Encore un repas dans le silence... (Pv= les Gryffy's)

L’année était presque à sa fin, et il était bientôt venu le temps où les BUSES seraient là, et il était hors de questions pour Hermione de les louper ! Mais à coté de ça, nous avons Ombrage et ses décrets… Ombrage qui, rappelons-le, était à présent au titre de directrice de Poudlard, chose vraiment horrible ! Hermione ne pouvait plus voir ses deux meilleurs amis à cause de cette inquisitrice, et d’un nouveau décret… Chose vraiment insupportable ! Se tenir à au moins un mètre d’Harry et de Ron ? Elle allait vraiment trop loin ! Pourvu que l’AD puisse continuer jusqu’à la fin de l’année ! C’était le seul endroit où Hermione pouvait encore les voir ! La seule priorité qu’avait Hermione à présent, c’était réussir ses BUSES, et surtout rester fidèle à Harry ainsi qu’à l’AD…

Bien sur, les réunions de préfets n’arrangeaient guère les choses, et les affrontements qu’elle avait non plus ! Il fallait toujours se maintenir, surtout face à la brigade ! Ca devenait plus que pénible ! Et ce qui l’était encore plus, c’était de voir Harry en retenue, chaque soir, sans jamais un soir revenir avec zéro cicatrice ! Une cruauté qu’Ombrage a sut imposer... Elle et ses fichus décrets ! Hermione n’était pas du genre à être contre Poudlard, et encore moins du ministère, mais cette fois ils allaient beaucoup trop loin ! Encore quelques mois avant, Hermione était ravie de revenir à Poudlard, surtout en tant que préfète ! Mais hélas il avait fallu que cette sous-secrétaire de je ne sais quel tempérament sème en ce lieu une véritable prison ! Il fallait espérer que le rituel du professeur de DCFM continue, surtout cette année ! Si Ombrage partait à la fin de l’année, ce serait comme gagner une coupe ! Un véritable triomphe…Seulement … Allez savoir si Dumbledore reviendrait !

Et encore une journée qui tournait au rituel, sans la moindre conséquence… Plus de quidditch, encore un décret d’Ombrage… Que voulez-vous faire ? Plus aucunes distractions ! Voilà ce qu’Ombrage avait fait ! Voilà ce qui lui vaut le titre de « crapaud rose » ! Ou encore de « bonbon rose » ! Bien entendu, personne n’osait lui révélait ses pensées, mais là, s’en était vraiment trop ! Des élèves en arrivaient à partir de l’école, et d’autres en arrivaient à compter les jours et les heures, voir chaque secondes ! Les seuls à être heureux, c’était bien la brigade ! Tous les droits leurs étaient offert, tous ! Sans exception, et ce qui rendait pratiquement malade Hermione, c’était de les voir avec un soi-disant « grand mérite » ! Surtout Drago Malefoy, Pansy Parkinson, Crabbe et Goyle, et encore d’autres… Pas étonnant que cette brigade soit au trois quart de serpentard ! Bien sur, des élèves de poufsouffle, serdaigle et gryffondor en arrivaient à bout, et ne voulaient qu’une chose : rejoindre cette brigade ! Mais encore aucuns membres de l’AD n’avaient craqué ! Personne encore n’avait parlé de cette armée secrète ! Un courage qu’Harry arrivait à leurs laisser, le seul espoir ! Heureusement, lui non plus n’avait pas encore craqué mais à présent les temps se faisait durs…

Aujourd’hui, c’était un jour simple, entre cours et bibliothèque, Hermione n’avait pas put s’empêcher de prendre la parole à plusieurs cours, car c’était encore l’une des seules à rester éveillés en cours et à participer. Dans certaines matières elle faisait gagner des points, et dans d’autres elle en faisait perdre comme chez Rogue, Ombrage… Hermione descendait les escaliers, d’un pas plus ou moins rapide pour ainsi éviter une croisade qui tournerait au cauchemar, et foncée presque tête baissée vers la grande salle pour la fin de la soirée. Elle y venait pour y prendre un dernier déjeuner, bien entendu le dernier de la journée avant de retourner à sa salle commune. Ronald, Harry ni aucuns autres élèves qu’elle connaissait n’étaient encore là, en fait, il n’y avait pas grand monde. Il y avait juste Collin Crivey et d’autres élèves comme Luna ou Cho, voir même Pansy, mais ce n’était pas les personnes qu’Hermione fréquenté le plus à Poudlard…

