Soirée de la St Valentin [Tout le monde]

A l'extérieure du château tout y était calme, il n'y avait personne. Pas de bruit, pas de vent, pas un nuage venait troubler le magnifique spectacle qu'offrait le ciel à ce moment précis. Quentin était là, assit contre un arbre, silencieux à regarder au loin, le soleil se couchait derrière les belles montagnes. Il n'était encore pas très tard et pourtant, la nuit avançait à grand pas, la lune apparaissait et le ciel bleu azure s'assombrissait. Ce sera sans aucun doute, une nuit plutôt tranquille. Contre son arbre, le Poufsouffle se reposait de sa journée. Puis-ce qu'elle fut un peu moins calme qu'à ce moment. Malhreureusement pour lui, mais pour le bonheur des autres, ce jour était celui de la St Valentin. La fête des amoureux. Ce fut l'un des cas qui fatiguait plutôt le garçon. Dans tout le château depuis plusieurs semaines, les élèves ne faisaient que de parler de cela et surtout du bal de la St Valentin.

On comprend maintenant pourquoi, Quentin était plutôt assis contre son arbre, plutôt qu'à l'intérieure de l'école. Parce que dans le parc c'était tout le contraire du château. A l'intérieure le calme avait depuis longtemps disparu, une excitation avait gagné tous les élèves, à un tel point que cela devenait étouffante pour les personnes non atteint. Tout cela était la cause du bal qui allait commençait dans quelques heures. Tout le monde se préparait, se coiffait, s'habillait, tous voulait paraître bien aux yeux de leur Valentine. Et tout cela énervait un peu le préfet, mais faut les laisser, ils sont encore bien jeunes pour comprendre quelque chose.

Le temps passait et l'heure était venue pour Quentin de rentrer au château. Il n'était pas très loin et il marcha donc d'un pas tranquille et serein, ses pensées virevolté dans les airs tendit qu'il pénétrait dans ce vieux bâtiment. Toujours avec le même pas, il passa devant la grande salle, ou l'on installait les tables, guirlande et autres choses pour le bal, vu de la sa commençait à être beau, mais quand tout sera fini se sera sans doute merveilleux. Bientôt il arriva devant la salle commun, prenant son courage à deux mains, il prononça le mot de passe et s'avança dans la foule. Au milieu de tous ses élèves, il faisait vraiment très chaud et c'était un foutoir pas possible. Les Pufsouffles couraient d'un bout à l'autre pour rechercher quelques choses, demander comment ils étaient, discutés de la soirée. On arrivait à peine à passer et même à se faire entendre. Le préfet se freilla un chemin parmi les foules d'élève et s'installa dans un fauteuil près du feu à regarder les événements se dérouler.

Pendant près de deux heures riens n'avait changé. Il y avait encore beaucoup de monde et de bruit, qui fit un bon mal de tête au Poufsouffle. Lui avait enfin décidé à bouger vers son dortoirs, et après avoir passé un labyrinthe d'élève, il réussit à trouver la porte de son dortoir d'où il entra à l'intérieure. Mais pas de chance, ses compagnons de chambres étaient eux aussi dans leur affaire, à se préparaient pour le bal, l'un n'arrivait pas à mettre sa cravate, c'était très comique surtout au moment où il utilisa sa baguette pour l'enflammait, l'un s'occupait de ses cheveux et les deux autres s'habillèrent. Quentin s'avança et se mit sur son lit à regard ce petit spectacle.

Bientôt se fut l'heure d'aller au bal et très vite le dortoir et toute la salle commun était devenu vide. Sauf quelques retardataires et le préfet. Il s'allongea sur son lit et commença à réfléchir. Ses pensées allaient du bal à Emma. Sa meilleure amie. Il mit longtemps à rester sur son lit à contempler le plafond perdu dans son esprit, mais bientôt se fut un déclique. Comme si son père lui avait dit ce qu'il pensait. Il ne pouvait pas faire tout le temps la tête, toujours être seul, à penser et toujours penser. Un jour ou l'autre cela finira mal et s'il aimait vraiment Emma, il ferait ce qu'il aurait de bien pour elle. Sur ces bonnes pensaient, Quentin se redressa et alla prendre une bonne douche. Comme il n'y avait personne, il avait le temps et il se fit coulé un bon bain chaud.

Comment avait-il pu être aussi stupide ? Cela doit sûrement venir de son père, sa mère le lui dit souvent. Après s'être bien détendu, il se sécha et remonta dans son dortoirs avec le même refrain en tête. "Stupide, t'es vraiment stupide !". Mais qu'est ce qu'il allait mettre pour la soirée, il n'avait rien prévue ? Vu le nombre de personne qui avait stressé pour savoir ce qu'ils allaient mettre ce soir, il n'allait pas faire comme eux. Dans sa valise, il ouvrit un paquet que sa mère lui avait donné pas courrier hiboux. En l'ouvrant il découvrit, toute une tenu de soirée, ce qui lui fit bien rire. Il n'allait sans doute pas porté cela. Voilà pourquoi, il mit seulement la chemise blanche du paquet et le pantalon noir. Pour la veste de pingouin, la cravate et surtout les chaussure faudrait repasser. Par-dessus la chemise, il mit une autre chemise noire un peu plus grand et à ses pieds les chaussures du paquet, même s'il ça lui faisait mal au coeur de porter cela.

Enfin fini, Quentin remit de l'ordre dans ses cheveux trop bien coiffer (en les décoiffant), coinça sa baguette dans sa ceinture et sortis de la salle commun les mains dans les poches. Il remonta les quelques marches et bientôt il entendit la musique du bal. Arrivant devant la grande salle, il remarqua une jeune fille pleurait et Fred à côté d'elle. A peine commençait, qu'il y avait déjà des pleures, c'était vraiment trop bête. Dans ses moments, le préfet ne savait pas trop quoi faire. Il sortit ses mains de ses poches et s'approcha de la jeune fille et du garçon. En regardant bien, il reconnut la Gryffondor qu'il avait surpris dans les couloirs, Océanne. Quentin s'accroupie devant la belle qui pleurait et s'adressa à Fred.

Il y a eu un problème ?

Il n'était pas vraiment intime avec Océanne ou Fred, mais il pourrait peut-être les aidés.

Akuma avit passer la journée entière à lire des livres dans le parc ou bien dessiner. Elle dissinait tout et n'importe quoi. Puis la nuit tomba et elle remonta dans son dortoire. Elle ne voulais pas que ses biens s'abiment dans la fraicheure du soir. Elle s'arrêta un instant devant la grande salle d'où sortaient les premières notes de musique. Elle croisa les premiers élèves qui entraient dans la grande salle. Elle les croisant, eux, si bien habillé pour festoyer, pratiquement tous au bras de leur paire masculin et feminin. Elle vêtue de sa robe d'étudiente, coiffée de deux couettes camme tous les jours, charger de parchemins, de livres, et de pinsceaux et de pot d'encre japonais. Elle en baissa la tête tellement elle avait honte. Mais honte de quoi ? Elle ne saurait même pas le dire.

Elle entra dans la salle commune où elle vit son préfet, qu'elle connissait à peine, le salut brievement et remonta dans son dortoir. Une fois de plus elle ouvrit ses livres. mais cette fois c'était des livres de cours. Elle travailla un bon moments sur son lit jusqu'à se qu'elle entende des bruits de pas précipités dans les escaliers.
Elle ne broncha pas mais referma ses livres.
Les bruits de pas reveinrent. cette fois, Akuma passa la tête par la porte de son dortoir et vit son préfet en tennue de soirée partir pour le bal. Elle regarda l'heure, il était assès tard.

Akuma descendit dans la salle commune et cria

Y a quelqu'un ?

Elle fit le tours de tous les dortoirs, filles et garçons et ne trouva personne.

Elle décida donc à se changer. Elle revêti une robe noire assès courte dont le bas se finissait en triangles. Elle enfila des longues bottes qui remontaient au dessus de ses genoux et réajusta ses couettes. elle ne voyait pas comment elle pouvait coiffer autrement ses longs cheveux noir qu'avec deux couettes.

Une fois prète, elle partit pour la grande salle trenformé exeptionnellement en salle de bal. Akuma entra dans la grande salle emplie de monde. Elle était impressionnée par tant de beauté.

Nodoka obeserva Lila et Léo, partir dans leur coin pour danser et parler en paix, ele fit un petit signe de la main avant que celle-ci disparraisse avec Léo.. La bleu et noir sourit du bonheur de son amie, la jeune fille avait toujours le don de faire sourire la jeune Serdaigle. Tuoujours occupé à regarder le petit couple, elle ne s'aperçut pas qu4akin s'était approché d'elle pour lui murmuré quelque chose. La bleu et noir suprise, tourna son regard vers le jeune homme, le rouge aux joue, elle n'avait pas du tout l'habitude qu'on lui fasse un compliment. Tentant de cacher son trouble elle sourit à Akin.

Euh, merçi beaucoup. Tois-même... tu es très...beau...avec cette tenue.

Après ces quelques mots la jeune fille détourna le regard plutôt génée par la situation. Elle était contente d'être avec Akin mais aurait préférée, ne pas être entourée de tous ce monde qui la frolait, parlait fort... Après la remarque d'Akin, Nodoka lui lança un regard amusée.

