un soir de maladresse [bonbon rose ^^]

C'était un samedi soir dont la journée avait été particulièrement bien ensoleillée. La journée s'était déroulée à merveille. Un petit tour sur le terrain de quidditch le matin, juste après le petit déjeuner pour bien commencer la journée. Le vent frait sur les joues rosie et les cheveux aux vent, ondulant et jouant des trajectoires prises par la jeune poufsouffle était une sensation si agréable que si cela était possible, Akuma le ferait tous les matins. J'ai bien dis, si. Hélas, les cours empêchaient un tel programme les jours de semaines.

Après le déjeuné de midi, qui se déroula fort bien. Bien que les autres élèves de sa maison lui reprochaient encore sa naïveté et sa répugniance à toute disputes de quelques sorte fut-elle. Elle ne voulait leur dire que chez elle, au Japon, elle passait son temps à se disputer avec son grand frère. Et chaque fois, elle mettait cours à ses vacances à cause de celà. Elle était très peinée à chaque retour car elle n'y allait que tous les deux ans pour noël. Cette année ne fit pas d'exeption. Bien que deux ans séparaient Akuma de son frère les mots ont fusés. Mais ceci est une autre histoire.

Akuma avait occupé son après-midi, au parc de la même manière qu'elle occupait ses soirée et ses inter cours. Elle avait choisi pour celà de sa caller dans un coin du parc. Quelques livres japonais, en version originale évidemment, des parchemins, de l'encre de toutes les couleurs, des pinsceaux, elle n'utilisait sa plume que pour les cours et écrir l'anglais. Elle avait déjà bien avancer ses devoirs et avait programmer de les continuer, voir les finir, le soir même après le diner.

Seleument, aspiré pas sa passion, consentré dans son dessin, elle ne vit le temps passé. Elle se rendit compte de l'heure que l'orsque le jour commença à baisser. Elle rengea ses affaire en hâte. tout du moins referma les bouteilles d'encre. oui, Akuma dessine avec de l'encre. Elle n'avait pas prit de sac. Elle prit donc le tout dans ses mains et se dépécha de regagner sa salle commune pour ne pas louper le diner, s'il n'était pas déjà trop tard.

Cependent, arrivée dans le hall d'entré une bouteille plasser en équilibre entre les livres et les parchemins glissa et finit sa route exploser sur le sol. L'encre rouge étalé par terre avait un aspect qui rappelait celui du sang. c'était d'ailleurs cet aspect qui avait séduit Akuma dans le magasin.

[a vous la suite]

Mais enfin je...

Je suis désolée mais ce n'est pas le moment !

Il a tout de même dépassé les bornes !

Nous verrons peut-être cela demain si je trouve un peu de temps Argus !

Bien madame l'inquisitrice....
Hep toi là-bas ! Le couvre-feu est déclenché depuis dix minutes deja ! Qu'est ce que tu fais ici ?

Ombrage et Rusard sortaient juste de la grande salle. Elle avait mangé particulièrement tard ce soir là et elle venait de terminer quand Rusard l'avait rejoint pour se plaindre une fois de plus de Peeves. Dolores commençaient à en aoir marre d'entendre parler de cet esprit frappeur. Il faudrait qu'elle songe à l'expédier ailleurs mais elle avait eut beaucoup trop de travail ce jour là pour s'en soucier à une heure aussi tardive. Dolores l'avait bien fait comprendre à Rusard qui s'était résigné. Il avait alors aperçue la jeune Poufsoufle dans le hal alors qu'ils sortaient et à voir l'expressuon du visage du concierge, il était plutot évident qu'ils comptaient passer ses nerfs sur elle.

Laissez Argus je m'en occupe. Allez faire votre ronde plus haut.

Mais....vous....

Argus...s'il vous plait...

Voila qu'elle reprenait ses air de petite file doucereuse.

Tres bien.

Le concierge monta les escaliers en sifflant sa chatte, miss Teigne et Ombrage attendit qu'il est disparu au détour d'un escalier pour s'occuper du cas de la jeune poufsoufle d'apres son blason. Lorsqu'elle relava la tête, Ombrage la reconu.