Elle prit alors place en milieu de table, là ou un trou s’était imposé, espérant ainsi que Ron et Harry viennent se joindre à elle, même si pour Ron on pouvait toujours espérer… En effet, les seuls fois où il était libre, il préférait traîner sur le chemin avec Emma et venir prendre son repas à la traîne, mais on ne pouvait pas lui en vouloir, d’ailleurs, Hermione ne lui en voulait plus…
Au menu du soir, jus de citrouille, bacon et autres assortiment, et bien entendu elle avait ressorti la gazette qu’elle n’avait pas eut le temps de finir le matin là. Elle lisait un article concernant Fudge et Dumbledore, pour ne pas changer, quand quelqu’un vint s’asseoir à coté d’Hermione…. D'une façon un peu précipité, manquant d'arracher le journal d'Hermione au passage...

Ombrage...Ombrage...Ombrage...qu'est-ce que ce mot donnait mal à la tête! Vraiment, Poudlard c'était rendu un enfer total depuis que Dumbledore était parti par la faute de qui? Non! Ne dites pas son nom où alors le mal de tête allait revenir! Bon sang ce qu'il en avait sa claque! Interdit de jouer au Quidditch, plus de balais car ils avaient étés confisqués, la brigade qui avait tout le droits, le nouveau décret qui était : les garçons et les filles doivent se tenir à une distance d'un mètre...vraiment, ce décret le découragait pas à peu près! Plus le droit d'être avec Océanne...non mais! À cette seule pensée, Fred sentit des larmes monter.C'était pas son genre de pleurer, mais il aimait Océanne et c'était un amour sincère et à la seule pensée d'être séparée d'elle, il avait envie de faire son fameux plan plus tôt que prévut!

Sa main était remplie de cicatrices à cause des diverses retenues de Ombrage.En effet, Fred n'avait pas l'intention de se laisser avoir par cette femme et encore moins pas celle là parce que de un, elle l'interdissait de vendre ses produits, de deux, elle le collait toujours en retenue, de trois, elle l'avait privé de Quidditch à vie et de quatre , il ne pouvait plus être avec Océanne et là, il se fichait pas mal de se faire vitrer de cette école car sans Dumbledore, c'était invivable! Alors si il se fesait viré, au moins il n'aurait plus à supporter cette affreuse femme!

Son sac à dos sur son épaule, Fred sortait d'une énnième retenue avec elle et il avait la main en sang.Il fit au saut à la salle commune, là où il y avait en réserve dna sson dortoir de l'essence de Muralp , il trempa sa main dedans et le douleur arrêta mais les cicatrices étaient très voyantes.Poussant un juron, il laissa son sac à dos près de son lit et sentit son ventre crier famine.Espérant que Ombrage ait pas aussi le pouvoir sur la nourriture, il déscendit les escaliers magiques, poussant tout le monde sur son passage, le regard noir comme si il allait assassiner quelqu'un.Jamais on ne l'avait vut d'aussi mauvaise humeur, en fait, jamais il n'était de mauvaise humeur,D'habitude, il avait toujours le sourire et il riait tout le temps ou alors il remontait le moral de ceux qui ne l'avaient pas.Mais là, il sentait qu'il allait exploser alors il ne dit rien.

C'était le vide complet dna sla grande salle.Où étaient les autres? Il ne savait pas.Il y avait quelques personnes, mais c'était tout de même vide car à une heure pareille, tout le monde a envie d'aller manger se mettre quelquechose sous la dent.Mais là, apparamment, tout le monde n'avait pas faim.À la table des Gryffondors, il n'y avait que deux personnes : Colin Crivey et Hermione Granger.Ils mangaient tout les deux.Fred soupira et d'un pas traînant, il alla s'assoir en face d'Hermione et la salua d'un signe de tête et son assiette apparut : jus de citrouille, bacon et autres assortiments.Il planta sa fourchette dans sa nourriture et se mis à manger, contant de ne pas avoir Ombrage devant la figure afin de ne pas lui couper l'appétit, il mangea , toujours aussi de mauvaise humeur.Mias où étaient passé les autres? Ils étaient tous en retenue? Ils avaient croisés Ombrage sur le passage? Où était Océanne? Il y avait au moins une semaine que Fred ne l'aait pas vut.Enfin, oui mais de loin et ils ne s'étaient que salués d'un signe de main avant d'entrer dans leur classes.Il avait plus que hâte que les B.U.S.E. arrivent.Il n'avait pas l'intention de faire ses A.S.P.I.C. mais bel et bien defaire toute qu'une surprise à miss crapeau-je-suis-dingue-du-ministère qu'elle n'allait pas oublier de si tôt...