Merçi cette robe apartenait à ma mère... Ne t'inquiète pas ce n'est pas pour toi que je suis gentille. Lila est ma meilleur amie depuis que je suis âgée de 12 ans. Ce n'est pas un changement, j'ai toujours été comme ça, contenente que ça te plaise.dit la jeune fille d'un ton ironique et doux à la fois.

La jeune fille regardait Akin, sans rien dire, c'est vrai elle ne se montrait pas souvent sous ce jour, enfaite elle n'était comme ça qu'en présence de son amie et avec sa famille. Quand Akin, lui proposa de danser, elle fut surprise ne sachant quoi répondre. C'est vrai qu'un bal c'est fait pour danser, mais la jeune Serdaigle n'avai pas songer à cet accpet de la soirée et ne savait quoi répondre au bleu et noir en face d'elle. danser signifiait être encontact avec la personne, et plutôt serré. La jeune Serdaigle, regardait son compagnon d'un air génée, avant de bredouiller quelques mots:

Euh excuse-moi... tu ne préférais pas aller boire un verre plutôt avant... à vrai dire je n'ai jamais été une très grande danceuse.

Lorsqu' elle était entrée, Akuma n'avait pas fait attention à ce qui l'entourait. Elle n'avait pas même chercher des yeux son préfet. pourtant elle s'avait qu'il était là. Savait-il au moins qu'il comptait pour elle même si elle n'avait jamais put alligné deux mots devant lui ?

En se promenant un peu partout elle l'apperçut entouré de gryffondor. non pire, il était agneouillé devant une fille en pleur.
Le coeur d'Akuma fit un bon dans sa poitrine. Elle détourna les yeux. Non, elle chercha le chemin le plus court pour rejoindre la sortie et partir aussi discrettement quelle était arrivée.

Akuma se mêla à la foule et, alors que des couples partait danse, elle se sortit du passage pour ne pas les gêner et se retrouva poussé sur une serdaigle.

Par... Pardon

Bredouilla t'elle si bas que seule Nodoka put l'entendre, puis elle disparut dans la foule aussi vite qu'elle en avait été éjectée.

Enfin elle eteignit la porte. Et entre ses géant, car Akuma n'était pas bien grande, elle ouvrit la lourde porte et sortit. la porte fermer, la musique n'était plus qu'un bruit étouffé. Elle ne savait pas se qui l'avit poussé à venir ici. peut être la possibilité de se raprocher de son préfet. Allez savoir. Quoi qu'il en soit, elle n'aimait pas la foule et repartit dans la solitude et le calme de sa salle commune.

Invité

Emma suivit Ron jusqu'au buffet au fond de la salle, toujours main dans la main, ils zigzaguèrent entre les groupes de personnes qui évoluaient dans la grande salle, les élèves, les professeurs tous étaient présent, certains dansaient, d'autre discutaient debout ou assis autour des tables disposée autour de la piste de danse..la jeune fille tout sourire et le rouquin arrivèrent devant une grande table drèssée ou était disposé divers boissons et "amuses bouches" comme disaient les moldu français, cette remarque lui fit repenser a sa vie française qu'elle avait quitté bien des année auparavant...

Ron lui tendit un verre de jus de citrouille tout en la complimentant, un peu maladroitement, certe..."elle commençait a être habituée, et puis n'était ce pas craquant? La poufsouffle rougie légerement et détourna légerement le regard, la remarque de Ron la fit sourire, et rire interieurement elle ne s'était pas vraiment attendue a cette question qui parraissait assez peu romantique pour l'occasion, Ron avais bien besoin d'un cours sur "comment parler au filles"...

-Commence par me serrer dans tes bras!..Tu ma manqué!
Et la jeune fille se blottit dans les bras de son valentin, cette belle marque de tendresse passa innappercu auprès des autres, des couples il n'y avais que ça...

Emma aurais bien dansée avec Ron, mais se dit qu'il refuserais surement et s'abstint donc d'en parler, et se contenta donc de regarder les autres sur la piste, il y avait notement les deux prèfet de serpentard dans les bras l'un de l'autre, bougeant au rythme de la musique. Emma s'écarta doucement de son chéri et l'entraina vers une table libre, sur le chemin elle passa non loin de l'entrée, et apperçut Quentin accroupit devant une jeune fille..la petite amie de Fred Weasley, qui était juste â côté d'ailleur, Emma montra d'un signe de la tête a Ron tout en continuant jusqu'a la table, qu'avais t'elle cette jeune fille pour avoir attiré l'attention de Quentin..en y penssant la jeune fille songea a ce qui se passerais si Quentin vennait a les saluer, savait t'il déjà pour elle et Ron, comment réagirais t'il? Autant éviter le malaise et faire profil bas...ils croisèrent également Akuma Tenshi, une fille de sa maison qui se dirigeait le visage intimidé et anxieu..décidement elle n'arriverais jamais a la comprendre. la poufsouffle était d'une timidité incroyable, Emma et elle n'était pas vraiment amie en raison de leur caractère si différent, mais se parlaient tout de même...

Emma reporta son attention sur Ron...

La jeune Gryffondor ne semblait pas vouloir se confier à lui, surtout qu'il y avait peut-être son petit copain avec elle, Quentin ne savait pas trop si s'était Fred ou George. Mais dans les deux cas, elle ne serait pas seule. Vu que personne ne s'intéressa à ce qu'il venait de dire, le Poufsouffle se redressa et marcha en direction de l'entrée de la grande salle, mais un oeil toujours sur Océanne, sa tête toujours contre ses bras. Par inadvertance, il percuta une jeune fille et évita soigneusement un coupe de personne qui sortait de la fête. Sûrement pour faire quelque chose plus intime. Il fit demi-tour pour voir la jeune fille qu'il venait de percuté, mais ne vis personne, elle devait être loin. Un peu déçu, ne sachant pas vraiment pourquoi, il entra dans la magnifique grande salle et admira les décorations.

A la place des grandes tables, ou tous les élèves prenaient leur repas, il y avait une grande piste de danse, ou plusieurs couples s'enlaçaient déjà bougeant au rythme de la musique lente. Au contraire, il y avait toujours la table des professeurs qui trônait au fond, sur le côté se présentait un bar, qui servait plusieurs cocktails non alcoolisé, heureusement, parce que connaissant certain, la fête aurait vite fini en catastrophe. De l'autre côté, il y avait un buffet divers et varié, les plats avaient l'airs vraiment très bon, mais Quentin n'avait pas trop faim. Son regard continua d'observer la salle. Des ballons en forme de coeur et d'anges flottent en l'air, il y avait aussi des bouquets de roses, également disposés un peu partout dans la salle, et certain garçon les prenaient pour l'offrir à leur cavalière. Dans le ciel étoilé du plafond, il y avait quelques petits bonshommes avec un air un peu pervers. C'était de mini cupidon qui envoyait des fléches sur certain élève. Faudra faire super attention, mais je risque de bien m'amusait ! Pensat-il avec un sourire.

Le Poufsouffle d'un pas lent et tranquille, s'avança dans la masse d'élève présent au bal. On avait vite fait de perdre sa cavalière et de la retrouver dans les bras d'un autre, heureusement qu'il était venu seul, sinon il aurait eu de sacré problème ? Quentin s'écarta un peu de là piste de danse et se dirigea vers le bar, où il y avait déjà quelques élèves, ceux qui prenaient des verres pour eux et leur Valentine, d'autre qui faisait une pose et les autres, en solo à chercher du regard une fille qui pourrait aborder. Souriant de les voir il s'avança se retenant d'éclater de rire et commanda un verre de jus de citrouille, de toute façon, il n'y avait rien d'autre. Toujours avec un sourire, le préfet prit son verre est parti dans la direction opposée et quand il fut loin du bar, il se détendit un peu et ria silencieusement. Au milieu de la foule il faisait un peu chaud et il déboutonna le haut de sa chemise blanche avant de parcourir la grande salle de son regard bleu azure.

Bientôt, sans le vouloir, il remarqua une jeune fille qu'il connaissait bien. Avec un autre sourire moins moqueur qu'il avait eu avec les autres garçons, il s'approcha de celle-ci en prenant une rose au passage. Quentin ne savait plus trop ce qu'il faisait, mais il voulait se faire pardonner de son attitude envers Emma est après avoir parcouru toute la salle, il murmura à l'oreille de son amie.

Tu es belle ce soir !

Et le préfet lui tendit la rose ! C'est qui remarqua à ses côtés de le jeune roux. Ron Weasley avec qui il avait eu un petit accrochage. Qui eu droit à un aller simple vers le bureau de Dumbledore et 70 points en moins pour chaque maison. Malheureusement, il n'avait pas encore expliqué à Emma ce qui s'était passé. Il s'adressa à Ron !

Bonsoir !