Mademoiselle Tenshi, que faîtes vous hors de votre salle comune à cette heure ci ?

Je.. Je...

Akuma ressera ses bras autour des ses affaires pour évité que les autres bouteille ne s'écrases sur le sol. Et elle se pencha en avant pour saluer le professeur Ombrage. Son éducation de jeune fille japonaise lui était resté et elle ne saluait pas d'une autre façon. c'était à la fois ce qu'il y avait de plus poli et de plus prudent.

Je... N'ai pas vu le temps passer professeur.

Unrouleau de parchemin fit le même trajet que la première bouteille d'encre et se déroula sur le sol. Il laissa voir le lac peint à la tombée du jour. Quand le soleil est trop haut pour se coucher, mais assès bas pour laisser trensparaitre ses profondeurs à sa surface.

Akuma se baissa, posa ses affaires sur le côté, roula son parchemin et sortit sa baguette. D'un coup de celle-ci elle ramassa les dégâts causer par l'encre rouge. Le contenue était fichut, mais au moins celà faisait du travail en moins pour Mr Rusard. Akuma partait du principe que les erreures qu'elle faisait devait être réparés par elle même.

Elle se releva et fit de nouveau face au professeur Ombrage les bras tout autant chargés.

Je vous promet que cela ne se reprodura pas professeur.

Elle était resté le dos bien droit en disant celà.

En effet, ça ne se reproduira pas.

Ombrage était en train de chercher une quelconque bonne punition particulièrement injuste dans sa tête. Il faudrai bien qu'elle trouve quelque chose qui..resterai...

Que diriez vous de...disons..un devoir sur les raisons qui ont un jour poussé les fondateurs à mettre une heure ou se balader dans les couloirs serait interdis. Dans mon optique, les raisons du style "parce qu'être dehors est dangereux" ne seront pas recevables. Vous me suivez ? Qui est le directeur de votre maison deja ?

Ombrage était persuadée qu'on ne pourrai pas faire plus de vingt lignes sur ce sujet même en se surpassant aussi en demanderait elle peut-être trentes...histoire que les balades nocturnes ne se reprosuisent plus...Elle savait que Miss Tenshi n'était pas la seule à se balader plutot tardivement. Il fallait faire des exemples. Que pour Akuma, ce n'ai pas été volontaire était bien les dernier des soucis de la grande inquisitrice.

mais ! professeur !!

Akuma voulais protester sur la punition injuste. elle venait juste de lui expliquer qu'elle n'avit pas fait exeprès. Son dessin était tombé à terre et avait de surcroit fournit une preuve sur la bonne fois de la Poufsouffle. De plus, Akuma était l'une des plus respéctueuse du réglements et rendait ses devoirs à temps. Elle se faisait le plus discrette possible pour ne pas avoir à rendre des comptes sur des pertes de points aux autres élèves de sa maison. Bref, c'était une élève exemplaire, timide et discrète.

Elle se rendit compte que dans sa protestation elle devenait impolie en coupant la parole à un professeur. c'est pourquoi elle s'arrêta de parler. une fois que la grande Inquisitrice eu finit sa tirade, Akuma s'inclina de nouveau.

Bien professeur. Ma directrice est le professeur Chourave.

Mais en s'inclinant, marque de respect, toutes ses bouteilles d'encres s'écrasères sur le sol aux pieds du professeur Ombrage et tachèrent les beaux souliers roses de la grande Inquisitrice.

Akuma lacha ses livres et ses parchemins qui tombèrent juste à côté de la flaque et mit une main à sa bouche.

Je... je suis confuse professeur.

elle sentait ses jambes tramblante menacer de la lacher devant le professeur Ombrage qui semblait aprécier de moins en moins cette rencontre tardive. Mais Akuma n'ausa pas fermer les yeux, ni même baisser la tête, elle continuait de regarder bien en face la grande inquisitrice. Elle se doutait que son interlocutrice pouvait prendre ceci comme un marque de défit, mais c'était surtout de la peur. Akuma avait tant connut les coups par derrière que si un devait lui arriver, autant le regarder venir. son courage s'arrêtait là. Ce n'est pas vraiment du courage, mais la peur de ne rien voir.