HJ :

j'sais pas faire des posts aussi longs !

Harry n'était plus que l'ombre de lui même. Auparavant, il avait une crise par semaine, maintenant ses crises le prenaient chaque nuit. Chaque soir, les cours d'occlumancie avec le Professeur Rogue le vidait du peu d'énergie qu'il avait et il n'était pas rare qu'il tomba évanoui au bout d'une heure de travail. L'interdiction du Quidditch lui avait porté un gros coup au moral. C'était ça qu'Ombrage voulait faire : interdire aux gens de s'amuser, leur saper le moral, monter celui de la Brigade Inquisitoriale et pousser l'Armée de Dumbledore à se vendre. Comble, Harry se retrouvait chaque soir en rentenue chez Ombrage, des heures et des heures d'écriture interminables et douloureuses. Parfois il était seul, parfois il y avait d'autres élèves avec lui. Le plus dur c'était de voir que parfois, il y avait des élèves de première année qui n'avaient rien demandé, qui souffrait et parfois même qui pleuraient. L'AD était tout ce qu'il lui restait. Tout ce qui leur restait. Non seulement ils pouvaient s'entraîner à la pratique comme bon leur semblait dans la salle sur Demande, mais c'était aussi des moments de rare convivialité. Il n'était pas rare de voir un élève tomber en pleurs dans les bras de ses amis, ou au contraire, de trinquer tous ensemble un verre de l'amitié. C'était pour ça que l'AD était nécessaire pour tout le monde. Elle était comme une bulle, et pour Harry elle était vitale.

Le réveil fut dur ce matin-là ... alors que Ron ronflait comme un bienheureux (mais comment est-ce possible de dormir ainsi, de manière si insouciante alors qu'une guerre est sur le point d'éclater ?!) il s'habilla dicrètement et sortit dans les couloirs. Un Harry amaigri se dirigeait vers la Grande Salle. Harry mangeait uniquement par nécessité, plus par plaisir. En général, cela se résumait don à un petit déjeuner. La crise de cette nuit avait été particulièrement violente. Il s'était réveillé comme d'habitude en nage, mais pour la première fois il avait éclaté en sanglot, jusqu'à ce qu'il soit trop fatiqué pour pleurer et qu'il s'endorme, comme un nourisson frustré. Il fallait une prochaine réunion de l'AD, il en avait besoin. Dans la Grande Salle il y avait 3 élèves. Fred, Hermione et Colin. Il se dirigea vers eux. Il avait entendu dire que Fred avait eu le loisir de goûter une fois de plus aux retenues avec Ombrage, et à la désagréable sensation d'être scruté jusqu'à la moelle. Un coup d'oeil rapide vers la main de Fred lui indiqua qu'il avait dégusté ... Il regarda sa propre main qui avait presque doublé de volume. Il leva ensuite la tête vers ses deux amis.

- Salut ... Je suis content de vous voir ...

C'était tout ce qu'il trouvait à dire c'était plus que sincère. Un regard compatissant vers Hermione qu'il ne savait plus comment rassurer, et interrogateur vers Fred, le grand frère de Ron, son meilleur ami.

- Alors ? Tu as copié quoi hier ?

C'était certes inscrit sur le dos de sa main, amis il fallait que Fred se libère et qu'il en parle, il devenait une vraie pile électrique et Harry avait peur de le voir craquer.

Harry se joignit à la table des Gryffondors lui aussi.Il disait qu'il était contant de les voir ce qui fit un peu je dit bien un peu sourir Fred qui lui, n'avait le moral à rien aujourd'hui.Ni à rire, ni à sourire, ni à faire la moindre farce.Il voulait juste retrouver Océanne, l'embrasser si passionnément que il aurait l'impression de tout oublier, oublier ses problèmes et surtout, oublier cette Ombrage.