Ron se sentait-d'un côté-vraiment bien avec Emma car il l'aimait et qu'il n'avait pas beaucoup d'occasion de ce voir malgré que tout deux soient tout le temps dans le chateau mais les occasions de se voir était très rare surtout avec les nouveaux décrets de Ombrage...Pourtant à chaque fois qu'il se voyait Ron se sentait vraiment bien.Souvent il se croisait dans les couloirs alors Ron laissait Hermione et Harry allez devant Emma abandonnait ses copines et le moment était vraiment magique.C'était fou comme un simple baiser pouvait vraiment rendre heureux quelqu'un et avant d'avoir rencontré Emma,Ron n'avait jamais pensé a ca....Une seule fois un membre de la B.I(Brigade Inquisitoriale)était passé dans les couloirs à ce moment là et le moment magique avait tourné a la catastrophe.
Pour revenir à la fête donc Ron se sentait vraiment bien mais il avait aussi très peur,peur de faire ou de dire une bêtise,de ne pas être à l'hauteur de ce que voulait Emma.....Il fallait donc qu'il se concentre tout le temps se rappelant sans cesse ce qu'on lui avait dit de faire avec les filles...Et surtout évité les conseils de Fred et Georges.....
La belle poufsouffle lui répondit de la serrer dans ses bras et Ronald rougit:Il n'avait même pas pensé à ça la fête avait pour lui commencer depuis 5 minutes à peine et voilà qu'il gaffait déjà il allait devoir se rattraper....
Elle se blottit dans ses bras et Ronald lui fit un gros calin qui le remit en confiance.Elle l'amèna ensuite à une table un peu plus loin.Ron la tenait du bout des doigts mais il ne voulait absolument pas la laché sinon il aurait l'impression de la perdre,ca avait peut-être l'air idiot mais voilà comment Ron voyait la chose....
Tout était merveilleux dans cette salle et Ron ne voyait plus vraiment ce qu'y pourrait se passer de mal dans la soirée.Il remarqua que la plupart des garçons offrait une rose à leur valentine,le Gryffondor se sentit alors extrèmment idiot et il profita d'un peu d'innatention de la part d'Emma qui semblait dire bonjour à un ami

*C'est quoi déjà la formule....Mince...Ah oui c'est*

Ronald murmura en sortant sa baguette

"Accio rose."

Une rose s'envola alors doucement d'une table ou elle était posé pour atterir directement dans la main de Ron qui souria.Il se retourna et la tendit alors à Emma avant de voir un spectacle qu'y le mit de très mauvaise humeur.Quentin Mc Leod tendait lui aussi une rose à Emma.Et en plus il avait le culot de lui dire Bonsoir comme si de rient était

"Bonsoir...."

Il dit ça essayant d'être gentil puis s'adressa à nouveau à Emma.

"Tu vient?"

Il dit ensuite à Quentin d'un ton narquois car il savait bien qu'il venait seul

"Bon ben bonne fin de soirée.Et bonne chance pour trouver ta cavalière"

Il amena ensuite Emma un peu plus loin et posa la rose sur une table apparement pour ça c'était déjà fichu....Il lacha sa main recula d'un pas et prennant son courage a deux mains il lui prit la main lui fit une sorte de réverence en lui disant

"Mademoiselle,m'accorderiez vous cette danse?"

Finallement, Drago n'eut pas besoin de maintenir la conversation plus longtemps avec sa capitaine d'équipe, puisque son cavalier arriva l'instant d'après. Drago lui adressa un rapide regard qui signifiait qu'il n'avait qu'à 'emprunter' la demoiselle. A nouveau, Drago et Inei se retrouvèrent tous les deux mais entre temps, la musique s'était arrêtée et lorsqu'Inei reprit la parole, il ne put qu'accepter, même si il n'avait pas spécialement soif, d'aller avec elle au bar afin de se désaltérer.

Main dans la main, tous deux se dirigèrent donc vers le comptoir, Drago laissant Inei choisir ce dont elle avait envie, lui ne commanderai rien, il attendrait que la soirée soit plus entammée. Le préfet tourna la tête et jeta un rapide coup d'oeil aux couples présents sur la piste, et aux élèves seuls qui paraissaient plus désespérés que jamais. C'était dans ce genre de soirée qu'on pouvait se rendre compte que certain ne valait rien, ou du moins pas grand chose. Certe il y avait des exceptions, des élèves qui étaient venus là seul de leur plein gré, mais pour les autres, rester enfermés dans leur dortoir aurait eut le même effet.

Dans la foule, il repéra des élèves qu'il connaissait plus ou moins, adressa un signe de tête à certains Serpentards qui semblaient bien fièrs d'être venus accompagnés, quand on pense que certains avaient invité une fille juste pour la soirée et que dès le lendemain ils la traiteraient comme une moins que rien... Il vit également Pansy, assise seule à la table où se trouvaient d'autres Serpentards. Il se souvint qu'un an plus tôt, c'était avec elle qu'il était allé au bal de Noël. Elle paraissait pensive, et Drago retourna la tête afin de faire face à sa petite amie.

A ce moment là, une rose passa en lévitation juste sous les yeux de Drago qui l'attrapa d'un geste rapide. Mince sourire, il fixa Inei avant de la lui tendre, de toute évidence, c'était bien la seule fille qui n'avait pas besoin d'une rose pour être belle ou heureuse, elle était déjà parfaite, mais par principe, et aussi parcequ'il voulait qu'elle en ai une, il la lui offrit.

- Je n'ai jamais aimé les fleurs, j'espère que ce n'est pas ton cas...

Et bien quoi ? Il ne savait pas si elle aimait les fleurs et si ca se trouve, elle n'aimait pas les roses, ce qu'il n'esperait pas, mais rares étaient les filles qui n'aimaient pas cela. Il plongea à nouveau son regard gris dans celui de sa ravissante petite amie et déposa ses lèvres sur les siennes, avant de reprendre.

- Attends moi je reviens.

Otant sa main de celle d'Inei, il se dirigea vers la table des Serpentards et s'arrêta juste devant Pansy. Il était surpris de la voir seule, pensant qu'elle n'aurai aucun mal à trouver un cavalier (hj : ca se passe avant notre rp de la grande salle donc, pas encore eu la petite histoire).

- Je suis étonné de te voir seule, moi qui pensait que si tu l'étais tu ne viendrai pas...

Voix neutre, tout comme son expression, il savait que Pansy aimait montrer une image parfaite d'elle et dans la logique de Drago, si lui même n'avait pas eu de cavalière, il ne serai surement pas venus, ou bien plus tard dans la soirée, mais cela ne risquait jamais d'arriver, Drago seul, et puis quoi encore ! Il pensait donc que pour Pansy, ca serai pareil.

- Passe une bonne soirée... Il lui tendit alors une rose et repartit en direction de sa petite amie.

Il espérait qu'elle ai terminé de boire, et ainsi, il l'entrainerai sur la piste une seconde fois, afin de rattraper la danse qu'ils n'avaient pu terminé juste avant.

- Tu as terminé, je t'accorde une seconde danse, si tu le souhaite.

Air fièr, il tendit sa main à sa petite amie, l'invitant donc une seconde fois à danser avec lui. Une soirée qui fonctionnait plutôt bien, et Drago n'allait pas s'en plaindre, la St Valentin était parfaite.

Pansy regardais les couples danser sur la pistes elle ne souriait pas oula non
elle se demandais plutôt ce qu'elle faisait la depuis plus d'une demis heures elle était assise regardant les gens heureux danser ou courir juste à coter d'elle elle poussait parfois de petit soupire silencieux sa la mettais hors d'elle franchement à ce moment la elle voulais être loin très très loin mais bon elle se dit qu'elle attendrais encore 10 minutes avant de partir faire un tour

Puis Drago s'approcha d'elle...elle le regarda puis lui fit un petit sourire pourquoi était elle seule ?? bonne question peut être parce que La personne avec qui elle pensait y aller se retrouvais dans les bras d'une autre ?? Ou peut être parce que personne ne lui avait proposer bon et bien elle avait passer outre sa fierté et c'était montré au bal elle pris la rose qui lui tendit puis lui sourit

-Non mais je vais rentrer dans ma chambre toute cette joie me bousille le cerveaux on se verra demain bonne soirée

Elle se leva attrapa sa rose puis emporta avec elle la rose serre contre son coeur puis elle remonta les escalier pour arriver dans sa chambre elle se coucha sur son lit puis regarda le plafond

S'avançant tranquillement vers le bar, main dans la main avec Drago, la Serpentarde, regardait de temps à autres les couples qui dansaient. D'ailleurs elle avait aperçut Ronald et Emma, elle ne les connaissait pas plus que cela, mais elle trouvait que Ronald ne savait pas trop s'y prendre avec les filles... M'enfin, cela n'était pas du tout les affaires de la préfète. Arriver devant le buffet, Inei se servit un verre d'eau. Elle vit que Drago n'avait rien prit, mais qu'il regardait les autres élèves. Elle ne lui dit rien, regardant elle aussi les couples qui dansaient.

La jeune Serpentarde, parcourait la salle du regard. Cependant, en tournant la tête vers Drago, elle vit que celui-ci fixait quelque chose, elle suivit le regard de son petit ami et vit Pansy Parkinson, assise à la table des Serpentards. Elle fit un faible sourire, elle trouvait bizarre que Pansy, soit venue seule, pourtant c'est une très jolie fille et la jeune Eldiwäl n'aurait jamais penser que Pansy ne puise trouver de cavalier...

Alors qu'elle allait se tourner pour poser son verre, Drago lui tendit une rose. Elle la prit dans ses mains et senti son parfum. Elle posa son regard gris dans celui de Drago. Elle lui sourit.

