Grand Besoin d'évacuer[Isaac]

Et voila il était presque 15 heures tout était plutôt calme juste quelques élèves qui courait par si par la mais rien de bien fascinant...Même pas une petite bande d'élève à martyrisé franchement la journée n'était pas au top top...Pansy n'avait plus cour de la journée elle décida donc de quitter un peu le château et de surtout laissait derrière elle ses geignarde de copines

La jeune fille passa d'abord à sa chambre pour pouvoir poser ses affaires elle déposa son sac sur son lit et rangeât ses livres non loin d'une petite pile d'affaire particulièrement bien ranger...en quittant sa chambre elle croisa ses amies et leur dit sur se ton froid qu'on lui connaissait si bien que pour une fois elle souhaiterait faire une promenade seule sans qu'on la suive...

Celles si ne dire rien puis Pansy se dirigeât vers les escaliers qui était bien calme pour une fois...Elle avait été un peu refroidit par l'envie de monter dessus depuis sa ressente chute mais avait elle le choix pas vraiment non...elle se dirigeât donc dans le Hall d'entrée puis passa portes qu'elle admirait à chaque fois qu'elle passait à coter

Après avoir tout traverser elle arriva devant le lac et avec le soleil qui l'illuminais de petite onde de couleur elle trouvais cet endroits très...enfin...plutôt bien pour passer un peu de temps au calme sans personne pour une fois qu'elle ne passait pas toute une journée a jeter son venin sur les gens il fallais bien en profiter non mais bon tout pouvais ressortir d'un instant à l'autre

La vie est une bataille, une succession de rudes combats épuisants. Durant notre séjour sur Terre, nous ne cessons de croiser le fer avec les autres. Nos amis, nos ennemis, nos supérieurs… Lors de ces affrontements, nous donnons toujours le meilleur de nous même, et malgré les échecs et les embûches, tous espérons pouvoir ressentir une fois encore le goût de la victoire. Un goût si délicieux que certains feraient tout, et même le pire, pour l’obtenir. Cependant, ce jour là, un jeune homme était certain qu’aujourd’hui, il devrait se contentait du goût médiocre que laissait la vague impression de suffisance quant à son devoir de métamorphose qui, n’ayons pas peur de le dire, était passablement pitoyable…

La bibliothèque était plongée dans son habituelle torpeur silencieuse. Malgré les nombreux élèves présents, seuls quelques chuchotements parvenaient à peine aux oreilles d’Isaac, qui relisait fébrilement son parchemin, étrangement court. De temps à autres, un livre mal rangé sautait brusquement de son étagère pour aller retrouver sa place originale, manquant de renverser plusieurs élèves au passage. Cependant, malgré les petits cris effrayés de ces derniers et leurs tentatives d’esquive ridicules, rien ne parvenait à faire sourire le jeune Jackson. Il aurait été bien incapable de dire ce qui était en train de lui arriver. Lui qui, en général, avait l’habitude d’être un élève érudit, sérieux et appliqué, aujourd’hui, rien ne semblait venir… Et puis zut, au diable le principe de transfert et ses complications…

Fatigué de son minable devoir, Zac se hâta de le ranger au fond de son sac à dos. Il ferma les quelques livres qui jonchaient la table qu’il occupait avant d’aller les remettre sur la première étagère qui croisa son chemin. Après tout, les livres se replaçaient tout seuls non ? Alors à quoi bon perdre encore cinq minutes à parcourir de long en large la bibliothèque pour ranger tout un tas de vieux bouquins poussiéreux que probablement personne ne lisait. Et ce fut donc d’un pas énergique mêlé à une once d’amertume qu’Isaac quitta la bibliothèque sans même un regard vers Mme Pince. Lorsqu’il arriva dans le couloir, Isaac s’arrêta au beau milieu du passage et parut soudainement pensif. Il était sortit si vite de la bibliothèque qu’il n’avait pas pensé une seconde à l’endroit où il se rendrait…

Furtivement, son regard couleur ciel se posa sur le cadran de sa montre, il était presque 15h00. Le jeune Serdaigle releva la tête alors que ses lèvres s’étiraient en un discret sourire. Il sentait sa légère colère s’évanouir aussi vite qu’elle était venue… Les deux prochaines heures qui se profilaient à l’horizon seraient cent vingt minutes de liberté durant lesquelles Isaac n’avait aucun cours. Soudain, la vie lui parut plus belle, son devoir de métamorphose moins passable, alors qu’une après midi soudainement pleine de possibilité semblait s’offrir à lui. Même le goût de l’échec qui ressentait dans sa gorge devenait aussi plus agréable. Zac rejeta ses cheveux en arrière, desserra sa cravate bleue et blanche et reprit sa route d’un pas sautillant alors qu’il entonnait un air entraînant à pleins poumons, laissant sa voix sombre et caverneuse envahir les couloirs de Poudlard. (ce qui n’était évidemment pas du goût de tout le monde…)