Mais il était contant de voir Harry car lui au moins il vivait la même chose que lui.En pire bien-entendu.Mais au moins, ça allait lui faire du bien de parler à quelqu'un qui le comprennait enfin.Puis, il lui demanda ce qu'il avait copié.Fred eut un rire sans joie et après avoir avalé son bacon qu'il mastiquait.Puis, il leva sa manche et on voyait partout sur sa main des écritures tranpersant la chaire mais deux en particulier saignaient légèrement encore...

-Je ne doit pas perturber les cours de Mme la grande inquisitrice en fesant des anneries.Celle là c'était parce que j'ai jouer à la bataille explosive dans le fond de la classe avec George.Et puis j'ai copié aussi : je ne doit pas embrasser dans les couloirs car le décret l'interdit.Celui là je ne peux pas le prendre! Je sort avec Océ et par sa faute je ne peux pas l'embrasser! Poudlard est un enfet depuis que ce crapeau rose a pris le contrôle...

On voyait très bien que s'il en avait le pouvoir il lui aurait fait souffrir tout ce qu'elle a fait endurer aux autres.Il y avait peu de temps, il avait vut un jeune garçon pleurer après une une douloureuse retenue avec cette méchante femme.C'était un monstre, une vraie.Puis, il leva les yeux vers Harry.

-J'ai l'intention de lui faire payer.Tout.Et j'ai pas l'intention de passer mes A.S.P.I.C. non plus.

Il l'avait toujours dit : sa place n'était pas auprès des performaces académiques mais belle et bien auprès des farces et attrappes, ça, il le savait depuis très longtemps.De plus, même si sa mère avait tout déchiré ses annonces, même si elle l'obligait à faire ses études et travailler au ministère, Fred lui, n'avait pas l'intention de l'écoute.Oh que non! Il fesait fortune avec ses prodiots, Harry lui avait donné plein de gallions pour ouvrir la boutique et avec Ombrage aux commendes, il n'allait pas se laisser abattre par elle mais bien s'enfuir de cette prison et ouvrir enfin sa boutique, avec George, réaliser enfin son rêve le plus fou et laisser à Ombrage un souvenir de lui dont elle n'allait pas oublier si tôt...

Isabella avait finit sa journée de cours et en était bien contente, plus ça allait et moins elle appréciait l'école, pourtant dieu seul savait à quel point elle aimait se trouver ici avant... Avant? Avant c'était quand Ombrage n'était pas là faisant sa loi. Avant c'était lorsque Dumbledore était directeur de l'école, lorsque, pour tous les élèves, Poudlard était une deuxième maison. Aujourd'hui, Poudlard était devenu une prison, un lieu où la liberté n'existait plus et où on pratiquait la torture et elle n'exagérait à peine. Tous les soirs des élèves se retrouvaient en colle avec Ombrage et le résultat n'était un secret pour personne maintenant, tous sortait avec la main ensanglantée par les lignes écrites avec leur propre sang.

Isabella n'était pas une abonnée à ces colles et essayait, autant que faire ce peu, de passer inapperçue, elle savait ce qu'il lui en couterait de prononcer un mot de trop même si l'envie était bien présente. Cette envie lui avait causé quelque soucis d'ailleurs, lui ayant value des retenues en compagnie peu appréciable. Aussi, depuis avait elle essayer de faire tête basse, elle ne voulait pas s'attirer des ennuis et risquer d'en apporter à d'autres élèves. Elle s'était donc calmée et assistait à ses cours en silence, ne faisant plus part de ses désaprobations. Elle était toujours aussi sérieuse dans son travail qu'auparavant bien que l'ambiance environnante ne lui donne pas vraiment envie d'être studieuse. Ombrage ne cessait d'imposer de nouveaux décrets, tous plus ridicules les uns que les autres, on sentait très bien la pression qui pesait sur chaque élèves de l'école. Cette situation ne pourrait pas durer éternellement.

Le dernier décret en date avait achevé de la mettre en colère, non seulement ils leur étaient interdit de se regrouper, de penser ce qu'ils souhaitaient... mais maintenant il leur était interdit de se trouver à moins d'un mètre d'une personne du sexe opposé. C'était vraiment le ponpon !! Cette année avait été pour elle entre le pire et le meilleure, le pire pour la situation actuelle de l'école, le meilleure à cause de sa relation avec Zac qui avait finalement abouti. Cette relation en plus de l'AD était ce qui lui permettait de se tenir à peu près tranquille et de ne pas "péter un cable". Bien sûr, dans le premier cas tous les membres avaient bravé l'interdit d'Ombrage de se regroupé et maintenant il était évident pour elle qu'elle allait en faire autant pour le décret sur la distance entre élève. Il était hors de question qu'elle ne puisse pas parler avec Zac en journée, elle trouverait une combine, même si elle devait pour ça éplucher tous les livres de la bibliothèque.