Je n'ai jamais aimé les fleurs, j'espère que ce n'est pas ton cas..

Rassure toi j'aime les roses. Merci en tout cas.

Lui dit-elle tout en lui souriant. Elle reprit son verre et en but une gorgée. Elle tourna de nouveau la tête vers Drago, celui-ci avait plongée son regard dans celui de sa petite amie, puis il posa délicatement ses lèvres sur celle de la préfète, puis il enchaîne avec une phrase.

Attends moi je reviens

Inei acquiesca d'un signe de tête. Elle devinait très bien ou Drago était partit. Elle ne suivit pas Drago du regard, car elle allait passée pour une fille possessive et jalouse, or celà n'était pas du tout le cas. Drago était assez grand pour savoir ce qu'il devait faire ou pas. Reportant son regard sur les couples, elle aperçut Weasley faire une révérence, enfin si on peut appelé cela une révérence, devant la jeune Emma.

Tenant toujours la rose que Drago lui avait offert dans une de ses mains, elle avait son verre dans sa main de libre et but le verre entièrement. Elle était tellement concentré à regarder les couples dancer qu'elle n'avait même pas vu que Drago était de retour, ce n'est que lorsqu'elle entendit celui-ci lui parler qu'elle sortie de sa rêverie.

Tu as terminé, je t'accorde une seconde danse, si tu le souhaite.

Je ne vais tout de même pas refuser, cela ne serait pas très poli

Dit la jeune Eldiwäl à son petit ami. Prenant la main que son petit ami lui tendait, ils se dirigèrent de nouveau sur la piste de dance pour rattraper la dance qu'ils n'avaient pu terminer. La St Valentin d'Inei se passait à merveille, elle était aux anges. Elle plongea son regard grisâtre dans le regard acier de son petit ami avant de déposer un léger baiser sur les lèvres de son compagnon.

Finallement, Zac avait fait le bon choix, Isabella avait accepté le ruban, et par dessus ca, elle semblait heureuse, la voir sourire ainsi ne put que faire sourire d'avantage le Gryffondor qui ne savait pas trop quoi ajouter de plus à part un baiser qu'il lui avait volé. Comment avait-il pu être aussi stupide la dernière fois en risquant de la perdre, alors que depuis tout ce temps, il savait qu'il ne la considérait pas qu'en simple amie, mais bien plus que cela. Ce qui fit sourire Zac fut lorsqu'elle voulut s'assurer qu'elle ne rêvait pas, et qu'à son tour elle l'embrasse, mais là encore, elle n'allait pas se réveiller d'un rêve puisque tout ceci était bien réel, fort heureusement.

Quand elle posa sa tête sur son épaule, Zac la serra contre lui dans un geste doux, inclinant lui aussi la tête afin qu'elle soit plus proche de celle d'Isabella. La St Valentin était probablement le plus beau jour pour ainsi avouer ses sentiments à la personne que l'on aime, et Zac n'était pas prêt d'oublier ce jour là, d'ailleurs, ca serait impossible, heureux comme il l'était.

- Je m'excuse pour la dernière fois, je ne voulais pas te faire souffrir, pourtant je me suis débrouillé comme un chef pour le faire, crois moi, ca ne se reproduira plus.

Souffla le Gryffondor à l'oreille de sa petite amie ( ). Rien que de se dire qu'il aurai pu tout gâcher le gênait, mais maintenant, il ne fallait plus y penser et profiter pleinement de la soirée qui s'offrait à eux. Une chose est sur, c'est qu'ils ne se quitteraient pas d'une semelle de toute la soirée, et pour les jours à venir, Zac avait bien l'intention de mettre à execution tous les projets qu'ils avaient fais un soir en parlant dans la salle commune, le principal étant qu'ils passent ensemble le plus de temps possible.

- Tu veux encore danser ? Ou bien, tu as soif, faim ? Ce soir c'est toi qui décide, après tout tu es ma Valentine !

Lanca t-il en riant, relâchant un peu de la pression qu'il avait eu quelques minutes auparavant. Sa jovialité venait de reprendre le dessus, et sa bonne humeur par la même occasion.

Invité

Le bal de la St Valentin... Un jour ordinaire pour le jeune homme de 17 ans. Il n'avait pas l'intention d'y aller, après tout il n'avait pas trouver de cavalière, enfin il n'avait pas vraiment chercher à en trouver une. Après tout, pourquoi ne pas aller faire un tour à ce bal ? Il allait peut-être y trouver sa jeune soeur. Sa petite Inei, qui avait bien grandit depuis. Un peu mélancolique en pensant à sa jeune soeur, Iavla, se leva de son lit pour aller se mettre un costume, noir avec une chemise blanche en dessous. Il sortir par la suite du dortoir sous le regards admirateurs des filles qui étaient présentes. Il leur fit des signes avant de sortir de la salle commune des verts et argents.

Traversant les cachots, en rencontrant quelques élèves de sa maison, Iavla marchait d'une allure fière. Il arriva finalement dans le hall d'entrée. Il le traversa pour arriver dans la grande salle, il pénétra à l'intérieur qui était décoré dans les tons rose et blanc... Il ne trouvait pas la déco superbe mais c'était déjà pas mal. Il avança sous le regard des filles présentes dans la salle. Il les ignoraient complètement. Il cherchait une personne en particulier. Il l'a cherchait désespérement. Il espérait la trouvait le plus rapidement possible. Puis il l'a trouva, au milieu de la foule dansant avec un jeune homme. Iavla marcha parmit la foule pour arriver à la hauteur de sa chère petite soeur.

Bonsoir, ravissante demoiselle

Dit-il avec un sourire charmeur. Il regarda par la suite le jeune homme qui était avec sa jeune soeur de 15 ans. Grand, blond, des yeux aciers. Il le connaissait seulement de réputation. Drago Malefoy. Ainsi, s'était donc vrai, Inei sortait avec l'héritié des Malefoys. Après tout Iavla n'avait rien à dire. Drago avait l'air d'un garçon très sympathique.

Drago Malefoy je suppose. Iavla Eldiwäl, grand frère de la jeune demoiselle qui se trouve en face de toi. Ravi de te connaître enfin.

Dit il tout simplement. Il balaya la salle du regard, regardant les couples qui dansaient sur la piste autour d'eux. Puis son regard se posa sur une jeune fille qui avait l'air d'être très seule.

Veuillez m'excuser je vous laisse en amoureux les jeunes, surtout pas de bêtises !

Dit-il en faisait un clin d'oeil complice à sa jeune petite soeur. Il trvaersa de nouveau la salle, allant à l'encontre de la jeune demoiselle qu'il avait vu précédemment. Arrivée à sa hauteur, il vit que la jeune demoiselle avait l'air triste. Cette jeune demoiselle, il en avait eu des échos. Apparemment, elle était chez les Serpentards, en 5ème année, et se prénommait Dreama Lafois.

Vous m'avez l'air bien triste charmante demoiselle !

Dit elle avec une voix douce et mielleuse. Il attendit que la jeune demoiselle lui réponde. Il porta son attention sur sa jeune soeur qui dansait avec son petit ami. Il trouvait le jeune couple attendrissant. Il fut tiré de ses pensées par une douce et mélodieuse voix.

Toujours assise sur sa chaise, Dreama sentait son sang cogner contre ses tempes. Elle n’était plus seulement énervée contre ce …. Rouge et or, mais aussi envers Océanne. La métamorphomage sentait son cœur battre à tout rompre et ses mains tremblaient à presque causer un tremblement de terre. Ses sourcils d’un blond de blé étaient froncés devant sa cousine. Celle-ci avait osé lui répliquer! Drey détestait cela plus que tout. Pendant que sa cousine tournait les talons, Dreamy se leva pour lui crier :

Tu ne devrais pas te plaindre Océanne Lafois! Nous t’avons recueillit dès ton plus jeune âge! MES parents t’on élevés comme leur propre fille! Certes, les tiens son morts, mais moi, ma mère est toujours à Ste-Mangouste entrain de s’occuper des autres, et mon père ne quitte apparemment jamais le ministère! Et quand ils sont à la maison, ils passent tout leurs temps à s’occuper de Max! Si j’ai tout ce que je veux en cadeau c’est seulement pour que j’oublie le fait que mes parents sont toujours absent!
Oh! Pour sur! Mon copain m’aime c’est certain! Réveille-toi ma vielle! Nous sommes le 14 Février : C’est la fête de l’amour, mais lui, il est où pour me prouver qu’il tient réellement à moi!? Hein!? Par contre, le tient est à tes côtés! C’est mon ex, mais ça tu t’en ai jamais soucier!

Évidemment, Dreamaldy ne pouvait pas dire si oui ou non sa cousine avait tout entendue puisque celle-ci avait déjà quitté les lieux avant la fin de sa dernière phrase. Lentement, Dreka se relaissa tomber sur sa chaise. Son visage délicat regarda Fred, qui partit à son tour, la laissant seule. C’est ça! Qu’ils partent tous! De toute façon, Dream n’en avait rien à ciré! L’abandon, voilà un merveilleux sentiment n’est-ce pas? Enfin, non. Jamais dans sa vie, Dream n’aurait pas pu penser qu’elle ressentirait autant de sentiments en même temps.