Son sac posé sur ses épaules, il parcourait joyeusement les couloirs, adressant des signes de mains et des sourires à tout va, surtout à ceux qui le fixaient d’un air exaspéré d’ailleurs… Ah ce Zac, quel provocateur. Il imita le même rituel lors de sa descente des escaliers qui le mena dans le hall d’entrée. Ses yeux se posèrent inconsciemment sur les sabliers alors qu’un pincement se fit sentir lorsqu’il vit la place de Serdaigle, bon dernier dans le classement des points. Cependant, il ne désespérait pas, bien au contraire. Peut être que sa maison ne remporterait pas la coupe des Quatre Maisons, cependant, elle gagnerait la coupe de Quidditch, c’était certains, il y veillerait ! Il poussa les lourdes portes de chêne et sortit dans le parc.

Au dehors, le ciel était d’un bleu magnifique et immaculé. Aucun nuage ne semblait venir gâcher cette belle journée de Mars. En outre, une brise fraîche et vigoureuse venait souffler son saoul sur les jeunes étudiants comme pour leur rappeler que l’été n’est pas encore venu, cependant, Isaac n’y prêta pas attention et continua sa route, les yeux levaient vers les cieux, alors que la magnifique couleur azurée du ciel se reflétait dans les yeux du jeune sorcier. (A moins que sa ne soit l’inverse…) Soudain, Isaac fut violemment projeté en arrière comme s’il venait de heurter un mur invisible. Le jeune homme fut si surprit qu’il laissa échapper son sac à dos qui glissa sur le sol. Il regarda alors ce dans quoi il venait de rentrer. C’était apparemment une jeune fille de Serpentard qu’il ne connaissait pas, cependant, malgré son appartenance à Serpentard, rien n’excuse l’impolitesse, voilà pourquoi Zac adressa un sourire à la jeune sorcière et lui parla d’un ton dégagé et détendu:

Pardon, vraiment je suis désolé, je ne regardais pas ou j’allais et pis bein… boum ! Sa va toi ? Rien de cassé ?

Pansy marchait bien tranquillement mettant un pas devant l'autre ne regarda absolument pas ou elle allais de toute façon elle s'en moquais et puis le laque ne pouvais pas la menez bien loin de toute façon elle souriait toute seule vous vous rendez compte un peu...Et bah oui ce n'est une chose que la jeune demoiselle faisait beaucoup en publique pourtant elle avait un sourire tout a fais charmant mais bon elle avait une réputation à tenir après tout

Elle regardais quelques filles jouer et glousser comme des dindes un peu plus loin puis elle poussa un petit soupire qui voulais en dire beaucoup sur sa façon de pensée enfin en tout cas sur ce que les gens croyais bien qu'elle penserais en les voyants de toute façon elle s'en moquais bien puis les gens avait souvent tendance à la juger sans la connaitre enfin même si elle ne faisait rien pour avoir bonne réputation...

Elle se retourna puis alors qu'elle regardais encore ses pieds elle ressentit un choc...un choc si violent qui la fin tomber 3 mètre plus loin elle ouvra les yeux puis se releva en se frottant la tête elle regarda le garçon qui venais de lui faire un petit vole planer sans qu'elle n'ai rien demander puis elle se mit dans une rage folle enfin elle redevins d'un coup Pansy Parkinson

-Tu ne pouvais pas regarder ou tu allais franchement tu n'a pas vu que j'étais la ?? Je ne suis pas assez visible apparemment...

Malgré les affres des peines et des nombreux drames qui ont put perturber l’enfance tranquille du jeune Jackson, il reçut une éducation on ne peut plus stricte de la part de Mademoiselle Mulghburry, sa gouvernante. A jamais il se souviendra des regards sévères que la jeune femme lançait sur le pauvre enfant qu’était Zac’ à l’époque. Jamais il n’oubliera les nombreux principes que cette femme, sévère mais juste, daigna lui inculquer dans l’espoir de faire de lui un homme courtois, loyal et poli. Tant de règles qui paraissent pourtant logiques dans un monde ou l’homme cohabite avec son semblable, tel que remercier systématiquement la personne qui aurait la bonté de nous proposer quelque chose ou encore de saluer nos connaissances lorsqu’il nous arrive de les croiser au détour d’une rue sans oublier de s’informer de leurs dernières nouvelles, quoiqu’on puisse en penser car ainsi se comportent les gens bien-élevés. Aussi, lorsque, enclavé dans ses pensées nébuleuses, un jeune homme percute par mégarde une jeune demoiselle, séduisante de surcroît, il se confond en excuses devant-elle en la gratifiant de ses plus beaux sourires. Dans ce cas là, la jeune femme qui, manifestement se porte comme un charme, accepte les excuses de son assaillant et rit avec lui de cette mésaventure. C’est en tout cas ce que ferait une jeune femme polie et courtoise.