C'est pourquoi, ce soir-là, en sortant de cours elle se rendit à la bibliothèque afin d'en emprunter quelques uns qui lui semblaient prometteur. En sortant de la bibliothèque son sac était bien plus lourd et pesait sur ses épaules mais elle s'en fichait éperduement, elle avait bien l'intention de trouver une solution. Certes elle voyait Zac à la salle commune tous les soirs, mais pour le principe ce décret la révoltait. L'addition de tout ce qui s'était passé au cour de cette année la mettait hors d'elle et le plus dur était réellement de garder son self contrôle.

Elle se rendit à la grande salle pour dîner en vitesse avant de se rendre en salle commune. Elle n'avait aucune envie d'y rester plus longtemps que nécessaire pour y subir les observations détaillés d'Ombrage, plus vite elle serait dans la salle commune, plus vite elle serait tranquille. Elle s'installa au hasard des places qui restaient et se trouva à côté d'Hermione, de Fred et de Harry. Ils semblaient parler ensemble et elle entendit seulement la dernière phrase de Fred, il avait l'intention de faire payer à Ombrage ce qu'elle lui faisait subir. Elle imagina ce que ça pourrait donner en même temps qu'elle s'asseyait, ce serait certainement beau à voir. Un sourire entendu apparut sur le visage d'Isabella avant qu'elle ne prenne la parole.

Bonsoir. J'espère que je n'ai pas interrompu votre conversation, bien que ça ne soit pas plus mal après tout... On sait que les murs ont des oreilles en ce moment à Poudlard...

Elle laissa sa phrase en suspend et posa son sac par terre avant de prendre ses couverts pour commencer à manger. Elle ne savait pas trop qu'elle sujet aborder à en faite, avec Ombrage pas loin, plus les membres de la Brigade Inquisitoriale, il fallait plus que jamais faire attention à ce qu'ils disaient. Elle but une gorgée de jus de citrouille avant de se risquer à poser une question.

Comment s'est passée votre journée? Mise à par les heures de colles... dit-elle en regardant Fred et Harry.

Cette question avait pour but d'amener une conversation qui ne soit pas trop risquée bien que, pour elle comme pour les autres, elle soit complètement futile et peu intéressante.

Tant dis qu’Hermione rangeait son journal, Fred vint prendre place en face d’elle, ayant l’air de mauvaise humeur ! Encore une œuvre d’Ombrage à observer la main ensanglanté de ce Weasley. Ce professeur donnait beaucoup d’heures de colles, et Hermione en pensait bien une chose : elle devait avoir des doutes sur l’AD car en effet, les trois quart des membres de l’armée Dumbledore en avait eut une avec cette directrice, Hermione était une exceptions, mais ça n’allait que tarder …
Hermione lança un regard envers Collin qui semblait trop silencieux le connaissant, avant de lancer à Fred un regard d’étonnement et de fatigue… En effet, c’était désolant de voir dans l’état où elle mettait les membres de l’AD, c’est pourquoi Hermione laissa Fred avalait son repas en silence.

Ensuite, ce fut Harry qui arriva, et à ce moment là, Hermione était plus joyeuse que n’importe quand ! Rares étaient les fois où elle le voyait, mais les seules fois où c’était le cas elle en était joyeuse ! Lui, prit la parole pour dire qu’il était content de les voir, mais le regard compatissant qu’il lui envoya n’était jamais assez rassurant ! Le voir dans un état pareil c’était comme déchiré un bout de parchemin alors qu’Hermione avait presque finit un devoir ! Traduction : c’était comme déchiré une espérance qu’il restait alors qu’ils en arrivaient au bout ! Au bout d’un cauchemar sans fin dont ils verront finalement jamais la fin…

Cette fois ‘était réglé, Hermione était bien décidée à faire quelque chose ! Ca ne pouvait plus durer ainsi ! Et puis quoi encore ? Les mangemorts à Poudlard aussi ?! Bref, Hermione ne savait pas quoi répondre et poussa un léger soupir continuant de manger du mieux qu’elle pouvait, manquant énormément d’appétit cette fois là…