La longue chevelure bouclée de la métamorphomage changea du blond doré à un rose plutôt pâle, moins explosif que d’habitude, et ses yeux prirent environ la même teinte. Son regard couleur bonbon se posa sur une rose blanche, poser sur la table à ses côtés. C’était la fleur qu’elle avait laissée là quelques temps plus tôt… Il n’en prenait peu pour brimer l’humeur de la jolie Lafois, et encore moins pour ruiner la soirée de gens à qui elle tenait…

-Flash Back-

Dreama devait avoir tout au plus dix ans. Sa chevelure brune coupé aux épaules lui donnait un petit air farouche. En fait, la jeune fille faisait la moue. La petite était assise sur le comptoir de la cuisine. Les décorations de Noël ornait les lieux et avec forces! Un peu plus et tout ceci aurait pu ressembler à une jungle de guirlande. Que faisait la petite métamorphomage là, toute seule? Et bien, elle était terriblement vexée... De quoi? Avec son caractère, sûrement de tout et de rire comme d’habitude!

Une tête sombre apparut par la porte de la cuisine, tenant dans ses mains un petit cadeau emballé dans un papier vert avec des motifs de sapins. Vincent s’approcha de sa jeune sœur, prit place sur le comptoir à ses côtés et lui souria. À cette époque, Vinc n’avait que onze ans et venait à peine d’entrée à Poudlard.

Dreamy, sache que même si le monde ne tourne pas uniquement autour de toi, et que malgré les moments, tu seras toujours ma petite Dreamy adorée.

Avec un doux sourire, le jeune rouge et or tendit son cadeau vers la métamorphomage qui affichait toujours son air bête. Les petites mains satinées de la fillette saisirent la boîte de son air toujours effarouché, mais le sourire divin de son frangin ne disparut pas pour autant.

Drey commença par retirer le ruban rouge qui ornait le cadeau, puis déchira l’emballage. Lentement, elle coupa le ruban adhésif qui maintenant le couvercle en place, à l’aide de ciseau. Son regard brun noisette se tourna vers son frère, puis elle enleva le couvercle. La jeune fille enleva les papiers pour finalement mettre la main sur une petite boîte couleur ivoire. Avant d’ouvrir le coffret, la petite Lafois regarda de nouveau Vincent.

Vinc, c’est –
Aller ouvre Dreamy!

Dreka haussa un sourcils et souleva le haut du boiter. Un bijou… Un bijou! Un collier munis d’une longue chaîne argenté à laquelle pendait une émeraude ronde aux reflets rougeâtre. Un sourire ainsi que des larmes apparurent sur le visage de porcelaine de la fillette. Puis la voix de son aîné s’éleva à nouveau.

Dreamy, à l’école où je suis, Poudlard, il y a deux maisons très différentes : Gryffondor et Serpentard…

En disant « gryffondor » il montra les reflets couleur rubis, et en prononçant le mot « serpentard » il pointa le verts qui dominait.

Ça ma fait pensé à nous. Tout les deux, ont se prend souvent la tête, nous ne nous aimons pas toujours… Mais au fond, nous nous ressemblons –
Ho Vincent!

Dreama serra son grand-frère dans ses bras jusqu’à presque l’étrangler. Quand elle le relâcha, il prit le collier et l’attacha autour du cou de sa jeune sœur.

Si jamais quelque chose ne vas pas, tu pourras toujours compter sur moi, et ça je te le promet…

-Fin de Flash Back-

L’adolescente était toujours installée sur sa chaise. Sa main se glissa dans le petit décolleté de sa robe pour en sortir le collier vieux de cinq ans. Dreama serra le bijou entre ses doigts de toutes ses forces. Dream savait que son frère devait être présentement dans son dortoir, la verte et argent aurait tant voulu aller le rejoindre, aller trouver refuge dans ses bras et lui, il lui dirait que tout irait bien, que ce n’était rien, et il la consolerait et ferait baisser son humeur tempêteuse, mais maintenant… Mais maintenant elle ne pouvait plus.

La verte et argent déposa le collier sur ses genoux après l’avoir détacher d’autour de son cou, puis s’empara de la rose blanche qui était rester sur la table. Drey observa la plante de son regard plutôt larmoyant, mais pourtant, rien ne coulait sur ses joues rosées. Elle ferma le poing pour rouvrir sa main quelques secondes plus tard et laisser les fragments de la rose retombée sur le sol.

Le pire des ses cauchemars venait de se réalisée. Non seulement elle s’était engueulé avec Océ, mais en plus elle devait être en froid avec Fred… Et pour couronner le tout, sa peur d’être humilier avait été réaliser. Par ce… oublions-le. Il n’aurait pas mérité la belle anglaise de toute façon. Pour la serpentard, se jeter en bas de la tour d’astronomie aurait été moins douloureux, techniquement parler, évidemment.

La belle anglaise reprit son collier entre ses doigts, puis le rattacha autour de son cou, mais laissa ses doigts pâles caresser la pierre précieuse qui pendant à la chaînette. Elle voulut partir, mais un visage qu’elle avait déjà vue dans la salle commune des verts et argents se pointa devant elle. Dreka s’efforça un sourire et répondit :

Ce…ce n’est rien… C’est qu’une bouse qui m’a mit dans cet état…

Avec les quelques minutes que Dreamaldy avait passé seule, elle avait tout de même eue le temps de se calmer un peu. Heureusement, car une deuxième crise d’attention dans la même soirée ne l’aurait pas trop fait. Déjà qu’elle avait foutue en l’air la soirée d’Océ et Fred, Dreamy ne voulait pas gâcher celle d’un jeune homme pour ses simples histoires d’enfant gâtés.

Isabella n'en revenait toujours pas de ce qui se passait. Si on lui avait dit il y a quelques heures qu'elle se rendrait au bal de la St Valentin et que Zac lui ferait une décalaration, elle aurait rit au nez de la personne qui le lui aurait raconté. Oui mais voilà, elle se trouvait au bal dans sa robe rouge, en compagnie de Zac qui lui avait offert un ruban blanc en guise de déclaration. Elle l'avait accepté tout en se disant qu'elle devait rêver mais il l'avait embrassé et ce contact était trop réel pour être un rêve. Cela avait été tellement rapide qu'elle n'eut pas le temps de réagir, prenant alors l'excuse de vérifier si c'était un rêve ou non elle se hissa sur la pointe de ses pieds pour l'embrasser à son tour. Cette fois-ci, le baiser fut plus long, le temps pour Bella d'être certaine qu'il ne s'agissait pas d'un rêve et surtout de se confirmer à elle-même qu'elle était bien sa petite amie.

Lorsque leur baiser s'acheva, elle ne souhaita pas pour autant se détacher de lui, désirant profiter un maximum de cette soirée, elle se blottit contre lui calant sa tête dans le creux de son épaule. Elle respira son odeur et n'osa plus bouger, elle n'aurait jamais cru possible de se sentir aussi bien. Elle sentit bientôt les bras de Zac la serrer contre lui et sa tête s'approcher de la sienne. Le coeur de Bella battait toujours rapidement dans sa poitrine, elle passa ses bras dans le dos de Zac, elle était heureuse. Il lui murmura alors des excuses pour la dernière fois, qu'il n'avait pas eu l'intention de la faire souffrir et que ça ne se reproduirait pas. A l'évocation de leur dernière sortie à Pré Au Lard et ses excuses, elle se serra un peu plus contre lui, des larmes perlèrent à ses yeux, mélange de sa tristesse d'alors et de sa joie de maintenant. Elle releva la tête et plongea son regard dans le sien avant de lui répondre elle aussi en murmurant.

Tu es pardonné pour la dernière fois... Je te crois, je suis sûre que tu ne me feras plus souffrir.

Elle lui adressa un sourire et alors qu'elle finissait sa phrase, ses paupières papillonèrent et une larme s'échappa pour rouler le long de sa joue. Elle n'osa pas faire le moindre geste pour l'essuyer car ça signifiait le lacher. Elle se dit qu'il allait certainement se demander pourquoi elle pleurait et qu'elle devait le rassurer. Elle lui adressa donc un grand sourire avant d'ouvrir la bouche.

C'est rien,... c'est juste que je suis contente.

Ils restèrent encore ainsi quelques secondes avant que Zac ne lui demande ce qu'elle souhaitait faire. Il lui proposa de danser, ou d'aller prendre un verre ou encore de manger si elle avait faim. Il finit en lui disant que ce soir c'était elle qui décidait car elle était sa Valentine. Cette dernière remarque la fit sourire et elle ne put s'empécher de se hisser une nouvelle fois sur la pointe de ses pieds pour déposer un baiser sur ses lèvres. Elle pouvait faire ce qu'elle souhaitait... A vrai dire, elle ne souhaitait qu'une chose maintenant et elle allait lui en faire part. Un sourire malicieux s'afficha sur ses lèvres avant qu'elle ne lui réponde dans un souffle.

La seule chose que je veux pour le moment c'est toi. Du moment qu'on passe la soirée ensemble je me fiche de ce qu'on fait et du lieu où on se trouve...