Depuis l’entrée d’Isaac à Poudlard, il s’était toujours demandé combien le Royaume Uni pouvait compter de sorciers et de sorcières. Il était aussi curieux de savoir combien de leurs enfants faisaient leurs études à Poudlard. Il ignorait le chiffre exact, cependant, il était certain que Poudlard était une école très fréquentée. Alors pourquoi sur toute la population de jeunes sorciers de l’école, il faille que Zac’ se tamponne à la seule élève… mal-embouchée du château. N’y avait-il pas d’autres demoiselles qui auraient été enclin aux rires et à la plaisanterie suite à une légère maladresse telle que cette bousculade. Manifestement pas, ce jour là du moins… Isaac devrait se contenter de Pansy Parkinson, une jeune élève de Serpentard dont, hélas, la réputation n’était plus à faire. Impuissant, une peur inexplicable et inconnue lui tenaillant le ventre, il admirait les résultats de ce qu’on pourra qualifier de « désastre », qui reste néanmoins un doux euphémisme…

Le regard de la jeune verte et argent luisait d’une flamme ardente, porte ouverte sur l’âme emportée de la jeune fille. Le jeune Jackson restait là, debout, comme figée. Il n’osait plus bougeait, même s’il l’aurait souhaité, son corps n’aurait malheureusement pas bougé. Tandis que son cœur battait avec insistance et une fougue formidable, il implorait les Dieux, les Maîtres du Monde, les Grandes Instances Célestes et même Merlin, l’humble sorcier pour que personne n’ait vu cet incident. La politesse incitait Zac’ à tendre une main secourable à la jeune fille étendue sur le sol par sa faute, cependant, son bras ne cilla pas. Le pauvre avait bien trop peur que la jeune Serpentard le lui arrache avant de le lui faire manger… Rapidement, Pansy se releva et fit alors face à son bourreau, le toisant de toute sa stature. Soudain, Isaac put percevoir une lueur quasi-démente dans le regard de cette dernière, il craignit le pire…

D’un ton emporté et violent, la jeune fille s’adressa au Bleu et blanc d’une manière froide, dépourvue de compréhension dans une remarque cinglante chargée d’une arrogance déplacée et insolente. Le teint de Zac’ devint alors livide, presque blafard. Il déglutit jetant à Pansy un regard étonné aux yeux écarquillés. Il sentait son cœur battre de plus en plus fort, de plus en plus vite. Chaque seconde, ses veines s’emplissaient d’une énergie nouvelle et puissante, une force dévastatrice qui lui insufflaient ses lourdes pulsations cardiaques. Cette force n’était rien d’autre que la colère. Une colère non pas contre la malheureuse Pansy bien sûr, la pauvre, elle était bien trop préoccupée par sa petite personne pour se soucier des autres. (« Je ne suis pas assez visible apparemment... » la pauvre, que Dieu la garde) Le jeune homme était en colère contre sa gouvernante… Force est de constater qu’être bien éduqué possède de nombreux inconvénients. En effet, aux côtés d’une personne aux mœurs douteuses, c’est toujours les gens comme Isaac qui passent pour le dindon de la farce et qui se rendent ridicules.

De nombreuses personnes s’accorderaient sans doute à dire qu’Isaac est un jeune homme agréable et peu contrariant, facile à vivre en somme. Cependant, la célèbre maxime «Quelqu'un te donne-t-il un soufflet sur la joue droite, tends-lui encore l'autre » n’a pas été inventé pour le jeune Jackson, fille ou pas fille, plus jeune ou pas… Peut être M et Mrs Parkinson n’osaient pas faire la morale à leur précieux bijou, cependant, Isaac n’enavait que faire. Voilà pourquoi, le visage orné d’un sourire radieux, il s’exclama haut et fort, en espérant attirer une foule d’élève :

Oh !! Pardonnez-moi Miss, quel châtiment méritais-je donc pour vous avoir si impunément bafouée. Il n’arrive donc jamais à sa Seigneurie de penser en marchant sans penser qu’une morue aigrie se trouvera sur son chemin. Et toi, tu pouvais me voir arriver ? On peut continuer comme ça longtemps…, vers le ciel et d’un air exaspéré, il poursuivit : ah.. ; l’orgueil d’une Serpillèr… PENTARD, d’une serpentard.

Pansy n'avais jamais appris à être euh...comment on dit...à oui gentille
elle ne connaissait pas sa...Elle avait toujours été entourer de personne qui n'ont jamais appris à sourire...ses parents n'était pas des personne aimable et agréhable et les seules personnes avec qui elle avait toujours passer son temps ne sont pas plus agréhable...Alors être gentille elle ne sais absolument pas ce que sa veux dire

Mais Alors celle la elle était bien bonne pour qui il se prenais il ne savait donc pas qui elle était ? apparemment non mais bon Elle n'allais pas le frapper surtout qu'il faisait bien au moins une bonne tête de plus qu'elle et puis bon c'était une fille tout de même...Une fille ne ce bas pas enfin sauf si on la recherche et que cette personne est une autre fille puis finalement elle le regarda puis remarqua au passage qu'il avait quand même de très beaux yeux mais revenons en à nos moutons

-Ouais c'est bon je suis désolé...