Ombrage eut un sourire triomphant devant l'inclination de l'eleve. Enfin une qui obéirai sans protester. Elle doutait que cette fille ne sache quoi que se soit sur ce qui la préocupait ces derniers tant sans quoi elle aurait pu l'amadouer et conclure un jolie marcher. "Se faire des amis" comme Dolores savait si bien le faire...mais elle n'avait pou amis que des gens utiles. ça aurait pu s'arretter là. Et la grande inquisitrice aurait pu aller tranquillement finir son courier et aller se coucher mais la fort maladroite Poufsoufle échapa ses bouteilles d'encre et les chaussure d'Ombrage en prirent pour leurs grade. Ombrage s'enerva et sortit sa baguette d'un air nerveux.

Petite maladroite...

Elle se calma rapidement et se servit d'un sortilège pour faire disparaitre l'encre répendue sur ses chaussures.

Ramassez donc moi tout ce bazar....

Parfaitement inutile à l'évidence...

J'enleve dix points à votre maison...

Le retrait de points fut comme une claque pour Akuma. Elle resta un long moment béa à regarder le professeur Ombrage. Ses yeux s'emplirent de larmes qui commencèrent à s'échper pour courrir le long de ses joues pâles. Bien sûr, aucun gémissement ne sortit de la gorge de la poufsouffle.

Akuma se baissa pour rammasser les débris des bouteilles d'encre et les mis dans sa poche. Elle savait que tête en l'air comme elle était, ele oublirait les bouts de verre dans sa poche et se couperait si la grande inquisitrice la retenait plus longtemps.

Puis la poufsoufle ressortit sa baguette et netoya de nouveau le sol. Elle récupéra ses parchemins et ses livres, ainsi que ses pinsceaux de banbou. Elle les avait acheté à l'ondre pour un prix dérisoir alors qu'au Japon ils vallaient une véritable fortune.

Il est vrais que Akuma était une fille maladroite, mais pas inutile pour autant. Elle était très influenssable et très sensible. Elle pourait représenté un aventage à la grande inquisitrice si elle pouvait l'amadoué. Mais Akuma l'ignorait et ne parlerait jamais la première, pas même à un de ses camarades. Une grande timide qui plus est.

Après avoir ramassé ses affaires resta debout bien droit devant le professeur Ombrage et attendait que celle-ci lui donne congé.

Ombrage était particulièrement exaspérée par tant de sensibilité. Tous ces gnan-gnan inutiles...quelle horreur !

ça va, ça va. Oubliez la punition mais filez hors de ma vue.

Exaspérée Dolores songea que ce soir, elle ferai mieux d'aller se coucher sans passer par la case "courrier". Il était largement temps parce qu'elle était si exaspérée qu'elle se ramolissait. Ombrage ne devait surtout pas faillir dans sa méthode de discipline de fer.
Elle repartit sans se retourner en direction de son bureau, sans demander son reste et sans rien préciser de plus.

[Dsl pour le post cours et bizarre, raison d'état...]

[pas grave, ça arrive à tous Wink

]

Akuma fut soulagé de ne pas avoir la puniton à faire. Mais elle avit quand même fait perdre 10 points à sa maison par maladresse. De plus il était trop tard pour aller manger. La journée qui avait si bien commencé finissait plutôt mal. Il ne lui restai plus qu'à découvrir les réactions des autres poufsouffles.

Le professeur Ombrage partit sans rien préciser d'autre. Akuma en fut soulagé, mais resta quand même debout, seule dans le hall un petit moment. Puis en entendant de nouveau des pas dans l'escalier pricipal, elle fila en direction de sa salle commune. Elle sentait son coeur battre la chamade au fure et a meusure que les lourds pas trainants de Rusard avançaient dans le couloir. Elle s'arrêta dans un coin obscure et attendi. Heureusement pour elle, il fit demi tour sans la voir. Se faire attraper deux fois dans la même soirée pour un tout premier écart involontaire, qui plus est, aurait été un comble.
Plus calmement, Akuma entra dans la salle commune.

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