Elle n'avait pas ajouté "même s'il s'agit de la piste de danse" mais y avait pensé. Elle se mit à rire à son tour, la soirée avait prit un tour des plus inattendus et des plus appréciables et elle se fichait éperduement de ce qu'ils feraient: danser, boire ou manger; du moment qu'elle restait avec lui. Elle s'écarta de lui tout en gardant son regard dans le sien, elle ne pouvait s'empécher de lui sourire.

Tu es mon Valentin, je veux moi aussi savoir ce que tu souhaites faire.

Elle lui prit la main et emmela ses doigts aux siens avant de se dire que finalement elle ne serait pas contre une autre danse. Elle n'avait plus peur de se rendre ridicule et en plus ça aurait le mérite de faire qu'elle soit dans ses bras. Elle décida donc de lui proposer.

Après réflexion, je ne serais pas contre une autre danse.

Elle attendit de voir sa réaction avec le sourire aux lèvres.

Après ce long baiser, Léo serra Lila dans ses bras. Et il ferma les yeux sans doute pour graver dans sa mémoire ce moment de bonheur. Enfin, on ne pouvait pas dire que le jeune homme était malheureux certes il avait quelques problèmes familiaux. A part ça, il vivait une vie assez agréable, il n’avait pas de quoi vraiment se plaindre. Il avait, si on oubliait un peu passez, une vie heureuse, pleine de bonheur. Pourtant, des bonheurs comme celui qu’il vivait à l’instant, il ne vivait pas tous les jours. Le garçon appelait ça du bonheur intense. Un sentiment qu’on voudrait garder toute sa vie, sans jamais s’en séparer. Une sensation qui devrait, pour tout ceux qui l’on eu, durée éternellement. Quoique, il donnerait tout, enfin beaucoup, pour revivre cet instant. Car l’inconvénient de cette intensité était qu’elle ne serait plus si grande au fil des temps. Léo qui s’était arrêter de danser (Il n’arrivait pas à se concentrer assez pour embrasser et garder le rythme) rouvrit les yeux et ré-enchaînait ses pas de danse sur une musique plus rapide.

Tout en évitant le regard de Lila, il regardait autour de lui. Cherchant des yeux sa meilleure amie, qui venait d’être accosté par un garçon de Serpentard. Il lui sourit même s’il savait que de là où elle était elle ne le verrait pas. Il essaya aussi de trouver Nodoka, la meilleure amie de sa cavalière, pour voir où elle en était avec Akin. A première vue, pas très loin. Il remarqua aussi Drago et Inei, deux de ses amis. Enfin, il regardait partout pour ne pas croiser les yeux de sa petite amie, si on pouvait l’appeler comme ça à présent. Il se demandait qu’elle ait été son impression, même si elle lui avait rendu son baiser…Même si Léo était connu comme dragueur, son expérience s’arrêtait au premier rendez-vous. Il n’allait jamais plus loin. En effet, jusqu'à maintenant, le jeune homme avait toujours eu peur de s’affirmer. Peur de voir la fille qu’il aimait partir avec tous les bons souvenirs. Il lui avait semblé qu’aujourd’hui, en embrassant Lila, cette peur s’était apaisée.

Il y avait une deuxième raison pour laquelle il évitait le regard de son amoureuse. Il se demandait si elle s’attendait à ce qu’il lui dise « Je t’aime ». Parce que si c’était le cas, elle allait fortement être déçues. Même s’il était évident qu’il y avait plus que de la simple amitié entre les deux jeunes, ils ne se connaissaient pas encore assez bien pour parler d’amour. Enfin, c’était le point de vue du jeune homme et il espérait de tout cœur que la jeune Asiatique le partage. Mais il fallait bien qu’il dise quelque chose, il ne voulait surtout pas perdre Lila, il sentait qu’il pourrait faire de grandes choses avec elle. Enfin, pour les cinq mois qu’il lui restait à Poudlard. Léo chasse vite cette mauvaise pensée de sa tête avant de se décider à adresser la parole à sa compagne.

- Je t’apprécie beaucoup Lila.

Dit-il d’une voix ferme mais douce. On percevait quand même son manque de confiance en lui dans sa voix. Il sourit un peu à Lila. Il appréhendait sa réponse. Et, pour ne pas qu’elle le remarque de trop, il tourna à nouveau la tête pour regarder ses amis, ses connaissances, les autres se débrouiller avec leurs cavaliers. Il constata qu’il n’était pas vraiment le seul à patauger, il reprit un peu de confiance. Même si toute cette histoire le rendait mal à l’aise, il était heureux d’être au bal en compagnie de Lila Golden, ravissante élèves de Gryffondor.

Une chance pour le Serdaigle qui n'avait pas mit bien longtemps à retrouver sa chérie dans la grande salle, difficile de passer innapercue à côté de l'unique chevelure blonde reconnaissable entre toutes. Après avoir subtiliser Kasumi des deux élèves de Serpentard, il l'avait entrainé avec lui, et la miss ne manqua pas une seule minute pour à son tour le taquiner sur son style, mais il n'allait rien dire pour sa défense, n'était-il pas parfait dans son genre, qui plus est au bras de la plus jolie fille de Poudlard à ses yeux. Il lui tira simplement la langue en guise d'ignorance mais se mit aussitôt à rire.

" Coment était-le jeune homme en question ? Que je sache de qui me méfiez si on venait à le croiser dans la soirée "

Lucas jeta un regard aux couples dans la salle, faisant mine de chercher le garçon en question, mais il préféra reporter son attention sur Kasumi. A nouveau un baiser échangé, elle vint lui rappeler la dernière fois qu'ils avaient danser ainsi et autant dire que ca n'était pas dans les même conditions, et encore moins à un bal de st Valentin, en sachant qu'ils ne s'y rendaient pas, tous deux s'étaient dis qu'aller à se genre de soirée n'était pas intéressant, pourtant ce soir, il ne l'aurai manqué pour rien au monde. Et la voila qui entrainait le Serdaigle sur la piste, lui demandant de danser avec elle, et comment qu'il allait danser avec elle, il n'attendait que ca, curieux de voir si elle était aussi bonne danseuse que taquine. Pour Lucas, aucun problème de ce côté là, lui la danse, c'était son domaine, en dehors de Poudlard, il ne passait pas une journée sans danser, alors, ce n'était pas un slow qui allait l'arrêter, quoi que, ca n'avait rien à voir avec le genre de danse qu'il faisait d'ordinaire.

" Tu sais bien que la honte, je ne connais pas ca, et puis, à mes côtés, tu ne risque pas de la connaitre non plus "

Fit-il d'un air frimeur, tout en lui souriant, avant de suivre le rythme de la musique qui passait au même moment, et lorsque sa cavalière trébucha, tous deux se mirent à rire, par la même occasion, elle avait également manquer de le faire tomber, une chance qu'ils se soient mutuellement rattrapés.

" Finallement je retire ce que je viens de dire, là, tu as frôlé la pire honte, mais tu vois, heureusement que j'étais là pour rattraper le coup "

Taquin comme toujours, il tira la langue à sa petite amie, sans pour autant arrêter de danser, d'ailleurs, il ne put s'empêcher à nouveau de la serrer contre lui, il était plus qu'heureux d'être ici avec elle, et lorsque la chanson se termina, il lui dit tout aussi amusé, en tentant tout de même de garder un air sérieux.

" Je dois avouer que tu ne te débrouille pas si mal que ca, il se peut que je t'invite pour une seconde danse, oui, c'est ce que je vais faire, mais en attendant, tu veux quelque chose à boire, c'est moi qui invite biensur ! "

En sachant que les boissons étaient gratuites, on pouvait dire que Lucas était bien trop généreux, mais dis comme ca, ca faisait galant, et, étant un don juan reconnu... Il attrapa la main de Kasumi et l'entraina parmis les couples jusqu'au comptoir, et la laissa choisir ce qu'elle souhaitait. Pour sa part, Lucas se servit un verre de jus de fraise/framboise, et l'avala d'une traite. L'élève de Serdaigle regarda l'heure, ca va, ils avaient encore le temps de profiter un maximum de la soirée, il espérait que ca ne défilerait pas trop vite, parcequ'une chose se produisait toujours lorsqu'ils étaient ensemble : le temps semblait s'accélérait, réduisant le moment qu'ils passaient ensemble, et ce soir, Lucas ne voulait en aucun cas que ce soit le cas.

Invité

Ce…ce n’est rien… C’est qu’une bouse qui m’a mit dans cet état…

Voilà ce qu'avait répondu la jeune demoiselle à Iavla. Celui fut tout d'abord étonné par la réponse de cette dernière. Il l'a regarda de haut en bas avant de lui esquisser un fin sourire. Tournant son regard vers cette dernière, Iavla fit léviter discrètement une rose avec sa baguette et l'a tendit à la jeune demoiselle face à lui.

En espérant que tu aimes les rose rouges Dreama !

Il lui fit un sourire plutôt amical. Il se demandait bien ce qui avait pu se passer pour la jeune fille à côté de lui soit aussi déprimé. Il fit un nouveau surnom à Dreama avant de chercher des yeux sa jeune petite soeur. Il ne pouvait pas s'empêcher de s'inquiété pour elle... Après tout, ils avaient du temps à rattrapés tout les deux... M'enfin...

