus de 30 km à la ronde. Le vieil homme était confortablement installé dans un fauteuil à bascule sous une chaude couverture marron.
« Pourquoi on l’appelle comme ça ? »
Le vieil homme passa une main dans sa barbe blanche. Elle n’était pas très grande, mais suffisamment longue pour y passer la main. Le grand-père semblait réfléchir à la question.

Pour ce coup, Lee s'était inspirer de l'aspect physique du prefesseur Dumbledore.

« Ce n’est qu’une légende Romain, la cité d’Isaac n’existe pas.
- Mais pourquoi on l’appelle aussi la cité de des âmes perdues ?
- On raconte. »
Commença le vieil homme visiblement exaspéré par l’insistance de son petit-fils. Il lui avait raconter cette histoire pour passer le temps en attendant que la maman du petit vienne le chercher pour lui donner son bain et le dîner. Mais Romain prenait cette histoire à cœur.
« On raconte qu’un groupe d’individus aurait vendu leurs âmes au Diable pour devenir des Dieux et tyranniser la population.
- Il faut leur venir en aide ! »
Le vieil homme ne put retenir un rire face à l’expression déterminer sur le visage de Romain. Cette détermination se mêlait à une certaine douleur. Romain avait tendance à s’approprier les douleurs d’autrui afin de mieux les comprendre et de les aider. Ce garçon faisait la fierté de sa famille par son déterminisme. Il n’abandonnait jamais ce qu’il entreprenait. Et en cet instant, le vieil homme pouvait voir dans les yeux de Romain la passion que lui inspirait la cité. Cette passion inébranlable fit cesser le rire du grand-père car il cru voir en Romain le même goût du risque qu’il avait autrefois tant aimé et tant détester à la fois dans le caractère de sa défunte femme. Le vieil homme ouvrit la bouche pour répondre à Romain et lui dire combien il ressemblait à sa grand-mère, mais le garçon reprit la parole de sa voix excitée et curieuse de tout.
« Et tu sais où elle se trouve ?
- Romain ! Je te répète que ce n’est qu’une légende. Mais, consent-il, certains hommes la recherchent.
- Pour sauver la population ?
- Non, pour la fontaine de jouvence.
- Qu’est-ce que c’est ?
- De l’eau sainte qui permet de rester jeune.
- Et elle est là-bas ?
- D’après la légende, oui.
- La population s’en sert ?
- Non, seulement l’épouse du plus fort des dieux. Tu n’as pas écouté mon histoire Romain.
- Si, mais j’ai pas comprit quand tu disais que la déesse qui n’en était pas une avait toujours le même âge.
- Papa, il n’a que 8 ans, ne lui demande pas de comprendre les choses subtiles des histoires de maman. »
Une grande femme blonde aux cheveux longs et crêpés entra dans le grenier. La porte était restée ouverte et elle avait entendu la fin de leur conversation. Le vieil homme exprimait de l’exaspération face à l’insistance de Romain et du soulagement lorsqu’il entendit enfin la voix de sa fille. La jeune femme coupa court à l’histoire. La maman de Romain pénétra plus loin dans la pièce jusqu'à arriver à hauteur de son père. Elle l’embrassa tendrement sur la joue.
« Merci de t’être occupé de lui aujourd’hui. Romain, tu veux bien aller t’habiller, on s’en va.
- Tu t’en sort Linda ?

Linda, Joli prénom, n'est-ce pas ? Lee trouvait aussi. C'était un dérivé de Lindsay, une françainisation de ce prénom.

- J’ai encore quelques cartons à faire.
- Je ne parlais pas de ça. »
Romain descendait lentement les escaliers. On pouvait entendre, par la porte encore ouverte, ses pas lourds sur le vieil escalier en chêne. Quand ils purent entendre les pas de Romain sur le carrelage de la cuisine, située aux pieds des escaliers, ils reprirent leur conversation.
« J’ai eu beaucoup de mal quand j’ai perdu ta mère.
- Papa, je le sais. Mais ce n’est pas la peine de raconter à Romain les histoires inachevées de maman. C’est de la fiction, et lui y croit.
- C’est là que tu te trompe. Cette histoire n’est pas une fiction. J’y suis allé avec ta mère.
- Papa !
- Je ne me souviens plus vraiment. »
Continua t-il comme s’il n’avait jamais été interrompu par l’indignation de sa fille. Celle-ci n’en croyait pas un mot.
« C’était il y a si longtemps. On faisait partie de la première expédition. En tant que romanciers évidemment.
- Des romanciers qui n’ont pas écrit une seule histoire complète. Qui n’ont fait que des « Nards ». »
Elle avait employé ce mot avec dégout, combien de fois avait-elle entendu ce mot sortir de la bouche de sa mère ? Ce même mot qu’elle avait trouvé étrange après avoir lut un roman de la bibliothèque de sa mère. Le vieil homme ne sembla pas relever cette notion et continua.
« On était présent à la chute de la cité.
- Elle n’existe donc plus
- Quand je dis « chute », je parle du pouvoir. Ce doit être pire maintenant.
- Et où se trouve t-elle ?
- En Grèce, au mont Laurion. On a bouché l’accès en 2012.
- 4 ans avant ma naissance.
- Et un an avant notre mariage. »
Linda s’assit sur la caisse où se trouvait Romain quelques minutes auparavant. Romain, lui, se tenait derrière la porte. Il avait remonté silencieusement les escaliers pour écouter sa mère et son grand-père parler. A présent, il s’avait où était la cité. Il s’avait également qu’elle existait vraiment.