Oula était elle malade ??elle venais de dire désolé...pour la première fois de sa vie enfin à une autre personne qu'un serpentard plutôt dirons nous sa c'était vraiment à marquer d'une pierre blanche parce que sa n'arriverais plus d'ici demain faut pas abuser des bonnes choses tout de même Elle regarda le jeune homme puis nettoya sa robe qui était tout de même un peu sale elle regarda les jeunes qui commençais à s'encenser vers euh puis elle les envoya balader en leur disant d'aller voir ailleurs si elle y était

une fois qu'ils se retrouvais donc rien que tout les deux elle le regarda puis lui fit de petit yeux genre "tu dit que je me suis excusez et je t'étrangle"elle avait tout de même une réputation a tenir non mais oh...

Ah, que ne voilà pas de plus noble sentiment que la fierté. Cette profonde sensation d’accord avec soi-même. L’impression d’avoir accomplit quelque chose d’audacieux, de juste et de nécessaire. La fierté d’avoir réussi là où tous pensaient que vous échoueriez qui vous procure cette douce vague de chaleur et qui vous élève et vous honore. La fierté ou tout simplement la joie du résultat de nos actes. Actes de courage qu’au grand jamais nous ne soupçonnions pouvoir accomplir. Nous parlions auparavant du goût délicieux de la victoire mais, croyez-moi, ce goût est bien amer à côté de celui de l’orgueil satisfait d’un homme qui vient d’accomplir son devoir. Et tel était l’état d’esprit du jeune Isaac Jackson en cet instant. Les mots qu’il venait de prononcer raisonnaient encore dans son esprit. Des mots dont il ignorait qu’il pourrait un jour chantonner sur ce ton narquois et grandiloquent dont il venait d’user. La fierté, l’orgueil et… oui, sans nul doute une once de vanité, venaient de l’envahir. D’un geste imperceptible, le jeune homme bomba le torse et haussa quelque peu les épaules, prêt à parader devant l’assemblée d’élève qui observaient la scène avec le plus grand intérêt. Il était fier car, désormais, il ne serait plus jamais vu comme Isaac Jackson, le gentil petit Serdaigle drôle et attentionné mais comme l’homme qui venait courageusement de remettre une Serpentard à sa place. (Oserais-je dire plus bas que Terre ? Après tout, il me semble que leur salle commune se trouve dans les cachots…)

Malgré tout, cette vague de divins nouveaux sentiments qui ne cessaient de parcourir le corps du jeune homme, il ressentait aussi de la culpabilité, quelque part, enfouit sous cette fierté magnifique et grandiose. Il n’était jamais dans ses habitudes de s’en prendre à quelqu’un de la sorte. Surtout d’un ton si violent et avec de tels mots. Rappelons tout de même que le mot « morue » avait été prononcé. Et, soyons franc, même si Miss Parkinson n’était pas la plus divine créature qui arpentait Poudlard, elle était tout de même loin de ressembler à un poisson. Elle était même plutôt séduisante à dire vrai, malgré le je-ne-sait-quoi de canin qui se dégageait de son visage de porcelaine. Quoiqu’il en était, le jeune homme ne pouvait cacher à son âme cette sensation désagréable d’avoir été trop loin. Après tout, elle avait été bousculé violemment sans rien demander à personne. Peut-être se sentait-elle mal à ce moment. Peut-être même qu’elle observait les profondeurs insondables du lac dans le but de s’y engouffrer pour ainsi mettre fin à ses jours… Et, dans ce cas, Isaac serait venu importuner une jeune fille déjà au bord du gouffre… Et voilà comment ce, pourtant puissant, sentiment de fierté s’envola majestueusement dans les airs, laissant seuls Pansy, Isaac et sa culpabilité…

Le bleu miroitant qui illuminait le regard du jeune sorcier devient soudain lumineux et étincelant de mille tons différents alors qu’il posait ses yeux compatissants sur la jeune fille qu’il venait d’agresser sauvagement. En l’observant silencieusement, il espérait qu’elle comprenne qu’il était désolé de s’être laissé emporter de la sorte, surtout devant tant de monde… Il regrettait sa conduite qui venait peut-être de ternir son image de joyeux-drill bon et aimable. Une image qu’il appréciait et qu’il avait eut du mal à imposer. Et vous savez combien de temps il faut pour que l’on vous assigne une nouvelle étiquette ? A Poudlard, quelques secondes suffisent, surtout lorsqu’on était… n’ayons pas peur des mots, un héros de Quidditch… Ignorant ce qui convenait de faire en pareil cas, le jeune homme hésitait entre tourner le dos et regagner le château et faire comme si de rien n’était ou présenter de plates excuses à la jeune Serpentard en espérant de ne pas (trop) avoir froissé son orgueil…