Il finit par reporté son attention sur Dreama qui n'avait pas bougé d'un milimètre depuis tout à l'heure. Elle avait l'air perturbé par une chose, mais Iavla n'allait pas lui demandé le pourquoi du comment... Il regardait toujours Dreama. Il était un peu triste de la voir ainsi. Elle était pourtant une jolie demoiselle et il trouvait celà étrange qu'elle n'ai pas de cavalier...

Qu'est ce qui te préoccupe miss ?

Il lui avait demandé celà le plus poliment possible... Si elle voulait lui parler il l'écouterait. Après tout, il avait 17 ans et il était tout à fait capable de comprendre ce qu'avait la jeune fille. Il croisa les bras sur on torse fisant les élèves qui dansaient sur la piste. Attendant patiemment la réponse de sa belle interlocutrice.

[HJ : Je suis en manque total d'imagination ><]

Après que le jeune homme de Serpentard aie mis fin à leur doux et tout premier baiser, la jolie Japonaise aux yeux sombres comme la nuit posa sa tête sur le torse de son beau cavalier qui la dépassait en taille d'une bonne tête, tandis que ce dernier serrait le corps fin et froid de la jeune fille tout contre lui avec douceur.
Le coeur de la jeune rouge et or faisait encore des cabrioles dans sa poitrine, elle se mordilla les lèvres tout en le suppliant intèrieurement d'arrèter tout de suite cette gymnastique ridicule et plutot génante, la jeune fille espérait de tout son coeur que le jeune homme ne s'en rendrait pas compte, mais son organe vital faisait de telles accrobaties qu'il fallait vraiment que Léo ait la tête ailleur pour ne pas s'en apercevoir.
Encore sonnée de ce qui venait de lui arriver si subitement, sans crier gare, la jolie Asiatique se força à respirer profondemment pour calmùer les soubresauts de son coeur dans sa poitrine et pour que son pouls reprenne une vitesse normale, sinon elle allait finir pas tomber dans les vappes !

*Inspire ... expire ... inspire ... expire .... * se disait elle silencieusement. * Allons, je suis ridicule, ce n'est pas la première fois qu'un garçon m'embrasse tout de même ! *Très juste, ce n'était pas du tout la première fois qu'un garçon l'embrassait, mais elle n'avait jamais réagit comme ça auparavant, son coeur ne s'était jamais emballé de cette manière !

Sa réaction embarrassait d'autant plus la jeune fille de Gryffondor car elle savait qu'il ne fallait pas qu'elle s'emballe, elle avait bien souvent entendu parler le la réputation de courreur de juppons et de charmeur de Léo, et si elle commençait à se faire des films en pensant qu'avec elle ce serait différent, elle risquait de tomber de haut si jamais la jeune homme en venait à la larguer après le bal, prétextant qu'il n'aimait pas s'attacher ou toute autre excuse du genre que les garçons excellaient à servir aux filles desquelles ils se moquaient complètement.

Tout en gardant la tête posée sur le torse du jeune homme, elle se mit à songer à comment elle réagirait si jamais il la laissait tomber. Ce ne serait ni la première fois, ni la dernière que ça lui arriverait, et elle s'en remettrait surement au bout de quelques temps, mais cela mettrait sans doute du temps et demanderait beaucoup de bonne volonté de sa part.
Bien qu'elle soit restée dans de bons rapports avec la plupart de ses ex, la jeune fille rouge et or savait à l'avance qu'elle ne pourrait jamais se résoudre à devenir seulement amie avec le jeune homme.

D'abord parce que, mis à part les sentiments plus forts que de l'amitié qu'ils éprouvaient l'un pour l'autre, ou du moins qu'elle éprouvait pour lui, rien ne les reliait. La jeune fille aimait faire la fête, rire, sortir et voir ses amis, alors que le jeune homme n'aimait pas le monde, la proximité des gens et les fêtes. Bien qu'il ne le lui ait pas avoué, Lila savait bien que son cavalier n'appréciait pas vraiment ce genre de bals et que, si il était venu au bal de la Saint Valentin ce soir là, c'était uniquement pour lui faire plaisir. Lila en était parfaitement consciente, et elle s'en voulait de lui imposer cela, mais elle avait toujours aimé ce genre de manifestations et pour rien au monde elle n'aurais changé pour un garçon, quand bien même ce soit le plus beau garçon du monde.

Quand, quelques instant plus tard, la jeune Japonaise releva les yeux pour chercher ceux du jeune homme de Serpentard, elle le sentit crispé, tendu et distant. Il sembla à Lila qu'il faisait tout pour éviter de croiser son regard, et cela la blessa un peut, mais elle ne dit rien et baissa la tête d'un air dépité. Et elle qui s'était fait des idées !
Quand soudain, il reprit la parole. La jeune fille, prise de court, releva les yeux vers lui, mais une fois de plus, les prunelles du jeune homme fouillaient la foule autour d'eux.
La jeune rouge et or murmura d'une voix presque inaudible :

Mais ... je .... moi aussi, je ... t'apprécie beaucoup ...

Invité

Akin fit un sourire un peu gêné lorsqu'elle lui retourna le compliment, mais fut égalament très contente. Lui qui n'aurait jamais cru voir Nodo sous ce jour, il était ravi. Il aquieca, un léger sourire moqueur sur les lèvres lorsqu'elle répondit à sa pique. Il aurait voulut aller remercier Lila et lui demander des renseignements sur sa cavalière. Car mlgrès leurs nombreuses conversations éclairantes que Akin avait beaucoup aimé, elle lui semblait toujours comme entourée d'un voile noir qu'elle n'enlève jamais. Et là, pour la première fois et apparemment grâce à Lila, il la voyait sous un nouveau jour.
Il fit un sourire attendrit, tellement content qu'elle le laisse la voir dans cet état-là. Il se demanda si un jour elle serait aussi gentille sans avoir besoin de son amie, et que ce soit grâce à lui. Il ne savait pas si il l'aimait. Le garçon ne la connaissait pas assez.
Mais ce qui est sur, c'est qu'il tient beaucoup à elle, et veut faire tout pour la proteger et la rendre joyeuse. Il avait eut cette envie dès la première fois qu'il avait parlé avec elle, en cette nuit si étrange, dans la salle commune des Serdaigles. Pour l'instant, il l'aimait comme un frère aime sa soeur, qu'il veut la protèger mais fait semblant de se moquer d'elle. Il s'avait que si il se montrait trop entreprenant, elle s'enfuirait. Un amour fraternel le liait à elle. Il lui répondit d'un ton calme et affectif :

- Cette robe te va très bien. Je devrais aller remercier Lila pour t'avoir métamorphosée. Akin fit un grand sourire, puis continua : Tu a peut-être toujours étée comme ça, mais tu ne le montrais guère. J'ai l'impression que c'est la première fois que tu es dans cet état-là devant un garçon comme moi. En tout cas, c'est la première fois que tu es comme ça devant moi. Tu devrais la voir plus souvent, ça nous changerai.

Il agrandit encore son sourire pour adoucir ses paroles, et qu'elle ne le prenne pas mal. Il vit très bien son gène lorsqu'il lui proposa de danser. Il espèra de toutes ses forces qu'elle accepe, qu'il lui fasse franchire un pas pour les relations filles/garçon que Nodo avait. Car pour l'instant elle refusait que les garçons la touchent, ou même la frôlent. Il fut un peu décu par son refu, mais bon, elle avait déjà fait beaucoup d'efforts aujourd'hui. Par exemple, le premier et plus grand effort qu'elle avait fait était de venir. En effet, la jeune Serdaigle n'aime guère les contacts physiques avec les autres personnes, en particulier avec les garçons. Akin répondit d'un ton qu'il voulait parfaitement calme, détendu et même gentil :

- C'est plutôt que tu ne veut pas danser, non ? Bon, quoi qu'il en soit, je respecte ta decision, bien que j'aurais aprécier danser avec toi. Mais puisque tu ne veut pas faire cet effort pour moi, tant pis. Allez viens, on va boire un verre, si tu veux toujours, bien sûr...

Il avait fait exprès de jouer le pauvre opprimé pour que la jeune fille se sente coupable et revienne sur sa décision. Même si l'espoir était mince, il valait le coup. N'était-ce pas déjà extraordinaire que Nodoka soit aussi gentille ? Un deuxième miracle est toujours possible. Il fit un petit sourire quémandeur.

(Erreur)

Dreama s’efforça de sourire et de réprimer sa colère. Au fond, il fallait que la métamorphomage passe sa hargne sur la bonne personne. Drey avait, de toute façon, déjà calmer son humeur sur Océanne, sa très chère cousine qui n’avait vraiment aucun rapport dans toute cette histoire. Son humeur légèrement adoucit, la verte et argent regarda un peu autour d’elle pour constater que sa crise de paranoïa, en quelques sortes, n’avait absolument rien donner puisque apparemment, personne ne semblait avoir remarquer le râteau qu’elle s’était prise. Son regard couleur charbon se reposa sur le jeune homme devant elle, Iavla Eldiwäl. Certes, se dernier était plutôt beau, mais elle était en couple avec William Brody. William… Non mais tu parles d’un copain! Jamais présent. Normalement, dans un couple, l’autre était toujours là pour son partenaire. Dream se demandait bien qu’est-ce qui l’empêchait de larguer se serpentard… Peut-être la peur d’être seule… Quoi que pour le moment, seule ou en couple elle ne voyait aucune différence…

Son regard quelques peu fatigué regarda le serpentard faire venir une rose vers lui. Pendant que son attention était ailleurs, Dreama profita du moment pour battre des paupières plusieurs fois afin de faire partir le reste d’eau qui était encore dans ses yeux couleur chocolat. Lorsqu’il tendit un bras vers elle, lui tendait du coup la fleur, Dream la prise dans sa main encore un peu tremblante. Les joues de la métamorphomage rosirent légèrement. Malgré les apparences, Drey n’était guère habituée de se faire offrir une rose par un garçon dont elle ne connaissait que le nom.