Invité

[court mais pas d'inspi ><]

Lindsay ne demeura pas assise de la même façon pendant tout le récit, le coude sur le coussin et le menton dans la main. Vers le milieu de l’histoire interprété par Lee, elle changea de position pour ramener ses pieds sur le canapé et s’accouder sur le bras du sofa, son regard magnifique toujours poser sur le rouge et or, écoutant attentivement. Ce n’était pas avec tout le monde qu’elle pouvait écouter, et quelques fois raconter des histoires. Celles que Lin connaissait le plus étaient les histoires pour jeunes sorciers, et quelques comptes pour moldu comme « le petit chaperon rouge » ou « les trois petits cochons ».

La serdaigle ne parla pas, ne voulant pas l’interrompe car elle savait à quel point s’était tannant de se faire déranger lorsqu’on racontait quelques choses, Lindsay le savait grâce à Lydia qui aimait bien la foutre en boule lorsqu’elles étaient à la maison! Enfin bref, le compte intéressait bien la jeune femme superficielle, mais savait que ce n’était qu’une histoire tout ça. Rapidement, elle passa une main dans ses cheveux dorés pour les renvoyer vers l’arrière.

Le lien entre Linda et Lindsay lui fut facile. Après tout, Lin était une fille intelligente, elle savait que c’était un dériver. Chaque nom était différent dans une autre langue. Enfin, presque tout les noms. Ce n’était pas dans toutes les langues que c’était différent. La serdy demeura accouder jusqu’à la fin, ou du moins jusqu’à se que Lee prenne une pause. À ce moment, la belle bleue et noire se redressa sur son fauteuil bleu poudre.

Romain à finalement voulu y aller j’imagine? Après avoir su que c’était vrai, il a dû vouloir y aller?

Contrairement à Jordan, McK’nor ne disait pas grand-chose pour sa part, mais ce n’était point de sa faute si elle ne savait guère quoi répondre à tout ceci, ou tout simplement dire.

[G]ryffondor Nombre de messages : 28 Date d'inscription : 04/11/2007

Lee Jordan sourit à Lindsay.

Oui, il va y aller. Mais pas tout de suite, il n'a que 8 ans. Laisse lui le temps de grandir un peu.

Lee ramena ses pieds sur le fauteuil. Il était assit en tailleur le dos bien droit et replongea ses yeux sombre sur sa feuille manuscrite.

Ils continuèrent leur conversation sur la légendaire cité d’Isaac dont la population et la construction dormaient sous une montagne en Grèce. Romain écoutait les moindres détails, adossé au mur. Puis soudain, le vieil homme fut prit d’un mal de cœur. Il semblait étouffer. Il eut juste le temps de murmurer un « Il est temps que je rejoigne ta mère » avant de fermer les yeux.

Lee avait prit une voix de vieil homme mourant pour bien reproduire l'embience qu'il voulait donner à son histoire.

Romain courut près de son grand-père. Linda descendit les escaliers en courant pour appeler les secouristes. Bien qu’elle ait un téléphone portable, dans ce petit coin reculer de la France, les portables ne passaient pas. Pas plus que le réseau internet. Ce petit coin, était un véritable havre de paix, loin de toute technologie qui corrompt les hommes.
Tout se passa vite pour Romain, les secouristes prirent le vieil homme sur un brancard et l’emmenèrent aux urgences. Linda et Romain les suivirent en voiture.
Arriver à l’hôpital, le vieil homme fut prit en charge rapidement. Pendant ce temps, Linda et son fil attendaient dans la salle d’attente. Un long moment se passa durant lequel la jeune femme blanche tordit dans tous les sens la bride de son sac à main. Puis enfin, un homme vient vers elle.
« Madame Guillaume ?
- oui ? Demanda la mère de Romain inquiète.
- Je suis vraiment désolé, mais dès le moment où il est arrivé ici, il était trop tard. »
Romain et sa maman se mirent à pleurer un long moment. Le médecin fit ce qu’il put pour les réconforté.
Le chemin du retour fut silencieux. La nuit noire et le chemins sinueux ramenant à la vielle bâtisses semblèrent étrangement beaux et effrayants. Ils étaient certains, tous les deux, de retrouver la maison vide. Que ce soit celle du vieil homme ou la leur. La pluie se joignit à la nuit pour accompagner la tristesse de Romain et sa maman.

Lee marqua une pause, assès breve, mais qui permettait de voir qu'on passait au troisième paragraphe du premier chapitre.

Plus tard, Lorsqu’il eu l’âge d’aller au collège puis au lycée, Romain étudia avec beaucoup d’attention la mythologie grecque. Il chercha même dans la maison de son grand-père que sa mère n’avait put se résoudre à vendre, les carnets de bord de ses grands-parents durent leur expédition. Il les retrouva, mais ne put se résoudre à lire immédiatement. Il pensait que leurs écrits auraient plus de valeur lut une fois sur place. Le temps serait long, mais cela valait la peine d’attendre.

Cett fois il se tu et regarda L'assemblé. La fin du premier chapire arriva. Lee se demanda intérieurement s'il n'est ferait pas un prologue. Mais il ne dit rien. Il posa juste ses premiers parchemins, au nombre de 4, sur le sol au pied de son fauteuil.

» Une montre, un temps trop long.. (libre)
» pour combien de temps ?
» En souvenir du bon vieux temps (PV Fred)