Méduza se réveilla en sursaut se matin-là. Il n'était que 10h00. Elle s'habilla, donc , prit sa chouette Pati et descendit dans la salle commune puis elle sortit et prit la direction de la volière. Elle ne savait pas pourquoi elle allait par la mais elle laissa ses pas la guider. Elle entra dans la volière et tendit le bras vers une pile de feuille blanche. Il y avait également un minuscule bureau et une chaise.
Elle la nettoya car elle ne voulait pas se tacher et elle s'y assied et se mit à écrire:
"Cher Moéla, j'espère que tu va bien. Tu me manque beaucoup depuis que mes parents sont mort. J'espère que tu t'ennuie de moi comme moi je m'ennuie de toi. Tu ne ma plus écrit alors je me suis poser des question. Que fais-tu? Ou est-tu? Pourquoi tu ne m'écris plus? Donc je t'écris cette lettre pour avoir de tes nouvelle et avoir des nouvelles de ma soeur. J'espère qu'elle va bien. Elle me manque beaucoup elle aussi. Surtout depuis qu'il sont partit. J'espère de tout coeur te voir cette hiver, car tu m'avait dit que je pourrais venir chez toi". Tout en écrivant ca lettre, Méduza pleurait. On voyait des endroits plein de larmes et d'autre endroit ou il n'y avait pratiquement rien, c'était sec. Elle continua donc sa lettre, en s'efforcant de se calmer:" J'espère que tu ne ma pas oublier car cela me ferais atrocement de peine. J'ai hâte de te voir. Tout va bien ici, je m'intègre bien. Ils sont sympa les élèves et certain ne sont pas douer du tout(elle rit un petit peu). Je crois que je vais la finir sinon je vais innonder de larme la volière. S'il te plait, répond moi, sinon je crois que je ne pourrai pas survivre à ça. Ta Mily qui t'aime. A+ ma chère cousine".
Elle la prit dans ses mains et la relut encore et encore pour faire passer ses larmes mais comme il ne passait pas, elle la plia, la mit dans les pattes de Pati et lui chargea d'aller la porter. Comme elle s'apprêtait à sortir. Elle entendit quelqu'un monter les marches. Elle n'osa pas se retourner car elle avait le visage couvert de larme. Elle alla donc au balcon, se tint sur la barre et la fit branler comme pour sécher ses larmes. Elle vit ensuite une chaise et s'y assied pour se calmer car elle n'allait pas bien du tout. Elle se retourna quand même lorsque cette personne, qu'elle avait entendu monter, arriva dans la volière.