Cependant, la suite des événements fut des plus inattendue pour le Serdaigle, perdu dans ses pensées. Alors que Pansy et lui se faisaient face, la jeune femme alla aboyer d’un ton rude des mots qu’Isaac ne put comprendre aux élèves avides qui regardaient la scène. Non, ce qui fut inattendu ne fut pas ceci mais ce qui suivit… « Ouais c'est bon je suis désolé... », voilà les termes exacts employés par Miss Parkinson, une fille de sang-pur appartenant à la maison de Serpentard. Une fille connue pour son arrogance et ses airs supérieurs. Une fille qui venait de… quel est le mot… de s’excuser. Isaac déglutit avec difficulté. Il n’en croyait pas ses oreilles, ni ses yeux. Le visage de la jeune femme, profondément affligé, était poignant. Lorsque les excuses de Pansy parvinrent aux oreilles du Bleu et Blanc, son regard fut brillant de stupéfaction. Il ne faisait aucun doute que si son sac à dos n’était pas tombé sur le sol, lors de la collision quelques minutes auparavant, il serait tombé à cet instant. La culpabilité d’Isaac était infinie, il se sentait à présent comme le plus impitoyable des monstres, son regard exprimait une volonté de rédemption que le jeune homme eut du mal à traduire.

Il remarquait néanmoins que la jeune femme avait du mal à soutenir son regard. Il se pouvait qu’il n’était pas dans ses habitudes de demander pardon, tout comme il n’était pas dans les habitude d’Isaac d’agresser les gens… Comme pour noyer le poisson, la jeune femme commença maladroitement à épousseter sa robe, salie par la boue. Ne sachant que faire pour que Pansy comprenne que l’incident était clos, Isaac brandit sa baguette magique qu’il sortit de sa robe pour le pointer sur Pansy et il maugréa comme s’il était de mauvaise humeur

-Récurvite !

Puis-il s’approcha de Pansy et murmura :

-T’inquiète pas, jle dirais à personne que tu es… que tu es gentille^^

Pansy Parkinson avait toujours vécu avec le sentiments que le mal était la meilleure solution à ses problèmes personne n'avais jamais été gentil avec elle et elle leur rendais bien mais en même temps devons nous lui en vouloir ? toute sa jeunesse ses parents n'avais pas vraiment fait attention a elle et lorsqu'elle tentait une approche au près d'eux ceci la renvoyais d'un geste brusque ou d'une paroles blessante alors voila une des raisons pour laquelle la jeune demoiselle était si...euh désagréable...

Avec les années sont caractère c'était fait plus dur et plus froid elle c'était totalement refermer sur elle même et depuis tout ce temps la jeune fille n'avais pas réussit a ouvrir son coeur mais franchement pouvait on lui en vouloir ? impossible de répondre et puis au fil du temps il faut avouer que Pansy n'avait rien fait pour être aimez des autres mais au final être méchante il faut avouer qu'elle aimais plutôt sa et au moins elle ne se laissait marcher sur les pieds par personne

Elle regarda le jeune homme qui durant l'espace d'un instant bomba le torse juste sous son nez elle se demanda à quoi il jouer et si sérieusement il n'était pas tomber sur la tête non mais franchement il ne manquait plus que sa un Serdaigle à l'égo démesuré pfff elle avait vraiment pas besoin de sa elle leva les yeux aux ciel puis elle le regarda pointer sa baguette sur elle...La jeune fille eu un mouvement totalement logique que tout le monde dans la même situation aurais eu elle recula puis mit sa main sur sa poche ou se trouvais sa baguette puis elle regarda le jeune homme lancer un sortilège pour enlevé la boue de sa robe...

Elle ne comprenais pas mais eu un petit (tout petit) sourire genre pour lui dire "merci" sans le prononcer...elle venais déjà de lui dire qu'elle était désolé faudrais peut être pas abuser non plus...elle se retourna puis en observant par terre elle vit son bracelet étaler en trois morceaux Elle le ramassa puis le serra fort dans sa main elle regarda Zac puis n'avais pas vraiment entendu toute sa phrase juste "tu est gentille" dans un geste simple et délicat elle fit balancer ses cheveux en arrière avant de lui dire toujours sur le même ton froid et distant

-Je suis loin d'être gentille...