...Merci.

La Serpentard ne savait pas trop quoi dire, après tout, il était très charmant certes, mais la tête de l’adolescente demeurait de marbre. Elle se contenta de sourire, malgré le manque flagrant de motivation dont faisait preuve Dreka pour ça. L’adolescente n’avait que très peu le goût de sourire, pour le moment son cœur était plutôt lourd… La belle anglaise possédait un tempérament qui tombait sur les nerfs de plusieurs, et pour l’endurer, il fallait vraiment avoir des nerfs d’acier, et une endurance d’enfer! Dreamaldy changeait souvent d’humeur, il n’y avait qu’à regarder aujourd’hui…

Dreama ne voulait pas ennuyer Iavla avec ses tracas plutôt enfantins, mais avec qui d’autre pourrait-elle en parler? Dream s’était engueulé avec sa cousine, la seule personne à laquelle elle se confiait librement, Océ savait plus de chose sur Dream qu’en savait Vincent ou encore Léo, alors aller imaginer comment la gryffondor était importante aux yeux de Drey. La famille était quelques choses de très important aux yeux de la petite anglaise. L’adolescente posa un regard doux sur le vert et argent. Son cœur toujours aussi lourd lui donnait l’impression qu’il allait exploser… Mais elle finit par déglutir et prit la parole.

Je voudrais pas t’ennuyer avec mes problèmes, mais si tu veux vraiment savoir… Je suis arrivée ici il y a environ une heure, et je suis aller voir cette bouse en question, je lui ai parler pendant un certain temps et lorsque je l’ai inviter à danser, il m’as dit qu’il ne pouvait pas et il s’est barrer… Sur le coup sa ma fait un choc, personne ne m’avait jamais rien refuser avant… Après je suis allée voir ma cousine, Océanne Lafois, et j’ai passé ma « colère » sur elle… Elle est partie, Fred aussi, et me voilà donc seule… J’ai agis comme une enfant de sept ans je sais…

Dreama n’éprouvait plus le courage de regarder Iavla dans les yeux. La jolie anglaise commençait à avoir honte de sa façon d’agir et baissa la tête. Dream était une jeune femme plutôt…étrange? Quand elle s’y mettait…

Kasumi suivit Lucas lorsqu'il l'entraina au comptoir, pour sa part elle prit un simple jus de citrouille. Prenant une gorgée de sa boisson avec sa paille, elle regarda aux alentours, laissant son regard revenir immanquablement vers son petit ami. Ayant bu à sa soif, elle reprit la parole tout en lançant un petit sourire à son interlocuteur.

- C'est bien trop aimable de ta part de m'inviter à venir boire quelque chose ici...Je dois avouer que comme danceur tu te débrouilles bien aussi...enfin à l'époque tu dançais autre chose que ça...D'ailleur continus-tu toujours à dancer ? Ou bien laisses-tu ton corps en innactivité total ?

Il était vrai que lorsqu'ils étaient plus jeune, Kasumi se souvenait bien, Lucas adorait danser...ils pouvaient être n'importe ou, à n'importe quelle heure et devant n'importe qui, que le jeune homme ne pouvait s'empêcher de danser au moins une fois dans une journée. Et il s'en sortait bien, même très bien si on pouvait le dire.

S'accoudant au comptoir, la jeune fille soupira de bonheur en se disant que cette soirée était parfaite. Elle avait très bien commencée et elle fut sûre qu'elle finirait très bien aussi...comment pouvait-il en être autrement aux bras de ce charmant jeune homme en face d'elle ?

Kasumi attrapa la main libre de Lucas pour le tirer vers elle, tout en lui souriant et posa sa tête contre l'épaule de celui-ci. Posant son verre sur le comptoire, elle mit ses mains sur les joues de Lucas et releva la tête pour l'embrasse doucement. Laissant ses lèvres proches de celles de son chéri, elle reprit la parole en mumurant de façon à ce que lui seul l'entende.

- Je passe vraiment une soirée extra avec toi, dit-elle en le fixant dans les yeux. Rahh tu peux pas savoir comment je t'aime toi et ta frimousse adorable.

Elle rigola doucement et reprit un air plus que sérieux, elle aimait vraiment les moments comme ça, surtout lorsqu'elle était en compagnie de l'homme idéal. La Serpentard reprit une gorgée de sa boisson et attrapa quelque chose dans son petit à main noir qu'elle avait réduit pour pouvoir l'accrocher à son poignet. Elle tenait entre ses mains une gourmette en argent, qu'elle tendait vers Lucas.

Attrapant son poignet, elle y accrocha le bijoux doucement en prenant bien soin de ne pas trop serrer ni de laisser trop lache non plus.

- C'est juste un petit cadeau, je l'ai trouvé jolie quand je l'ai vu à Pré Au Lard. Le vendeur m'a dit qu'elle se cassait seulement lorsque la personne a qui vous l'offrez ne vous aimes plus...je serai au courant au moins le jour ou tu ne ressentiras plus rien pour moi...du moins j'espère que ça n'arrivera pas.

Elle releva les yeux du bijoux simplement pour sourire une dernière fois à Lucas, tout en caressant les mailles fines de la gourmette.

Invité

Veronika ouvrit le paquet que sa tante lui avait envoyer.Celui-ci contenait une robe fushia foncé avec une multitude de fil dorés en guise de bretelle.Des papillons brodés en fil dorés ornaient le bas de la robe.Veronika plissa légèrement les yeux...Elle n'avait jamais aimer tout ce qui avait attrait aux brillants,aux paillettes.Et sourtout,elle détestait particulièrement le rose et ses nuances.Après avoir enfiler la robe,Veronika dut admettre que celle-ci lui faisait assez bien.Elle boucla ses cheveux à l'aide de sa baguette et prit la direction de la grande salle où se déroulait la fête de la St-Valentin.

Plusieur élèves y étaient déjà présent.Certains mangeait comme si ils n'avaient jamais vut de nourriture de leur vie tandis que d'autres cherchaient leur potentiel cavalier du retard.Veronika dut se tasse légèrement pour laisser passer un groupe de fille de Poufsouffle dont l'une d'elle pleurait convulsivement.Une fille de Serpenatard éclata de rire après la passage des filles et adressa un léger signe de main à une autre Serpentard,preuve incontestable d'un coup monté.

Les grandes tables avaient toutes disparue,laissant place à une piste de dance où se trouvaient déjà plusieurs centaine d'élève.Des ballons en forme de coeur et des bouquets de rose flottaient un peu partout dans la pièce,donnant une agréable impression.Un large buffet offraient des dizaines de mets différents,allant du hormard au cube de fromage.Veronika vit même quelqu'un se servir une assiette pleine de muffins aux carottes et aller s'asseoir dans un coin pour tous les engloutir un à la suite de l'autre.

Les Bizzar's Sisters donnerait également un concert vers le millieu de la soirée.Pour l'instant,une petite musique d'ambiance invitait les élèves à danser.Veronika remarqua également que les couleurs de la salle avaient changés.Les tapisseries étaient maintenant de couleur roses,vertes et bleus pastels.Les nuages au plafond avaient également une petite teinte rouge.Les flammes des lampes étaients désormais dans les couleurs de bleus et de roses,projetant sur les murs des lumières aux magnifiques couleurs.

Soudain,la peur panique envahi Veronika.Et si personne ne l'invitait....Et si elle passait la soirée à conseillé ses amies sur les attittudes à adopter face aux garçons...Veronika dut faire un effort considérable pour ne pas se mettre à trembler,l'idée de finir seule comme sa tante la répugnant considérablement.

Veornika se mit alors à la recherche de ses deux meileurs amis d'enfance,Éric et Julia.Les trois amis avaient toujours grandit ensemble.Ils s'étaient supporter mutuellement dans les divers épreuves de la vie et étaient toujours restés soudés dans les moments difficiles.Julia et Veronika s'étaient même promit,en secret,de ne jamais sortir avec Éric.Mais certaines promesses sont parfois durs à tenir..

Veronika repéra alors ses deux meilleurs amis.Elle éprouva alors une affreuse sensation de trahison quand elle les vit littéralement s'embrasser devant elle,comme si la pauvre Veronika n'avait jamais exister.

» REGLE TRES IMPORTANT:TOUT LE MONDE EST CONCERNE
» Quand tout va mal
» Dit-moi pourquoi tout est si dur?[Tom]
» Un instant pour tout changer[kao]
» Perdue, ou tout comme ... (libre)