Tant dis que Fred et Harry échangés leurs impressions sur les heures de retenues avec Ombrage, Isabella Swann, une élève de quatrième année, vint se joindre à eux. Elle n’avait pas tord en disant que les murs avaient des oreilles, mais Hermione était à bout de force ce qui expliqué bien le manque de remarques de la préfète rouge et or…

De plus, voir la chaise d’Hagrid ou encore de Dumbledore vide car Hagrid était disparu, ou la chaise de directeur prise par une petite vieille au chapeau rose de travers, au rire enfantin et au caractère de peste impériale était devenue insupportable ! Dolores Ombrage avait annoncé qu’elle venait pour remettre le niveau à Poudlard, mais c’était en fait le sien qu’elle avait remit… D’ailleurs, Hermione ne lisait plus beaucoup la gazette du sorcier comme auparavant pour la superbe raison que cette vieille femme répondant au surnom de crapeau rose était apparut ! Partout on entendait son nom comme un trophée, mais même Hermione l’entendait comme le nom d’un film cauchemardesque ! Il n’y avait plus d’espoirs, hormis l’AD, mais il devenait dur de garder espoir en cette association secrète… Au pire, il fallait inventer n’importe quoi comme l’AD signifie Admiration Dolores ou Armée Dolores ou n’importe quelle autre sottise, tant que cette hypocrite ne découvrirait pas la véritable signification de ces initiales ! Enfin, Hermione redescendit sur terre à temps pour répondre à Isabella :

- La gazette parle admirablement bien d’Ombrage… et toi ? La brigade t’a trouvé un rencart avec la directrice ?

Evidement, cette réponse et cette question avait eut pour effet de donner un sourire à Hermione espérant avoir dit quelque chose de drôle même si ce n’était pas réellement ironique pour les victimes de la femme à la politique rose…

D'un oeil mauvais, lançant un regard noir, Fred fixait longuement son assiette sans dire un mot ce qui n'était bien évidamment pas dans ses habitudes car il y avait quelques mois, parler tout le temps, dire des blagues, des conneries et faire rire les autres étaient ce qui le différanciait des autres.Mais là, non. Et tous le monde avait changé on ne pouvait pas le nié.

Juste après que Fred dit qu'il allait faire payer Ombrage, une fille de Gryffondor se joint à eux.Isabella Swann. Il la conaissait de vue pour l'avoir croisé quelques fois. Il lui fit un faible sourire en guise de salutation et refixa son assiete en mangant silencieusement en écoutant ce que disait Hermione et eut tout de même un sourire à la plaisenterie de Hermione, ne sachant pas trop si il devait en rire ou non. Mais il y avait si longtemps qu'il n'avait pas sourit que son sourire s'effaca doucement alors qu'il manga tranquillement.

Regardant Harry et lui, Isabella leur demanda comment s'était passé le reste de leur journée mis apart leur retenue qui fut bien évidamment un véritable enfer qui péta leur journée. Mais après tout, qui aurait apprécié se trouver premièment dans le bureau d'Ombrage quui donnait la chaire de poule avec tout ce rose exagéré, la fameuse plume qui mutilait de pauvre innocents depuis des mois et puis le départ de Dumbledore sans oublier les trillions de décrets qu'elle avait mis en marche depuis...

-Bof...on peux pas vraiment faire grand chose avec tous ces décrets à la noix...interdit de vendre mes produits...interdit des groups d'élèves...viré de l'équipe de Quidditch...interdit de s'approcher de...d-de...enfin...

Il avait l'air sombre et avait dit tout cela d'un ton glacial.Aussi froid que son regard avec lequel il fixait son repas et les Serpentards qui eux avaient la belle vie avec crapeau rose...bon sang! C'est fou ce qu'il sentait de la haine! Il savait que comme tous le monde l'on pouvait détester quelqu'un, mais jamais Fred ne l'avait ressentit à ce point.Mais ça se voyait, c'était vraiment le fait de ne plus être avec Océanne qui le dérangait à ce point. Rien que d'y penser il sentait une boule dans sa gorger se former.L'amour était un sentiment profond mais jamais Fred n'aurait pensé un jour qu'il allait le ressentir. Du moins, pas aussi fort.

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