[HJ:Pardonne moi ce post minable^^]

Il est vrai que ce fameux jour avait fort mal commencé pour le jeune Isaac Jackson. Tout d'abord, alors qu'il venait à peine de sortir du confort douillet qui lui offrait son lit, Isaac trouva le moyen de se mettre affreusement en retour pour son cours de Potions. Evidemment, il était inutile d'espérer de l'indulgence de la part du professeur Rogue. Son cours de Défense Contre les Forces du Mal ne se passa, malheureusement, guère mieux; Dolorès Ombrage avait imposé aux septièmes années un test très compliqué sur un des chapitres du fichu manuel qu'elle faisait lire à ses élèves. Il est préférable de ne pas s'attarder sur les possibles résultats du jeune Serdaigle... Enfin, c'était maintenant un devoir de métamorphose qui tourmentait le jeune homme. Une composition sur le principe de transfert assez complexe. Voila pourquoi Isaac s'accordait à dire que sa journée n'était pas la meilleure qu'il passait à Poudlard.

Pourtant, cette soudaine rencontre au bord du lac était en train de changer la donne. Cette rencontre, pour le moins percutante, éclaircissait la journée bien triste du jeune homme. Certes, il va sans dire que bien des personnes préfèrent rencontrer de nouvelles personnes autour d'une délicieuse Bierraubeurre plutôt que suite à un violent uppercut; quoiqu'au moins, la rencontre entre Isaac et Pansy ne manque pas d'originalité. C'est souvent ce genre de souvenir qui font rire les amis, des années plus tard, lorsqu'ils se remémorent ensembles leurs plus belles années. Toutefois, il n'était pas mécontent d'avoir rencontrer la jeune Serpentard...

Bien-sûr, vous pouvez penser qu'Isaac n'a plus toute sa tête. Vous pouvez aussi être intimement convaincue que le pauvre a perdu l'esprit, néanmoins, la vérité était là: la rencontre de Miss Parkinson était la meilleure chose qui lui soit arrivée de la journée. Zac' connaissait, comme tout le monde, les filles comme Pansy, sans jamais leur avoir parlé. Il savait que c'étaient des filles au sang-pur, imbues de leur personne, arrogante, égoïste et sans coeur; en somme, la crème de l'aristocratie du monde de la sorcellerie... Néanmoins, Pansy ne semblait pas être totalement identique à ses condisciples de Serpentard.

En effet, premièrement, elle se trouvait seule avant d'être rejoint par Isaac. Et croyez bien qu'un Serpentard seul, ça n'encombre pas les couloirs de Poudlard. Souvent, ils sont d'ailleurs comparés à des insectes par les élèves des autres maisons. (Lorsqu’il y en a un dans un endroit, il suffit de soulever une pierre pour en retrouver dix dessous). Par précaution, Isaac se retourna pour s'assurer de bien être seul avec Pansy. Ensuite, ce qui distinguait Miss Parkinson de ses camarades était sa capacité d'humanité. Tout de même, elle s'était excusée, la volonté de reddition ne faisait pas partie des mœurs de ce genre de personne. Enfin, sans vraiment savoir pourquoi, Isaac ressentait que Pansy n'était peut-être pas si mécontente de l'avoir rencontré. Elle semblait songeuse et préoccupée, comme si elle ressentait secrètement un besoin de confession...

Isaac aurait souhaité en ce moment même réussir à communiquer avec sa jeune condisciple. Cependant, il savait qu'y arriver serait difficile, tout de même, elle avait beau sembler différente, elle n'en gardait pas moins sa fierté naturelle. Isaac devrait donc employer des chemins tortueux pour tenter de noyer le poisson s'il espérait que Pansy ne lui parle. Cependant, tous accordait au jeune Serdaigle une capacité d'écoute sans égale, il était le garçon même qui savait écouter les problèmes des autres sans s'en plaindre, mieux, il était souvent de bons conseils... Lorsque de son ton abrupt, Pansy déclara qu'elle n'était pas gentille, Isaac lui sourit en s'asseyant sur le sol. Il parla ensuite d'un ton léger et frivole:

-Non bien-sûr, pardon... Mais, serais-tu assez gentille pour me dire comment tu t'appelles? Moi c'est Isaac m'enfin, je ne t'en veux pas si tu m'appelle tête de noeux ou sac à merde. Quoique j'ai une préférence pour "espèce d'andouille", mais si tu veux, Zac' c'est pas mal non plus.

Il leva son visage candide vers la jeune femme en attendant sa réponse. Il savait que la situation dans laquelle il venait de se mettre était on ne peut plus délicate. Soit sa passe ou sa casse...

Franchement la jeune demoiselle préféré regarder ailleurs elle ne savais vraiment ni quoi dire ni quoi faire partir en courant ? non ce n'est pas la meilleur solution franchement en plus de tout sa ce n'était vraiment pas son genre loin de la du coup elle décida de faire face et de dirons nous "communiquer" avec ce jeune homme qui ne pouvais pas être si méchant que sa et puis au moins il ne faisait pas partit du clan "Harry Potter" c'était un bon point pour lui...

Elle l'écoutait plutôt attentivement puis elle se mit a rire mais pas d'un rire ironique sarcastique ou encore méchant non un vrai rire non elle l'appellerais simplement "Zac" enfin pas en public bien sur comme si elle allais lui parler en public non non hors de question que penserais ses amis ? et surtout que penserais Drago ? non elle ne pouvais surtout pas se le permettre

-Zac sa sera très bien...je m'appelle euh Pansy...Parkinson

Elle leva les yeux au ciel puis le regarda et lui fit un petit signe de la tête pour qu'il l'accompagne si il le souhaitais bien sur à continuer sa longue promenade loin de tout le monde et vu que Zac avait l'air d'être un jeune homme tout a fais calme et pas prise de tête elle ne refusa pas un peu de compagnie enfin un peu de sa compagnie mais allait il vouloir continuer un petit bout de chemin avec la jeune demoiselle ??

Il ne pouvais quand même pas refuser ? elle acceptait pour la première fois depuis ses quatre années d'études ici de parler à une autres personne qu'un Serpentard alors allait il sauter sur l'occasion de s'approprier un petit bout de l'amitié tant convoiter de la jeune demoiselle ou allait il passer outre et la toiser ??

[HJ: désolé du retard, mais avec les cours qui ont reprit, c'est un peu plus chaude de rep^^]

Lorsque Isaac avait descendu les marches de pierres blanches du château, une brise fraîche et pénétrante était venue fouetter le visage du jeune homme avec une fougue emportée si bien qu’il en frissonnait. Toutefois, à présent, le temps paraissait splendide et les températures, incroyablement douces pour ce mois de Mars. Le vent revigorant semblait s’être perdu dans la cime des arbres de la Foret Interdite, laissant un répit aux élèves de l’école de sorcellerie. Les eaux du Lac étaient bleues et profondes, insondables. Sans doute au même titre que l’esprit de Miss Parkinson. Isaac scrutait le vague de l’horizon, toujours harcelé par ses questionnements intérieurs quant à la conduite qu’il devait adopter.

Le jeune sorcier savait qu’il se trouvait face à une femme forte et redoutable. Une femme à l’honneur et à la fierté exacerbée. Il considérait déjà comme un miracle que Pansy n’ait pas déjà prit congé « manu-militari » de son agresseur. En temps habituel, il y a de fortes chances que la jeune femme aurait déjà laissé libre cours à son caractère sans hésiter à annoncer clairement sa façon de penser à l’impie qui aurait osé la bousculer. Malgré la prouesse qu’il venait d’accomplir avec la jeune Serpentard, Isaac n’en n’avait pas plus confiance en lui-même pour autant. Le chemin qui le mènerait sur une discussion amicale et chaleureuse avec sa camarade était encore long et sans doute semé d’embûches. L’un et l’autre n’étaient pas encore prêts à baisser sa garde et à ranger les armes. Cependant, Isaac se montrerait persévérant et combatif et obtiendrait ce qu’il désirait inconsciemment depuis qu’il avait percuté par mégarde Miss Parkinson : une conversation amicale dans laquelle il espérait obtenir une confidence de la part de la jeune femme qui semblait tourmentée.

Au contraire de celui de Zac’, le regard de Pansy était plutôt fuyant et farouche. Elle n’osait soutenir le regard céleste du Serdaigle, tant il était pénétrant et profond en ces instants. Bien que lorsque Isaac reprit la parole pour lancer une boutade douteuse alors qu’il aurait été si simple de simplement dire « je m’appelle Isaac », il remarqua que, même si son regard ne se plongeait pas de le sien, Pansy écoutait avec attention les mots de l’apprenti sorcier. Soudain, la boule nouée dans la gorge de l’adolescent tomba lourdement dans sa poitrine et, tel un œuf qui venait de se briser, une chaleur intense venait d’envahir tout son corps : Isaac venait de gagner la première bataille. Il venait d’obtenir une victoire.

Le jeune homme réalisa qu’il lui avait été plutôt facile de remporter le premier round. Le goût de la victoire en était d’autant plus savoureux. En effet, il ne s’agissait pas d’une victoire mesquine mais d’une victoire à laquelle se mêlait la joie et la fierté. Elle riait. Pansy Parkinson riait. Son visage sévère et renfrogné s’illuminait soudain. Ses lèvres pincées et retroussées s’étiraient en un sourire gratifiant pour l’honneur du Serdaigle. Son rire fendit l’air tel le chant salvateur du Phénix, alors qu’Isaac sentait sa confiance revenir. Ses éclats d’un rire sincère fendirent l’air et s’élevèrent aussi haut que s’envolaient les cris des oiseaux. [hj : « Mistral Gagnant de Renaud^^]

Isaac offrit, en guise de remerciement, le plus large sourire dont-il était capable. Durant ces quelques secondes de félicité, il se rendit compte que beaucoup de rumeurs circulaient sur les Serpentard, maheureusement, elles étaient peu flatteuses pour les verts et argents. Cependant, force est de constater qu’elles n’étaient pas toutes fondées. Pansy n’était pas comme la décrivait la plupart des élèves des trois autres maisons. Evidemment, il y avait fort à parier qu’elle ne serait pas montrée aussi clémente si le sang qui ruisselait dans les veines d’Isaac n’était pas pur comme le sien. Cependant, peut-être était-elle comme ça simplement en raison de l’éducation que lui fournirent ses parents. Après tout, si Jessica Cameron, la mère d’Isaac, n’avait pas décidé d’abandonner la magie, il y a de fortes chances que Zac’ toiserait, lui aussi les nés-moldus…

Soudain, le regard de Pansy fuyait de nouveaux vers l’horizon lointain alors que le goût de la victoire d’Isaac venait de s’évanouir aussi vite qu’il était apparu. Le combat reprenait, même s’il venait de percer les défenses d’acier de la jeune demoiselle, il restait à l’affût. Le moindre mot mal placé aurait put le mettre dans une situation on ne peut plus délicate… Cependant, lorsque le vent souleva quelques mèches des cheveux de Pansy, Isaac constata qu’elle ne paraissait pas enclin à retourner au combat. Au contraire, son visage était rêveur, presque souriant. Le regard posé vers le lointain, elle semblait songée à des pensées agréables. Sans même prononcer un mot, la jeune fille fit un imperceptible mouvement de la tête. Durant quelques seconde, Zac’ parut quelque peu interloqué, quoique stupéfait serait le mot plus juste. Machinalement, il se retourna pour s’assurer que ce geste lui était bien adressé. Apparemment oui, à moins que Pansy priait un vieux frêne de la suivre en balade, ce qui inquiéterait grandement le jeune homme au niveau de la santé mentale de sa condisciple. (quoique que tout ce qui venait de se passer était tout de même très déroutant.).

Il n’y avait aucun doute possible. Isaac interpréta le mouvement de la Serpentard comme une invitation à la suivre pour faire un bout de chemin ensembles. Isaac fixa la même direction que Pansy, elle s’en allait vers la Foret Interdite… Après un furtif sourire, Isaac vint se mettre aux côtés de Pansy et se mit en marche. Plus à lui-même, bien que dans le but qu’elle l’entende, il murmura sur un ton léger de plaisanterie :

-ah… les femmes ! Toutes folles de moi, plus une ne me résiste.

Bien que la jeune fille était partager entre un sentiment de profonde détrésse et un sentiment de satisfaction intence la premiere chose à laqu'elle la demoiselle se mit à penser fut...Que penserais les autres si il la voyais marcher au coter d'une personne qui n'est pas de sa propre maison ? Que dirais Drago ?? la rejetterait il ? Pansy n'étais pas du genre a se laisser dicté ce qu'elle pense ou fait par quelqu'un d'autre mais Drago était sans aucun doute la personne qui avait le plus d'influence sur elle...

Elle avait toujours les yeux bloquer sur le lac a regarder sans vraiment faire attention...Mais pourquoi ?? elle même ne le savais pas elle en avait juste envie ce n'était pas comme si elle allais mal non loin de la mais pour une fois en 4 ans d'étude elle se promena seule...enfin elle ne l'était plus vraiment mais que faire elle lui avait dit de faire un petit bout de chemin avec lui elle n'allais pas le renvoyer d'ou il venait comme sa...Quoi qu'elle aurais pu la jeune fille est bien du genre a changer d'humeur en un rien de temps mais bon la compagnie du jeune Sairdaigle n'étais pas désagréable loin de la...

Puis elle le regarda avec un plus que bizarre...Monsieur voulais faire de l'humour de toute évidence mais Pansy n'était pas vraiment d'humeur et puis elle ne savais pas vraiment rire au blagues que les gens faisait...pas parce qu'elle ne les comprennais pas non simplement parce qu'en général sa ne la faisait pas rire du tout et la elle lui fit un petit sourire (vraiment rikiki) histoire d'être "poli"

-Oh je vois tu est ce genre de garçons...elles sont toute a tes pieds hein?

Elle lui dit sa sur un ton de défit dirons nous un genre de "tu peux toujours courir pour m'avoir moi"...puis une fois que les deux jeune gens arrivairent devant la forêt interdite...Pansy qui se trouvais devant le jeune homme fis volte face et plaqua sa main droite sur le torse du jeune homme son visage se braqua puis ses yeux se fit noir elle le regarda puis lui dit avec une pointe de froideur dans la voix

-Tu devrais peut être rentrer au Chateau maintenant...je peux continuer seule...

Enfaite c'était plus un ordre qu'une recommandation mais au fond d'elle même elle se doutais qu'il n'accepterais pas...La jeune fille ne cherchais rien de spéciale dans la forêt mais elle espéré peut être y trouver une chose extrahordinaire...qui sais...

» Isaac Jackson
» James Isaac Jackson (Enfin Zac pour faire simple)
» Besoin d'un titre ici ?
» Besoin d'un bon bain ! [Ineiveol]